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27oct.
Le krach mondial rampant des marchés d’actions devrait se poursuivre jusqu’aux élections US de mid-term du 6 novembre 2018 puis, si elles étaient gagnées par Trump et les Républicains, faire place à une reprise limitée; mais, si elles étaient perdues par eux, se transformer en déroute durable
Le marché baissier actuel devrait se poursuivre jusqu’aux élections US de mid-term du 6 novembre 2018 (au moins sur les plus bas de février 2018 en ce qui concerne les indices boursiers US) puis faire place à une reprise limitée ou bien à l’éclatement de la bulle boursière, selon que Trump et les Républicains gagneront ou perdront ces élections. Parce que, dans le cas où les Américains commettraient l’erreur de remettre les Démocrates en contrôle de l’une ou des deux Chambres du Congrès US, ces derniers dès janvier 2019 paralyseraient les politiques pro-growth de Trump (en revenant sur la baisse des impôts en particulier) et s’emploieraient activement à tenter de l’ « impeacher », ce que les marchés boursiers sanctionneront tout de suite sans attendre janvier 2019.
Ne pas avoir avant l’élection US d’action, d’obligation ou de parts de fonds d’investissement, quelque soit leur nationalité; que des options et des ETF (en quantité limitée) ou du cash.
Dans le cas d’un marché baissier limité, comme actuellement, le S&P 500 (sur lequel il faut être à la vente short -acheteur de puts- mais avec une petite protection longue en cas de reprise -acheteur de calls-), c’est-à-dire Long / Short comme nous le sommes, devrait chuter vers les 2.512 puis se reprendre légèrement (permettant ainsi de sortir les calls et de renforcer les puts) mais; dans le cas de l’éclatement durable de la bulle boursière, il devrait chuter vers 2.378 puis vers 2.244 (il faudra donc n’avoir alors que des achats de puts).
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Nos objectifs de chute du Nasdaq (le plus sur-évalué) sont pires que sur les autres indices US: 6.628 dans le cadre du marché baissier actuel mais en cas d’éclatement de la bulle: 6.172 voire 5.715:
Pas de changement de politique de la Fed en vue avant 30% de baisse des actions US puisque c’est dégonfler préventivement la bulle boursière qu’elle veut:
Le Système monétaire international ne fonctionne pas, les banques centrales ne faisant qu’alterner création exagérée de liquidités puis contraction toute aussi exagérée desdites liquidités; sa réforme n’a été que trop repoussée:
Tôt ou tard, la politique restrictive de la Fed, qui provoque déjà une récession rampante dans presque tout le monde entier en faisant chuter les marchés d’actions et en faisant monter les taux d’intérêt internationaux, tout en entrainant un dollar US trop cher, provoquera aussi une récession économique aux USA:
Félix Zulauf, financier respecté en Suisse, voit un effondrement des actions US entrainant tous les autres marchés d’actions mondiaux à la baisse… Il conseille de ne pas acheter d’or parce qu’il prévoit une forte hausse du dollar US (devenu avec le pétrole les deux seules valeurs refuges):
Pour le moment, l’euro/dollar US ne casse toujours pas à la baisse son support vers 1,13; il importe donc, tant que cela ne se produit pas, de garder son cash en euros et en francs suisses et d’arbitrer contre les monnaies européennes les dollars US que l’on utilise pour intervenir sur les marchés financiers :
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La crise budgétaire italienne est exagérée, le nouveau gouvernement italien doit relancer son économie
Sauf évènement exceptionnel, notre prochain commentaire interviendra au lendemain des élections US le 7, le 8 ou le 9 novembre 2018, lorsque les résultats seront connus, pas avant.
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23oct.
Le krach des marchés d’actions est à redouter partout
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Le graphique ci-dessous du Wilshire 5000, l’indice boursier US le plus large, qui devrait baisser à un moment ou à un autre sur son plus bas de février 2018 au moins, montre que le krach des marchés d’actions est à redouter partout:
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21oct.
Le Rally du Chat Mort (Dead Cat Bounce) étant terminé, les indices boursiers US sont probablement en situation de chuter très vite de 10 / 15% supplémentaires
A deux semaines des élections de mid term aux USA qui pourraient voir les Démocrates gagner une ou les deux chambres du Congrès, ce qui annoncerait la paralysie progressive de l’Administration Trump et la bataille visant à déclarer son impeachment dès le début 2019 (avec peu de chances d’y parvenir mais c’est l’intention qui compte), le risque sur les actions et les obligations US n’a jamais été aussi sérieux depuis son élection.
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Trump est trahi par ceux qu’il a nommés: Powell, Sessions, Rosenstein, etc…
Le rally du Chat Mort (Dead Cat Bounce) étant terminé, les indices boursiers US sont probablement en situation de chuter très vite de 10% / 15% supplémentaires.
C’est le Nasdaq qui, étant le plus sur-évalué, est le plus baissier d’autant que les FAANGs et le Semiconductor n’en finissent pas de plonger (pour des raisons fondamentales que nous analyserons en détail ultérieurement).
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L’assassinat du journaliste saoudien ordonné par le prince héritier Mohamed Ben Salman, le bourreau du Yémen, qui n’en est pas à sa première ni dernière abomination, complique tout:
Les investisseurs US surtout sortent à grande vitesse des actions US et placent leurs fonds en cash au fur et à mesure que la Fed augmente ses taux courts, d’où une forte contraction des liquidités sur les marchés financiers:
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D’autant que la hausse des taux US organisée par la Federal Reserve, qui sabote la politique de croissance mise en place par Trump, annonce un krach obligataire majeur aux USA:
La politique commerciale de Trump est justifiée par la nécessité de réduire les déficits commercial et de compte courant des USA mais inquiète certains:
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Nous n’avons plus que des achats d’options calls sur les indices boursiers US échéance décembre, que nous n’avons pas encore pu sortir à un bon prix, mais nous avons repris des achats d’options puts également échéance décembre sur le Nasdaq surtout que nous augmenterons s’il y a lieu. Évidemment, zéro action individuelle et zéro obligation US, émergente ou européenne (que nous pourrons toujours reprendre en cas de changement positif de conjoncture).
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Attention aux monnaies européennes, cette semaine l’euro ayant flirté avec son dernier support vers 1,13 dont la cassure exigerait d’arbitrer contre dollar US les avoirs en cash détenus en monnaies européennes:
L’euro va-t-il finalement piéger les investisseurs européens? Brexit, budget italien, dette grecque, gouvernements Merkel épuisé, Macron et Teresa May dans l’impasse, politiques inadaptées de l’Union européenne conduites par le pitoyable Juncker, en particulier austéritaires et migratoires, accentuant le risque d’explosion finale de l’ensemble UE – zone euro dont les peuples majoritairement en Europe ne veulent plus. Ceux qui pensent que l’effondrement de l’euro est inévitable vont-ils avoir raison?
Ce qui doit arriver arrive: c’est le signal de l’imminence de l’inversion de la courbe des taux US, organisée sciemment par la Federal Reserve de Powell, qui vient de faire chuter les indices boursiers US et mondiaux surévalués
La pratique du rodéo financier n’est pas à conseiller aux personnes n’ayant pas de gestionnaire avisé, ce qui est important n’étant pas de manquer des petits mouvements mais quand le « Big One » arrive de le détecter à temps pour ne pas se faire piéger:
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Ce qui doit arriver arrive. Le graphique ci-dessous du 5 octobre 2018 donnant le signal de l’imminence de l’inversion de la courbe des taux US en relation avec la sur-évaluation du S&P500 montrait à l’évidence le risque de chute dudit S&P500 et des autres indices boursiers US et mondiaux qui s’est produit cette semaine:
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D’autant que le Risk Indicator sur les actions US de Goldman Sachs est à son plus haut vers 76%, ce qui signale la sur-évaluation historique extrême intenable des dites actions:
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Nous expliquions ainsi notre stratégie lors de notre dernier commentaire du 6 octobre 2018:
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« Nous restons donc dans l’idée qu’il ne faut pas acheter d’actions individuelles et pas non plus d’obligations mais continuer avec la stratégie de moindre risque Long+Short sur les indices boursiers US d’achats simultanés d’options calls et d’options puts selon les indices (plus de calls sur le Dow Jones mais plus de puts sur le Nasdaq, autant des unes et des autres sur le S&P500). D’ici fin décembre 2018, échéance sur laquelle nous sommes placés, les indices US soit monteront fortement soit baisseront fortement et c’est alors que notre stratégie se révèlera ultra payante, comme elle l’a déjà été en début d’année 2018 ».
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« Les actions des FAANGS sont devenues les plus risquées… »
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« Quant aux marchés d’actions émergents et européens, il importe de s’abstenir de les traiter ».
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Nous avons donc eu raison beaucoup plus tôt que prévu et les gains obtenus cette seule semaine écoulée sur nos comptes clients en gestion sont très importants (d’une dizaine à plusieurs dizaines de pour cents de leur capital).
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Le graphique ci-dessous de Rambus confirme que le plus haut a été atteint sur le S&P 500 (et la plupart des autres indices boursiers US et mondiaux) pour longtemps, très longtemps…
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Tous les indices boursiers US et mondiaux ont chuté (un bel exemple de l’absurdité de la mondialisation dérégulée sans frontières et de la financiarisation à outrance des économies qui ont supprimé l’étanchéité des marchés les uns par rapport aux autres), près de 15 trillions de dollars US sont partis en fumée… Il y aura des reprises techniques temporaires, du style rebond du chat mort (Dead Cat bounce), aux USA surtout, mais, après de tels mouvements de baisse, la tendance haussière pluriannuelle est partout cassée. La prochaine rechute ne pourra pas être stoppée par personne.
Comme la Federal Reserve de Powell continuera de monter ses taux d’intérêt et de réduire la taille de son bilan, en dépit de l’absence d’inflation aux USA et des protestations de Trump et de quelques bons économistes, ce qui fera exploser le service de la dette US (tous les Américains paieront l’addition);
Et que la BCE de Draghi va commencer bientôt a aussi réduire le sien;
Le retournement de tendance à la baisse des obligations et des actions, avant que l’immobilier plonge aussi, ne fait que commencer. C’est en Europe que le pire est à venir:
Le bilan de la BCE est ahurissant… Sa réduction sera fatale pour les actions et les obligations européennes… Parce que tous les prix des actifs, artificiellement boostés par les banques centrales, sont FAUX.
Il ne faut pas détenir d’actions européennes ni d’indices boursiers européens (Suisses compris), ne pas jouer de possible rebond temporaire sur les actif européens, le triple top sur le STOXX 600 annonçant leur effondrement qui durera des années:
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L’Union européenne est dans une phase avancée d’éclatement, la majorité des Européens n’en veulent plus:
En revanche, nous avons pris ces derniers jours nos profits sur tous nos achats de puts sur les indices boursiers US et ne conservons que nos achats de calls sur lesdits indices, avec toutefois une position longue sur le VIX (objectif: 50 à moyen terme) à titre d’assurance. Mais en se gardant la possibilité de reprendre les achats de puts à tout moment si nécessaire avec le cash disponible que nous avons accumulé.
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Le S&P500 et l’indice FAANGs, donc le DJIA et le Nasdaq aussi, devraient se reprendre un peu dans la deuxième moitié d’octobre dans le cadre de leur Dead Cat Bounce, ce qui nous permettrait de sortir les calls -vraisemblablement avec profits- que nous avons conservées, mais dès la fin du mois et surtout début novembre (juste avant les élections US de mid term du 6 novembre) ils devraient replonger, pour terminer leur correction de -10 à -15%. Après on verra selon qui aura gagné les élections US.
La chute des actions US qui vient de se produire étant pire que celle de février 2018, en nombre d’actions US chutant en dessous de leur moyenne mobile à 200 jours, le S&P 500, après sa reprise technique limitée de cette fin octobre, devrait rechuter vers son niveau atteint à ce moment-là c’est-à-dire vers 2.512 / 2.550 correspondant en outre à une correction tout à fait habituelle de Fibonacci de 38% de sa hausse 2016 / 2018.
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Qu’il s’agisse des investisseurs US ou européens, beaucoup sont sortis des obligations mais ils sont encore engagés dans les actions, ces dernières ont donc un grand potentiel de baisse supplémentaire quand ils en sortiront.
Une fois encore, il ne faut plus pratiquer la gestion du passé via l’achat d’actions individuelles mais il faut pratiquer la gestion indicielle parce que quand les indices boursiers montent beaucoup d’actions ne les suivent pas mais quand les indices baissent elles chutent toutes ensemble, que traiter les actions individuelles coute beaucoup plus cher que traiter les indices et que la liquidité est souvent absente des actions individuelles alors qu’elle est très vaste sur les indices. Actuellement tout a baissé y compris les FAANGs et le secteur du luxe réputés être constitués d’actions supposées intrinsèquement haussières (il n’y a plus de refuge).
Si vous avez un portefeuille d’actions et/ou d’obligations, instruisez votre banque ou votre société de bourse de tout vendre progressivement d’ici la fin octobre, même à perte, et ne conservez que du cash en euros et en franc suisses. Faites comme le bon gestionnaire français Louis de Montalembert, de Pléiade AM, qui aurait liquidé tous les actifs de ses portefeuilles clients en gestion pour se mettre en cash. Sortez d’ici fin octobre des fonds actions et obligations.
L’euro/dollar US continue de tenir au dessus de son support:
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Ne rien faire sur les métaux précieux et les actions des sociètes minières qui vont toujours nulle part:
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Dans notre prochain commentaire nous exposerons pourquoi les FAANGs et les actions technologiques mais aussi le Nasdaq et le SOX pourraient chuter fortement fin 2018 et début 2109…
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06oct.
Que se passe-t-il sur les marchés financiers ?
Les indices d’actions US qui se trouvaient cette semaine proches de leurs meilleurs niveaux de l’année ont chuté, d’une part, en raison de la hausse trop rapide des taux d’intérêt US organisée par le calamiteux président de la Federal Reserve Jay Powell entrainant l’effondrement des actions small caps et des obligations (hausse qui n’est pas mauvaise en soi dans une économie en très forte croissance comme celle des USA à la condition qu’elle reste modérée et graduelle et qu’il n’y ait pas d’inversion de la courbe des taux) et, d’autre part, surtout, en raison de la publication d’un rapport explosif élaboré par Bloomberg à partir de sources puisées auprès des services de renseignements US et des entreprises FAANGs exposant le piratage par la Chine des systèmes informatiques desdits services et des dites entreprises (mais aussi de beaucoup d’autres) via de minuscules puces introduites secrètement dans les matériels fabriqués dans ce pays. D’où la perspective renouvelée d’une vraie « guerre économique et commerciale » totale entre les USA et la Chine, Trump devant agir vite et fort contre le « Dragon rouge », plus seulement pour faire baisser les déficits US qui continuent de s’accroitre mais principalement pour protéger la sécurité des USA et des pays occidentaux.
« The losses were led by heavyweight stocks in the technology and communication services sectors including all members of the so-called FAANG group – Facebook (FB.O), Amazon (AMZN.O), Apple (AAPL.O), Netflix (NFLX.O) and Alphabet (GOOGL.O). Online retailer Amazon, part of the consumer discretionary sector, lost 1 percent ».
Le rapport Bloomberg sur les pratiques secrètes et déloyales pratiquées par la Chine championne de l’espionnage industriel: Toute la chaine d’approvisionnement des entreprises techno et d’information US et internationales est maintenant menacée… Les actions des FAANGS sont devenues les plus risquées…
L’agence Bloomberg rapporte qu’une trentaine d’entreprises, dont Apple et Amazon, utiliserait des serveurs corrompus.
Une puce minuscule installée sur les cartes mères:
Ces composants, fabriqués en Chine auraient été livrés avec une puce cachée au beau milieu de la pièce, permettant d’ajouter une porte dérobée et d’accéder aux données des serveurs, comme les clés de sécurité ou la récupération de données stockées à distance. Les hackers viseraient principalement les données gouvernementales et de la CIA, stockées sur des solutions fournies par Amazon.
Ce dernier ainsi qu’Apple, faisant partie des entreprises listées par Bloomberg, ont démenti fermement toutes les deux l’utilisation de ces cartes mères piégées dans leurs fermes de données.
L’indice des FAANGs a cassé son support à la baisse, d’où la double baisse du Nasdaq et du Semiconductor:
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Trump a donc raison de vouloir isoler la Chine par un cordon sanitaire, de l’empêcher le plus possible de piller l’Occident et de vouloir rapatrier la production technologique aux USA. Les dirigeants européens devraient l’aider au lieu de lui mettre des bâtons dans les roues ainsi que le font Juncker, Merkel et Macron qui sont beaucoup trop complaisants avec Pékin.
Jay Powell, le président irresponsable de la Federal Reserve qui fait partie de ceux des Républicains honnissant Trump, estimant que l’économie US va trop bien s’emploie à la détruire… Sans doute pour faire payer à Donald Trump qu’il déteste pour les critiques qu’il lui a adressées à propos de sa politique de hausse des taux US, injustifiée étant donné l’absence d’inflation…
Powell a déjà provoqué pendant cette année 2018, qui est la plus difficile en termes de trading depuis longtemps, presque tout le monde perdant de l’argent alors que on devrait en gagner beaucoup dans une booming economy, outre le krach obligataire en cours, deux corrections importantes de près de 10% des actions US (S&P500). Il est possible que la troisième ait déjà commencé… Mais cela n’est pas certain.
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Important: These stocks should be booming during this historic bull market, but instead some are down 40%
Et il a, par ailleurs, fait perdre à l’occasion de ses déclarations intempestives 1,5 trillions de dollars US aux investisseurs sur les actions US, comme vient de le calculer JPMorgan, la plus grande banque US, sans compter les pertes qu’il a indirectement induites sur les actions mondiales elles-mêmes et les monnaies des pays émergents qu’il étrangle via la fermeté du dollar US et la hausse des taux US…
Nous restons donc dans l’idée qu’il ne faut pas acheter d’actions individuelles et pas non plus d’obligations mais continuer avec la stratégie de moindre risque Long+Short sur les indices boursiers US d’achats simultanés d’options calls et d’options puts selon les indices (plus de calls sur le Dow Jones mais plus de puts sur le Nasdaq, autant des unes et des autres sur le S&P500). D’ici fin décembre 2018, échéance sur laquelle nous sommes placés, les indices US soit monteront fortement soit baisseront fortement et c’est alors que notre stratégie se révèlera ultra payante, comme elle l’a déjà été en début d’année 2018.
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Quant aux marchés d’actions émergents et européens, il importe de s’abstenir de les traiter:
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Parce que ces derniers ne peuvent qu’aller nulle part ou baisser, compte tenu de la hausse des taux d’intérêt devenue globale, de leurs économies anémiées et de leurs problèmes géopolitiques insolubles rapidement:
Pas de support sur le DAX, le principal indice européen, avant 11.451
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Pas de support sur l’indice des émergents avant 30.55
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Pour ce qui concerne l’euro et le franc suisse contre dollar US, dans lesquels nous conservons nos actifs cash, ils se tiennent plutôt bien. Le support vers 1,15 sur l’euro/dollar US continuant de tenir:
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D’ailleurs, le dollar US continue de monter contre toutes les monnaies internationales sauf contre les monnaies européennes comme le montre le Dollar US Index dans lequel elles sont sur pondérées:
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La roupie indienne comme plusieurs autres monnaies émergentes vient d’atteindre son plus bas historique: