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25avr.
Tant que la Fed et l’Administration US de Trump poursuivront leurs politiques de Quantitative Easing illimité, d’injection massive de liquidités dans l’économie via l’hélicoptère monnaie et de recours sans précédent à la dépense publique via l’endettement des USA, qui est loin de son maximum possible étant donné qu’ils s’endettent dans leur propre monnaie le dollar US qui ne faiblit pas, comme de maintien des taux courts voisins de zéro, et tant que ce pays ne sera pas sorti du confinement, étant donné que c’est alors seulement que l’on pourra évaluer correctement l’étendue du désastre provoqué par le virus chinois et la mauvaise politique de la plupart des États fédérés US dirigés par des gouverneurs « démocrates » de mise à l’arrêt des activités économiques suite à leurs décisions de confinement (un pseudo remède pire que le mal ne diminuant pas le nombre de victimes qui, s’il se poursuit, ne laissera que des exclus, des chômeurs appauvris et des entreprises exsangues); il est à notre avis impossible qu’il y ait un second krach des actions et des indices boursiers US (probablement surévalués) avant septembre mais seulement des corrections de très courte durée (en particulier pendant la deuxième quinzaine de mai saisonnièrement baissière). Même si, entretemps, les profits des entreprises chutaient plus et que les prix du pétrole et des matières premières poursuivaient leur baisse. Idem pour les marchés boursiers européens, dont la plupart des États gèrent au plus mal la crise sanitaire en cassant leurs économies via les confinements, qui sont moins haussiers parce que ces États enfermés dans le carcan de l’eurozone, laquelle tarde à réagir, n’ont toujours pas la liberté de monétariser leurs actifs ou leurs dettes et que leurs économies étaient déjà au plus mal avant la crise. Tout est, pour le moment, en état d’apesanteur artificielle; principales monnaies, actions des sociétés minières qui viennent comme attendu de sur-performer et métaux dits précieux inclus. La meilleure stratégie consiste donc à réduire, au fur et à mesure que l’on enregistre des gains substantiels, les positions longues sur tous les actifs, mais à ne pas encore aller short, sauf sur les obligations qui devraient déjà plonger par anticipation des défauts à venir de nombreux États et entreprises partout dans le monde.
Tant que la Fed et l’Administration US de Trump poursuivront leurs politiques de Quantitative Easing illimité, d’injection massive de liquidités dans l’économie via l’hélicoptère monnaie et de recours sans précédent à la dépense publique via l’endettement des USA, qui est loin de son maximum possible étant donné qu’ils s’endettent dans leur propre monnaie le dollar US qui ne faiblit pas, comme de maintien des taux courts voisins de zéro, et tant que ce pays ne sera pas sorti du confinement, étant donné que c’est alors seulement que l’on pourra évaluer correctement l’étendue du désastre provoqué par le virus chinois et la mauvaise politique de la plupart des États fédérés US dirigés par des gouverneurs « démocrates » de mise à l’arrêt des activités économiques suite à leurs décisions de confinement (un pseudo remède pire que le mal ne diminuant pas le nombre de victimes qui, s’il se poursuit, ne laissera que des exclus, des chômeurs appauvris et des entreprises exsangues); il est à notre avis impossible qu’il y ait un second krach des actions et des indices boursiers US (probablement surévalués) avant septembre mais seulement des corrections de très courte durée (en particulier pendant la deuxième quinzaine de mai saisonnièrement baissière). Même si, entretemps, les profits des entreprises chutaient plus et que les prix du pétrole et des matières premières poursuivaient leur baisse. Idem pour les marchés boursiers européens, dont la plupart des États gèrent au plus mal la crise sanitaire en cassant leurs économies via les confinements, qui sont moins haussiers parce que ces États enfermés dans le carcan de l’eurozone, laquelle tarde à réagir, n’ont toujours pas la liberté de monétariser leurs actifs ou leurs dettes et que leurs économies étaient déjà au plus mal avant la crise. Tout est, pour le moment, en état d’apesanteur artificielle; principales monnaies, actions des sociétés minières qui viennent comme attendu de sur-performer et métaux dits précieux inclus. La meilleure stratégie consiste donc à réduire, au fur et à mesure que l’on enregistre des gains substantiels, les positions longues sur tous les actifs, mais à ne pas encore aller short, sauf sur les obligations qui devraient déjà plonger par anticipation des défauts à venir de nombreux États et entreprises partout dans le monde.
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Comme prévu dans notre dernier commentaire, le S&P500 n’a pas cassé à la baisse cette semaine 2.700 qui est devenu le support de cet indice (à garder en mémoire comme niveau de stop pour sortir les positions longues en cas de nouveau mouvement de baisse important):
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Le S&P500 et le Nasdaq restent haussiers à court terme:
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A noter la chute des positions shorts sur le VIX, ce qui est haussier pour le S&P500:
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Les objectifs de hausse à moyen terme des indices US par Rambus Chartology (tant que le S&P500 ne cassera pas les 2.700, il peut remonter vers 3.164):
Les actions des sociétés minières, sur lesquelles nous restons long via l’achat du NUGT principalement, ont cette semaine cassé à la hausse et ont sur-performé l’or mais aussi le S&P500:
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Pourquoi le dollar US ne baisse-t-il pas?
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Voir: Pourquoi une monnaie peut monter malgré la planche à billets ?
La « logique » absurde du confinement aveugle est criminelle; quant à la vaccination obligatoire -mandatory vaccine- (dont l’efficacité est loin d’être avérée) que l’on nous prépare, elle posera aussi de nombreux problèmes de santé et d’atteintes aux libertés:
Le maintien des libertés civiles (individuelles et collectives politiques, de travail et de mouvement) est aussi important que le traitement de l’épidémie pour le respect de la démocratie, le soutien de l’économie et sa reprise:
Géopolitique du Coronavirus XI – Entretien avec Lucien Cerise – Strategika
« le confinement aura un coût économique et humain supérieur au virus lui-même. Il faut distinguer deux niveaux : la pandémie en elle-même et les choix politiques mis en œuvre pour l’endiguer. En fait, ce n’est pas la pandémie en elle-même qui risque de provoquer un effondrement quelconque, c’est le confinement de la population saine qui peut provoquer cet effondrement économique et systémique, au prétexte de lutter contre le virus. Une pandémie sans confinement de la population saine n’aurait qu’un faible impact sur l’économie puisque la majorité de la population continuerait à travailler et produire ».
Les confinements entrainent déjà dans les pays émergents (d’Amérique du Sud en particulier) des drames humains, sociaux et sécuritaires, de plus en plus de gens « informels » ne pouvant plus travailler donc gagner de quoi se nourrir et la répression policière augmentant, le risque d’une famine mondiale (en Afrique par exemple) s’accroit si les économies ne sont pas ré-ouvertes au plus vite.
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Coronavirus: Five of the countries most at risk from famine in 2020 – BBC News
Trump n’a pas encore perdu sa réélection s’il parvient à faire cesser les confinements et à permettre à la population de retravailler et de se redéplacer dans les USA:
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Voir: Le peuple américain» contre le confinement ?
Ce qui est étonnant dans la crise sanitaire actuelle c’est le séisme mondial qu’elle provoque alors qu’il n’y a pas si longtemps en 1968 une autre épidémie de mêmes proportions, venue de Chine déjà, a eu lieu sans que tout l’édifice politico-économique et démocratique s’écroule un peu partout. Sans doute parce que la mondialisation et l’européanisation n’étaient pas encore à l’œuvre (les frontières et les États-nations existaient encore, des hommes politiques sérieux et patriotes étaient au pouvoir) et les gens, individuellement et collectivement, étaient beaucoup plus courageux et responsables:
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Grippe de 1968 : un million de morts dans l’indifférence générale
La Chine de Xi Jin Ping, dont la responsabilité dans l’émergence et la diffusion du virus fabriqué dans le laboratoire de Wuhan est totale, qui a infligé au monde un « Pearl Harbor » planétaire, va-t-elle s’en sortir et gagner la partie?
Le pire de tous les systèmes politiques (indépendamment des dictatures du type Chine) c’est celui centralisé (du type français ou de l’Union européenne de Bruxelles), dans lequel les gouvernements ou les « marchés » imposent aux citoyens leurs visions politico-économiques et sociales arbitraires et technocratiques, et le meilleur c’est celui décentralisé (du type suisse), dans lequel les citoyens peuvent imposer leurs aspirations individuelles collectives politico-économiques et sociales aux gouvernements et aux « marchés ». Partant de ce constat, les référendums d’initiative citoyenne, dont les résultats ne devraient pas pouvoir être ignorés par les gouvernants ni par les dirigeants économiques, doivent être généralisés pour sortir du chaos politico-économique et social qui est à la fois la cause et la conséquence de la pandémie actuelle, ce qui suppose d’en finir avec les États centralisés dirigistes et avec l’Union européenne de Bruxelles en adoptant la démocratie directe à tous les niveaux. Tant que cela ne se fera pas, il n’y aura pas de solutions durables et positives pour sortir de l’impasse politico-économique et sociale actuelle, même si la phase active du virus diminue.
Si la Suisse gère si mal la crise actuelle, et qu’il y a autant de victimes dans les cantons frontaliers de Genève et du Tessin, ce n’est pas parce que ses institutions ont failli mais parce que le Conseil fédéral et les exécutifs cantonaux se sont attribués des pouvoirs exorbitants du droit commun qui leur permettent de ne pas fermer les frontières, d’imposer le semi-confinement (aussi mauvais pour l’économie que le confinement aveugle rigide) et de suspendre les libertés publiques. Pendant que le parlement ne siège plus. Du jamais vu au pays du système parlementaire et de la démocratie directe! Quant à la BNS, tétanisée par ses propres pertes, elle ne fait pas ce qu’elle devrait faire pour limiter la casse, pas plus que les exécutifs fédéral et cantonaux, qui peuvent et doivent donner à fonds perdus aux entreprises et aux particuliers mais ne prêtent que de faible montants qui devront être remboursés.
Alors que les gouvernements, imprévoyants et incompétents, dépassés par la crise sanitaire provoquée par le virus chinois suppriment les libertés individuelles et publiques, tout en installant « Big Brother », ses effets économiques et sociaux commencent seulement à apparaitre. Quant à ses effets financiers, ils n’apparaitront qu’après que les déconfinements seront intervenus et que l’on pourra constater l’étendue effective du désastre de leur gestion sur l’économie réelle et les entreprises, ce qui explique que la Fed et le Trésor US soient encore en mesure de propulser à la hausse les marchés d’actions et les indices boursiers US, via leurs injections jamais atteintes de liquidités et leurs rachats massifs de tous les actifs fragiles qui incitent les « insiders » à investir dans la bourse US d’autant que le dollar US (monnaie refuge) reste fort. Ce n’est donc probablement qu’après la fin des déconfinements qu’une éventuelle (pas certaine) deuxième chute boursière, après celle initiale de -34% sur le S&P500 de février/mars, pourrait intervenir (mais sans que les indices cassent à la baisse leurs plus bas récents de mars qui étaient extrêmes d’autant que d’autres instruments encore disponibles seraient alors utilisés par la Fed et le Trésor US pour la stopper). C’est à ce moment-là que les peuples (espérons le) pourront recouvrer partiellement leurs libertés. Et, probablement, exprimer leur mécontentement. Comme c’est, à notre avis, en Europe que le désastre final sera le pire (en France, en voie de devenir une dictature, singulièrement) et que c’est là que la révolte populaire culminera, le double carcan de l’Union européenne et de l’euro empêchant toute avancée positive tant qu’il n’implosera pas, nous ne traitons aucun actif européen. Comme il n’y a pas de « repas gratuit », les États devraient ensuite subir un krach obligataire. Nous restons, en sus de nos positions longues sur les indices boursiers US, que nous traitons activement pour éviter de se faire piéger lors de leur éventuelle prochaine inversion de tendance, très modérément long argent-métal et actions des sociétés minières mais short obligations US.
Alors que les gouvernements, imprévoyants et incompétents, dépassés par la crise sanitaire provoquée par le virus chinois suppriment les libertés individuelles et publiques, tout en installant « Big Brother », ses effets économiques et sociaux commencent seulement à apparaitre. Quant à ses effets financiers, ils n’apparaitront qu’après que les déconfinements seront intervenus et que l’on pourra constater l’étendue effective du désastre de leur gestion sur l’économie réelle et les entreprises, ce qui explique que la Fed et le Trésor US soient encore en mesure de propulser à la hausse les marchés d’actions et les indices boursiers US, via leurs injections jamais atteintes de liquidités et leurs rachats massifs de tous les actifs fragiles qui incitent les « insiders » à investir dans la bourse US d’autant que le dollar US (monnaie refuge) reste fort. Ce n’est donc probablement qu’après la fin des déconfinements qu’une éventuelle (pas certaine) deuxième chute boursière, après celle initiale de -34% sur le S&P500 de février/mars, pourrait intervenir (mais sans que les indices cassent à la baisse leurs plus bas récents de mars qui étaient extrêmes d’autant que d’autres instruments encore disponibles seraient alors utilisés par la Fed et le Trésor US pour la stopper). C’est à ce moment-là que les peuples (espérons le) pourront recouvrer partiellement leurs libertés. Et probablement exprimer leur mécontentement. Comme c’est, à notre avis, en Europe que le désastre final sera le pire (en France, en voie de devenir une dictature, singulièrement) et que c’est là que la révolte populaire culminera, le double carcan de l’Union européenne et de l’euro empêchant toute avancée positive tant qu’il n’implosera pas, nous ne traitons aucun actif européen. Comme il n’y a pas de « repas gratuit », les États devraient ensuite subir un krach obligataire. Nous restons, en sus de nos positions longues sur les indices boursiers US, que nous traitons activement pour éviter de se faire piéger lors de leur éventuelle prochaine inversion de tendance, très modérément long argent-métal et actions des sociétés minières mais short obligations US.
La prochaine résistance sur le S&P500 qui se situe vers 2.900 pourrait ne pas être franchie facilement, ce qui le ferait éventuellement rebaisser vers 2.800, sans que sa tendance haussière soit changée:
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La résistance sur le Nasdaq Composite, le plus fort des indices US, vers 8.400 a été franchie parce que les FAANGs, étant toujours bénéficiaires et détenant une quantité de cash considérable leur permettant d’amortir les effets de la crise, restent haussiers:
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Les insiders, qui ont massivement acheté des actions et des indices boursiers US pendant leur chute de mars, sont toujours longs:
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Ce sont la création massive de liquidités, l’hélicoptère-monnaie et la perspective de déconfinement progressif des USA qui soutiennent les indices boursiers US:
Les obligations US sont en phase de retournement à la baisse. D’accord avec Ray Dalio qui estime qu’il est « fou » d’acheter des obligations US ou autres; la montée de l’endettement international étant exponentielle et de nombreux défauts de remboursement étant attendus, le krach obligataire est inévitable:
D’ailleurs, le ratio actions US / obligations US est en nette reprise, ce qui est haussier pour les premières mais baissier pour les deuxièmes:
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Les actions des sociétés minières sont sur une résistance majeure dont la cassure pourrait les propulser plus haut mais qui, si elle n’est pas franchie en début de cette semaine, devrait les faire replonger. Dans cette dernière hypothèse, nous revendrions alors notre position longue sur ces actions et aussi notre position longue sur l’argent-métal pour rester neutres.
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Nous n’avons toujours pas d’or qui, ayant clôturé la semaine en dessous de 1.700 USD l’once, est décevant:
Trump, et les autres dirigeants occidentaux ou des pays émergents, ont été manipulés par la Chine de Xi Jin Ping, qui leur a fait subir un « Pearl Harbor » planétaire en créant et diffusant le Covid 19, à laquelle il faudra bien un jour présenter la facture:
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Voir: The first documentary movie on CCP virus, Tracking Down the Origin of the Wuhan Coronavirus
La Suisse n’en fait pas assez pour traiter la crise, détenant des excédents budgétaire importants, elle ne doit pas seulement prêter aux entreprises en difficulté mais leur donner à fonds perdus et mettre en place hélicoptère monnaie à destination de ses citoyens:
Presque tous les dirigeants politiques européens étant des irresponsables ayant plongé leurs pays dans la mondialisation sauvage ultra libre-échangiste sans frontières et dans la construction multinationale antidémocratique ingérable de l’Europe de Bruxelles bâtie au seul bénéfice de l’Allemagne, sans compter la casse de leurs systèmes sociaux, salariaux, de retraite et de santé publique au nom de la pseudo « rigueur », qui ont mis en danger leurs pays et leurs populations en les livrant à des forces incontrôlables, recourent actuellement à des procédures dictatoriales pour limiter, croient-ils, les dégâts de la pandémie provoquée par le virus chinois alors qu’ainsi ils les aggravent, en particulier en sacrifiant les libertés démocratiques. En raison de l’effondrement moral et politico-économique européen, qui ne fait que commencer, et surtout parce que Trump, en dépit des erreurs qu’il a lui aussi commises comme tout un chacun, a été le seul chef d’État à comprendre qu’il fallait protéger son pays contre la Chine totalitaire communiste (dont la responsabilité est écrasante dans la diffusion récente, actuelle et probablement future de son -ses- virus, en réalité une arme de guerre bactériologique contre l’Occident que « l’Empire du Milieu » veut dominer) en rétablissant toutes les barrières possibles à la mondialisation pour promouvoir son économie nationale et le bien-être de sa population, ce qu’il continuera de faire tant qu’il sera président; nous ne traitons que les actions et indices boursiers US (pour le moment à la hausse mais en s’adaptant le plus possible aux fluctuations intermédiaires via des options et ETFs) que, par ailleurs, la Fed continuera de soutenir en fournissant toutes les liquidités et crédits nécessaires, d’où leur reprise qui devrait quelques temps continuer en zigzags, et gardons trois autres modestes positions équilibrées (une longue sur l’argent-métal, une autre longue sur les actions des sociétés minières et une short sur les obligations US), dans la perspective de notre scénario post-crise à venir de stagflation et de crash obligataire exposé dans notre commentaire du 28 mars.
Presque tous les dirigeants politiques européens étant des irresponsables ayant plongé leurs pays dans la mondialisation sauvage ultra libre-échangiste sans frontières et dans la construction multinationale antidémocratique ingérable de l’Europe de Bruxelles bâtie au seul bénéfice de l’Allemagne, sans compter la casse de leurs systèmes sociaux, salariaux, de retraite et de santé publique au nom de la pseudo « rigueur », qui ont mis en danger leurs pays et leurs populations en les livrant à des forces incontrôlables, recourent actuellement à des procédures dictatoriales pour limiter, croient-ils, les dégâts de la pandémie provoquée par le virus chinois alors qu’ainsi ils les aggravent, en particulier en sacrifiant les libertés démocratiques.
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En raison de l’effondrement moral et politico-économique européen, qui ne fait que commencer, et surtout parce que Trump, en dépit des erreurs qu’il a lui aussi commises comme tout un chacun, a été le seul chef d’État à comprendre qu’il fallait protéger son pays contre la Chine totalitaire communiste (dont la responsabilité est écrasante dans la diffusion récente, actuelle et probablement future de son -ses- virus, en réalité une arme de guerre bactériologique contre l’Occident que « l’Empire du Milieu » veut dominer) en rétablissant toutes les barrières possibles à la mondialisation pour promouvoir son économie nationale et le bien-être de sa population, ce qu’il continuera de faire tant qu’il sera président; nous ne traitons que les actions et indices boursiers US (pour le moment à la hausse mais en s’adaptant le plus possible aux fluctuations intermédiaires via des options et ETFs) que, par ailleurs, la Fed continuera de soutenir en fournissant toutes les liquidités et crédits nécessaires, d’où leur reprise qui devrait quelques temps continuer en zigzags, et gardons trois autres modestes positions équilibrées (une longue sur l’argent-métal, une autre longue sur les actions des sociétés minières et une short sur les obligations US), dans la perspective de notre scénario post-crise à venir de stagflation et de crash obligataire exposé dans notre commentaire du 28 mars.
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La Liberté étant la valeur suprême et le seul bien essentiel irremplaçable pour les hommes, ceux qui y renoncent au bénéfice d’une sécurité temporaire ne méritent ni la Liberté ni la sécurité qu’ils finiront d’ailleurs par perdre toutes les deux.
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Nous vivons un cauchemar, c’est toute notre civilisation qui est en jeu. Les confinements, les couvre-feux et autres procédures autoritaires d’espionnage et de répression sont indignes des démocraties, d’ailleurs les seules démocraties qui subsistent encore, dans les pays de l’Europe du Nord, comme la Suède, ne les emploient pas.
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Voir: Coronavirus : La Suède refuse toujours un confinement strict
Les dirigeants politiques suisses, en particulier les ministres de la « Santé », tant au niveau fédéral (comme Alain Berset) que des cantons (comme Mauro Poggia à Genève) n’ayant rien fait pour protéger leurs populations faute d’avoir prévu avant les moyens de le faire (ils déconseillent de porter le masque parce qu’il n’y en a pas), et ne ferment toujours pas les frontières (alors que l’exemple de la Grèce peu contaminée montre que c’est ce qu’il faut faire), n’ont pas grand chose à envier à Macron, à Philippe et à leur gouvernement, lesquels évidemment sont encore plus incompétents et, de plus, mentent en permanence. La Suisse, autrefois prévoyante, a laissé ses stocks (d’éthanol par exemple) s’épuiser sans les remplacer. Les caisses maladies qui exigent des primes exorbitantes n’étant pas non plus en mesure d’aider la population. Il faudra réunir des Commissions d’enquête pour éclaircir tout cela et, en attendant, on pourrait suspendre ces gens de toute fonction publique.
La seule bonne dirigeante politique qui a émergé en Suisse c’est Karen Sutter, qui fait un sans faute, pendant que l’UDC de Blocher est hélas devenue inaudible alors que presque tout ce qu’elle avait prévu se réalise:
L’effondrement actuel français est pire qu’en juin 1940. Toute sa classe politique européiste tétanisée est disqualifiée, sauf François Asselineau qui prône le Frexit.
Le flicage des citoyens, avec l’aide des grandes entreprises de média, internet et communication, qui se développe déjà (pas seulement dans la dictature chinoise) mais s’annonce abominable avec la 5G (l’internet des objets), doit être refusé par les populations éprises de libertés qui ne doivent pas consentir à la dictature policière mondiale; en attendant interdisons Huawei en Occident:
Tout cela n’est hélas probablement qu’une étape vers la vaccination obligatoire des populations auxquelles on inoculera des puces électroniques pour les contrôler en permanence:
La mécanique de la reprise boursière et de sa rechute à venir: poursuite probable de la hausse pendant les confinements, baisse après
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La hausse des actions et des indices boursiers US, à l’évidence artificielle dans la mesure où elle ne correspond pas à la croissance de l’économie réelle ni des bénéfices à venir des entreprises US, est alimentée par les centaines de milliards de USD que la Fed met à disposition à taux quasi zéro de tous les acteurs financiers, des entreprises et des particuliers US qui, pour le moment n’en ont pas vraiment l’emploi étant donné que ladite économie étant à l’arrêt il n’y a pas lieu d’y investir. Ils placent donc leur cash en bourse.
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Elle est alimentée aussi par le Short Covering auquel sont contraint, au fur et à mesure que les prix montent, la majorité des investisseurs qui étant massivement short, et shortent encore plus pendant le rally, perdent de plus en plus d’argent d’où à intervalles irréguliers leurs achats massifs de couverture. C’est probablement quand les économies repartiront, lorsque le cash sortira des bourses pour aller dans l’économie réelle et que le Short Covering sera terminé, que les actions et les indices boursiers rechuteront. Cette rechute risque d’être forte.
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On ne peut pas prévoir quand ce point d’inflexion sera atteint ni les niveaux à partir desquels il se produira (2.900 sur le S&P500 ?), sauf en principe à considérer les dates du début des déconfinements dans les divers États US actuellement confinés par décisions de leurs gouverneurs démocrates, pas de la Maison Blanche. Ce n’est d’ailleurs qu’à partir de ce moment-là que l’on aura une vision plus claire de l’étendue du désastre économique effectif provoqué par le virus chinois, de comment faire repartir l’économie, et que l’on verra si les institutions politiques tiennent. Ou bien avant quand la sur-évaluation des actions et des indices boursiers US sera telle que plus personne n’osera en acheter.
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Les prévisions de contraction du PNB US varient de 1 à 4… Impossible de savoir ce qu’il va se passer!
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A noter que pendant la chute boursière de mars, les insiders (dirigeants des grandes entreprises et banques US) ont personnellement acheté un record d’actions et d’indices boursiers US, selon le FT, alors que la grande masse des investisseurs en pleine panique est allée short!!!
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Très forte résistance assez proche vers 2.900 sur le S&P500, là où passe la mm daily à 50 jours:
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Ci-dessous les graphiques des indices boursiers US de Rambus Chartology:
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Bonne analyse, Voir: La FED soutient les indices – 100% Marchés Daily BNP Paribas Laurent Albie – 9 Avril 2020 –
A noter la stabilisation du dollar US du fait de la création massive de monnaie aux USA:
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L’OPEC et la Russie ont signé un accord de réduction de la production de pétrole qui a déçu les marchés parce qu’il est insuffisant mais devrait le stabiliser vers 20 USD le baril:
Le Trésor US et la Fed étant de loin ceux créant le plus de liquidités et de crédits au plan mondial, c’est donc sur le marché US seulement qu’il faut intervenir d’autant que sa liquidité est la plus ample.
Les risques de guerres civiles et d’effondrements des institutions politiques au sortir des confinements existent partout mais c’est en Europe que le danger est le plus grand (en France singulièrement), compte tenu de leurs gouvernements que l’on ne supporte plus, d’autant que l’UE et l’euro pourraient imploser. Aux USA, c’est au moment des élections de novembre (un peu avant et surtout après) que le risque de guerre civile existe. Tous les responsables politiques occidentaux actuels devront alors rendre des comptes et seront poursuivis par les Tribunaux s’ils ne sont pas éliminés avant.
Ce serait un miracle que Trump soit réélu, d’autant qu’avec le retrait de Sanders et bientôt peut-être celui de Biden, il pourrait devoir affronter Andrew Cuomo, un adversaire plus coriace.
En Europe, les États-membres sont incapables de se mettre d’accord sur les coronabonds, l’Allemagne n’ayant aucune intention d’accepter la moindre mutualisation des dettes publiques européennes; BCE, BNS et les autres, sans compter les Trésors publics européens et suisse, sont beaucoup trop timides alors qu’il importe de généraliser les hélicoptères monnaie partout comme le pratiquent l’Administration Trump aux USA et le Royaume-Uni de Boris Johnson:
On ne pourra pas laisser la Chine impunie, ni ne pas organiser un cordon sanitaire autour d’elle en l’excluant de la communauté internationale et cessant de commercer avec elle, ainsi que cela a été fait pour l’URSS dans les années de Guerre Froide. Faute de quoi le monde s’exposera à de nouvelles épidémies venant de chez elle et à plus de désastres économiques et humains encore. Xi Jin Ping étant un mélange de Staline et d’Adolf Hitler, il importe pour les USA et le reste du « Monde Libre » de tout faire pour s’en débarrasser et non pas de signer des accords commerciaux et autres avec lui comme Trump a commis l’énorme erreur de le faire.
L’argent-métal semble avoir finalement démarré à la hausse:
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Ratio argent/or très favorable à l’argent:
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Indépendamment de nos positions longues sur les indices boursiers US que nous traitons activement sans rester passifs, nous avons trois positions supplémentaires: long d’argent-métal (via l’achat d’AGQ), long des actions des sociétés minières (via l’achat du NUGT), short des obligations US (via l’achat du TMV):
Le pire pour l’économie US étant probablement déjà escompté par les marchés financiers, nous avons vendredi 3 avril en grande partie dés-arbitré nos positions longues modérées sur les actions et les indices boursiers US que nous avions conservées mais protégées en début de semaine, d’autant que le pétrole WTIC -comme les indices boursiers US très sur-vendu- aux environs de 20 USD le baril devrait avoir trouvé son support de long terme grâce à un accord possible de réduction concertée de la production de l’Arabie saoudite, de la Russie mais aussi des USA. Et que la Fed poursuit et augmente ses achats d’actifs sans limitation aux côtés de l’hélicoptère-monnaie de l’Administration Trump. Nous attendrons soit leur nette reprise pour les revendre, soit la cassure vers 2.400 sur le S&P500 en clôture pour les arbitrer de nouveau. Entretemps, nous nous abstiendrons de les traiter sauf à très court terme pour des allers-retours, l’immobilité étant la pire des attitudes dans l’incertitude globale actuelle qui est appelée à durer.
Le pire pour l’économie US étant probablement déjà escompté par les marchés financiers, nous avons vendredi 3 avril en grande partie dés-arbitré nos positions longues modérées sur les actions et les indices boursiers US que nous avions conservées mais protégées en début de semaine, d’autant que le pétrole WTIC -comme les indices boursiers US très sur-vendu- aux environs de 20 USD le baril devrait avoir trouvé son support de long terme grâce à un accord possible de réduction concertée de la production de l’Arabie saoudite, de la Russie mais aussi des USA. Et que la Fed poursuit et augmente ses achats d’actifs sans limitation aux côtés de l’hélicoptère-monnaie de l’Administration Trump. Nous attendrons soit leur nette reprise pour les revendre, soit la cassure vers 2.400 sur le S&P500 en clôture pour les arbitrer de nouveau. Entretemps, nous nous abstiendrons de les traiter sauf à très court terme pour des allers-retours, l’immobilité étant la pire des attitudes dans l’incertitude globale actuelle qui est appelée à durer.
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Voir: Les marchés peinent à rebondir – 100% Marchés Daily – 03 Avril 2020 – BNP Paribas Laurent Albie
Le ratio S&P500 / VIX montre le caractère très survendu des indices boursiers US:
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Les actions des sociétés pétrolières US en particulier sont très survendues:
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Le dollar US reste haussier avec comme potentiel son retour sur ses plus hauts historiques de l’année 1985, ce qui hélas ruinerait la plupart des pays émergents endettés dans cette monnaie.
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Avoir une monnaie forte constitue actuellement et durablement un avantage pour les USA dans la mesure où cela réduira le poids de leur dette qui ne va faire que croitre et leur permettra d’acheter bon marché à l’extérieur, la question de l’avantage commercial du dollar US faible n’étant plus à considérer étant donné que les grandes entreprises US n’exporteront presque plus pendant un temps assez long faute de clients étrangers solvables.
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Important: Les banques centrales qui achètent de l’or ne le peuvent plus étant donné qu’elles ont besoin de toutes leurs réserves pour soutenir les économies:
Nous ne touchons toujours pas aux actifs européens, l’UE et ses divers États-membres étant hélas pour leurs concitoyens en train de couler, avec ensuite toutes sortes de poursuites contre les classes politiques qui devront rendre compte de leur désastreuse gestion actuelle voire même de révoltes populaires des gens qui auront presque tout perdu et ne l’accepterons pas. Même les responsables suisses, fédéraux et cantonaux, font aussi mal que ceux des autres pays européens, en ne fermant pas les frontières, en important des malades étrangers et en étant incapables de fournir à la population masques, gants et appareils pour tester la maladie!
A terme, quand la Chine et les USA seront sortis de l’épidèmie, c’est l’Europe qui aura collectivement le plus de mal à s’en remettre, sauf à reconstruire des États-nations européens indépendants démocratiques, donc décentralisés le plus possible au plus proche des citoyens, et à sortir de l’idéologie euro-mondialiste et de l’euro supranational, tout aussi ingérables que le mastodonte de l’Administration bruxelloise.
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Voir: Chronique éco de Jacques Sapir – Economie : l’UE à l’épreuve du coronavirus –
En dépit de l’extension du virus chinois de l’Europe vers les USA, la différence qui reste favorable à ces derniers c’est que, d’un côté, il y a la BCE, l’UE, Merkel, Macron, Lagarde, Van der Leyen et les autres, c’est-à-dire le néant euro-mondialiste ultra libre-échangiste sans frontières, incapable de sauver ce qui subsiste parce qu’ils ont cassé les États-nations européens donc leurs capacités de résistance, et que, de l’autre, il y a la Fed et l’Administration Trump, c’est-à-dire le pouvoir monétaire mondial doté du dollar-roi et d’un fort moral, qui mettront tout en œuvre pour s’en sortir, ce qui évidemment sera difficile, de telle sorte que le rebond des indices boursiers et des actions qui n’a pas tenu incite à conserver les actifs financiers US en les arbitrant (ce que nous avons fait les 31 mars et 1er avril afin de limiter les risques), mais sans aller short, vraisemblablement en route pour re-tester leurs plus bas récents du 23 mars, et à ne pas s’exposer aux actifs financiers européens.
En dépit de l’extension du virus chinois de l’Europe vers les USA, la différence qui reste favorable à ces derniers c’est que, d’un côté, il y a la BCE, l’UE, Merkel, Macron, Lagarde, Van der Leyen et les autres, c’est-à-dire le néant euro-mondialiste ultra libre-échangiste sans frontières, incapable de sauver ce qui subsiste parce qu’ils ont cassé les États-nations européens donc leurs capacités de résistance, et que, de l’autre, il y a la Fed et l’Administration Trump, c’est-à-dire le pouvoir monétaire mondial doté du dollar-roi et d’un fort moral, qui mettront tout en œuvre pour s’en sortir, ce qui évidemment sera difficile, de telle sorte que le rebond des indices boursiers et des actions qui n’a pas tenu incite à conserver les actifs financiers US en les arbitrant (ce que nous avons fait les 31 mars et 1er avril afin de limiter les risques), mais sans aller short, vraisemblablement en route pour re-tester leurs plus bas récents du 23 mars, et à ne pas s’exposer aux actifs financiers européens.
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Ci-dessous les graphiques daily et weekly du S&P500:
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Voir: Premiers signes de vulnérabilité sur les marchés – 100% Marchés Daily – BNP Paribas – Laurent Albie – 01 Avril 2020