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28déc.
Le fait que les cours des actifs boursiers et financiers soient dans la situation actuelle fixés et administrés par les principales banques centrales (dont les erreurs récurrentes devraient inquiéter plutôt que rassurer) ne signifie pas qu’ils ne sont plus soumis aux fluctuations relatives à leur saisonnalité historique, laquelle continuera évidemment de les faire varier, ainsi qu’on le verra dès le début janvier avec la forte correction des indices pendant tout le mois, mais seulement qu’ils ne sont plus fonction de la loi de l’offre et de la demande qui a cessé de s’exercer librement, ce qui constitue une régression par rapport à la normalité économique en faussant l’établissement le plus libre possible des prix (d’où les manipulations qui se multiplient) auquel il faudra bien revenir un jour, la liberté étant toujours préférable à la répression (financière, sociale ou politique). Qu’il s’agisse de la finance, comme de la plupart des autres activités humaines, nous sommes soumis à la dictature de la « pensée unique » déviante à l’inverse du bon sens et de la tradition démocratique qui ont fondé nos droits individuels et collectifs. Ce sont les politiciens, pour la plupart d’entre-eux non représentatifs, corrompus et/ou incompétents, qui en portent la responsabilité, pas les acteurs économiques. Bonne année 2020 qui verra, espérons-le, de nouveaux équilibres stables prendre place.
Le fait que les cours des actifs boursiers et financiers soient dans la situation actuelle fixés et administrés par les principales banques centrales (dont les erreurs récurrentes devraient inquiéter plutôt que rassurer) ne signifie pas qu’ils ne sont plus soumis aux fluctuations relatives à leur saisonnalité historique, laquelle continuera évidemment de les faire varier, ainsi qu’on le verra dès le début janvier avec la forte correction des indices pendant tout le mois, mais seulement qu’ils ne sont plus fonction de la loi de l’offre et de la demande qui a cessé de s’exercer librement, ce qui constitue une régression par rapport à la normalité économique en faussant l’établissement le plus libre possible des prix (d’où les manipulations qui se multiplient) auquel il faudra bien revenir un jour, la liberté étant toujours préférable à la répression (financière, sociale ou politique). Qu’il s’agisse de la finance, comme de la plupart des autres activités humaines, nous sommes soumis à la dictature de la « pensée unique » déviante à l’inverse du bon sens et de la tradition démocratique qui ont fondé nos droits individuels et collectifs. Ce sont les politiciens, pour la plupart d’entre-eux non représentatifs, corrompus et/ou incompétents, qui en portent la responsabilité, pas les acteurs économiques. Bonne année 2020 qui verra, espérons-le, de nouveaux équilibres stables prendre place.
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Il y a dans le monde un mouvement général d’opposition aux pouvoirs politiques en place qui montre l’incapacité des politiciens actuels à résoudre les problèmes des peuples et des Nations, par analogie avec l’incapacité des banques centrales à régler les questions monétaires et financières. Les taux bas ou négatifs ruinant les épargnants, les dévaluations compétitives cassant les monnaies et les Quantitative Easings Forever créant des faux prix, les banques centrales devront se renouveler en inventant de nouveaux instruments ad hoc.
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Le cas de la France et de son président psychopathe, arrogant (il se qualifie lui-même de « Jupiter »), déviant, qui insulte à chaque occasion l’histoire de la France (en particulier son œuvre coloniale pour laquelle tant de Français ont donné leurs vies), sans expérience (d’où les violences policières et la répression judiciaire auxquelles il a constamment recours) ni programme (autre que de « faire les poches » de ses concitoyens qu’il méprise au profit des groupes qui l’ont financé et placé là où il est), dont le gouvernement est corrompu (Delevoye, De Rugy, Goulard, Kohler, etc.) et/ou incompétent (Philippe, Castaner, Schiappa, Riester, etc.) comme en témoigne la saga actuelle de la réforme des retraites, étant emblématique de l’impasse dans laquelle se trouvent aussi plusieurs autres pays. Alors qu’il serait possible de recourir sur presque tous les sujets à la démocratie participative en interrogeant les peuples par référendum sur les choix à effectuer.
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Voir: Retraites, pourquoi il faut faire un référendum
Ce n’est pas Trump qu’il faut tenter de destituer c’est Macron… Ainsi que le propose François Asselineau et que devraient s’y employer Jean Luc Mélenchon, Marine Le Pen et les quelques LR ou socialistes restants qui se prétendent être ses opposants alors qu’ils ne pratiquent qu’un jeu de rôle convenu avec lui. Après tout, les Français n’ont qu’à s’en prendre qu’à eux-mêmes d’avoir élu les gens qui ne fallait pas (comme les Algériens et les Tunisiens viennent aussi de le faire en votant lors de leurs élections présidentielles récentes pour ceux qui perpétueront les systèmes qu’ils rejettent depuis des années) ainsi qu’Orwell, qui a si bien anticipé le monde ultra-manipulé dans lequel nous vivons, avait mis en garde.
Sans parler de l’Union européenne ou de l’euro que Macron plébiscite alors que la France devrait sortir des deux si elle veut redevenir un pays maitre de son destin, ainsi que le Royaume-Uni va enfin le faire avec son Brexit et comme la Suisse se félicite tous les jours de ne pas y être entrée (ces deux États ayant eu par ailleurs la sagesse de conserver leurs monnaies et leurs défenses nationales garantes de leur souveraineté). Sans parler non plus de la subversion migratoire et de la pénétration islamiste qui mettent la France et l’UE en grand danger, que Merkel continue à soutenir comme à imposer à son pays comme aux voisins de l’Allemagne avec l’accord de Macron, alors même que l’effondrement récurrent du Liban montre l’impossibilité d’un État multiconfessionnel à subsister. La Turquie du dictateur islamiste Erdogan continuant de menacer l’Europe et le Moyen-Orient, affichant maintenant ses ambitions en Libye et tentant de s’approprier le gaz contenu en Méditerranée orientale, les dirigeants européens doivent lui fixer des limites claires à ne pas franchir et cesser de se faire rançonner par elle.
En 2020, dans l’Union européenne la situation sera d’autant plus compliquée que les marges de manœuvre de la BCE sont désormais très étroites et que la nouvelle Commission européenne s’est fixée le programme fou de décarboner l’Union européenne pour l’essentiel en 10 ans qui risque de siphonner toute son épargne, d’y augmenter fortement le prix de l’énergie, d’y couter des millions d’emplois industriels et d’y entrainer quantité de faillites d’entreprises, sans compter le changement drastique des modes de vie (toutes sortes de mouvements de protestation du type « Gilets Jaunes » se généralisant), alors que ni le Royaume-Uni, ni les USA, ni la Chine, ni la Russie, ni l’Inde et autres pays émergents ne se lanceront dans une telle aventure en continuant avec leurs industries actuelles fonctionnant au carbone et aux énergies fossiles; il en résultera donc un grand avantage comparatif pour ces derniers pays par rapport à l’UE, lequel devrait permettre à leurs actifs boursiers de sur-performer les actifs boursiers de l’UE.
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Voir les deux commentaires ci-dessous de Patrick Artus, Natixis:
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Pourquoi la voie est désormais très étroites pour la BCE
L’UE va sacrifier son peu de croissance à l’écologisme, alors que rien ne prouve que le réchauffement climatique soit principalement dû aux activités humaines, là aussi il faut organiser un référendum, à l’échelle européenne cette fois-ci, pour consulter les citoyens sur le fait de savoir combien ils veulent payer pour la décarbonisation:
Quant aux USA, il n’y aura vraisemblablement ni récession économique ni krach boursier en 2020 étant donné la nouvelle politique de création massive de liquidités par la Fed de Powell, dont les marges de manœuvre sont encore importantes.
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L’augmentation du bilan de la Fed via un QE4 forever…
Le système bancaire US a été rempli de nouvelles liquidités massives et la Fed devrait temporairement ralentir sa création monétaire étant donné que les banques et autres intermédiaires financiers n’ont pas besoin d’en avoir plus à court terme, ce qui devrait provoquer une correction de courte durée des indices boursiers actuellement sur-achetés:
Trump devrait vraisemblablement gagner sa réélection à la condition de ne pas faire trop de concessions à la Chime qui le feraient apparaitre comme le « candidat Mandchoue » et accroitraient massivement les déficits commerciaux et budgétaires US; le mieux à faire pour lui étant de déconnecter les USA de la Chine.
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Like a real ‘Manchurian candidate,’ Trump will make China great:
Voir le graphique ci-dessous de saisonnalité en année d’élection présidentielle des actifs boursiers US qui devraient continuer de fluctuer avec un biais haussier et un sommet en fin d’année, de telle sorte que la stratégie sur les bourses US, le Nasdaq surtout qui est potentiellement explosif à la hausse, en 2020, est de ne jamais aller short (via l’achat de puts) mais d’aller long (vis l’achat de calls) lors de chaque faiblesse significative à considérer comme une opportunité d’achat:
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Objectif pour le S&P500 en 2020 selon Rambus Chartology: 3.835 au minimum mais plus probablement vers 4.000
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Voir: S&P 500 has potential to break out to almost 4,000 in 2020, says Pro
Un Nasdaq potentiellement explosif à la hausse… En cas de nette cassure des 9.100
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Nous avons sorti avec un bon profit le vendredi 27 décembre l’essentiel de nos positions haussières sur les indices boursiers d’actions, US principalement (prises via l’achat d’options calls surtout), qui ont été poussées à la hausse par le QE4 illimité de la Fed (et sortirons le reste encore gagnant prochainement), mais qui devraient fortement corriger à la baisse dès la semaine du 30 décembre / 5 janvier et ensuite, pour les reprendre plus bas courant janvier (le point bas desdits indices étant prévu aux environs du 24 janvier);
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Nous avons acheté modérément cette semaine de l’argent-métal, au comptant comme sous la forme de l’ETF AGQ, selon l’analyse ci-dessous de Seasonax Gmbh, parce que sa saisonnalité est devenue haussière en principe jusqu’à mi février (mais pas d’or, ni de platine, ni de palladium, dont le potentiel de hausse est moindre que celui de l’argent).
Nous sommes entrés à partir d’octobre 2019 (avec le commencement -non prévisible- du QE4 illimité de la Fed suite à la crise du taux Repo de fin septembre) dans un nouveau paradigme inconnu jusqu’ici, selon lequel tant que les principales banques centrales maintiendront des taux courts bas, à zéro, voire négatifs, mais surtout qu’elles poursuivront leurs politiques de Quantitative Easing d’injection massive de liquidités et d’achat des obligations, pour soutenir les économies, fournir aux systèmes bancaires et aux marchés financiers les liquidités dont ils ont besoin et éviter toute crise ouverte de la dette, il n’y aura pas d’autre alternative d’investissement rentable que l’achat des principaux indices boursiers d’actions (US surtout), même s’ils atteignent des niveaux historiquement élevés de valorisation et que les profits des entreprises ne suivent pas en proportion. La seule stratégie qui vaille pour 2020 est donc principalement d’acheter sur toute faiblesse ceux des indices internationaux qui ne sont pas sur-évalués en relation avec la hausse des produits intérieurs bruts (GDP / PIB) des principaux pays sur la base des ratios de Warren Buffett puis de prendre des profits successifs sur leurs accélérations à la hausse, mais en tenant compte de leur saisonnalité, sans s’inquiéter outre mesure des événements politico-économiques et sociaux par nature temporaires, volatils et superficiels. On s’abstiendra, dans le nouveau contexte de préférence pour les actifs boursiers faisant monter les taux longs, de tout achat d’obligations publiques qui ne sont que des créances pourries d’États pour la plupart sur-endettés et à terme insolvables.
Nous sommes entrés à partir d’octobre 2019 (avec le commencement -non prévisible- du QE4 illimité de la Fed suite à la crise du taux Repo de fin septembre) dans un nouveau paradigme inconnu jusqu’ici, selon lequel tant que les principales banques centrales maintiendront des taux courts bas, à zéro, voire négatifs, mais surtout qu’elles poursuivront leurs politiques de Quantitative Easing d’injection massive de liquidités et d’achat des obligations, pour soutenir les économies, fournir aux systèmes bancaires et aux marchés financiers les liquidités dont ils ont besoin et éviter toute crise ouverte de la dette, il n’y aura pas d’autre alternative d’investissement rentable que l’achat des principaux indices boursiers d’actions (US surtout), même s’ils atteignent des niveaux historiquement élevés de valorisation et que les profits des entreprises ne suivent pas en proportion. La seule stratégie qui vaille pour 2020 est donc principalement d’acheter sur toute faiblesse ceux des indices internationaux qui ne sont pas sur-évalués en relation avec la hausse des produits intérieurs bruts (GDP / PIB) des principaux pays sur la base des ratios de Warren Buffett puis de prendre des profits successifs sur leurs accélérations à la hausse, mais en tenant compte de leur saisonnalité, sans s’inquiéter outre mesure des événements politico-économiques et sociaux par nature temporaires, volatils et superficiels. On s’abstiendra, dans le nouveau contexte de préférence pour les actifs boursiers faisant monter les taux longs, de tout achat d’obligations publiques qui ne sont que des créances pourries d’États pour la plupart sur-endettés et à terme insolvables.
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C’est à partir d’octobre 2019 que tout a commencé et que la cassure à la hausse des indices boursiers est intervenue, sur lesquels nous conservons des achats d’options calls (à risque limité) pour le moment:
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Les graphiques de Rambus:
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La préférence pour les actions est mondiale:
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En 2018, c’est la politique restrictive de la Fed, ayant provoqué l’inversion de la courbe des taux, qui a eu pour conséquence un krach des indices boursiers de l’ordre de 20%; depuis octobre 2019, la hausse des mêmes indices boursiers est principalement (pour ne pas dire exclusivement) due aux injections massives de liquidités la part de la Fed -et accessoirement de la BCE-. Alors que Powell promettait d’être un nouveau Volcker il s’est révélé être un nouveau Bernanke, raison pour laquelle personne n’a vu venir ce qu’il allait faire en réalité c’est-à-dire un changement de politique à 360 degrés.
Si Powell et ses collègues ont renoncé à leur politique restrictive c’est parce qu’ils ont subi des pressions de Trump mais surtout des banques US, JPMorgan-Chase en premier lieu, qui ont organisé l’assèchement des liquidités dans le système bancaire US, et qu’ils ont alors redouté que cela provoque un krach boursier, comme l’explique la BRI de Bâle
Quant aux gesticulations de Trump dans sa relation commerciale avec la Chine, un « Fake Deal » dont on ne connait pas le contenu exact, encore à signer, ou la victoire des conservateurs de Boris Johnson aux législatives en Grande-Bretagne, qui n’ont rien réglé au fond de la négociation du Brexit (hard ou soft?) avec l’UE, elles n’ont eu qu’un impact limité et tardif (surtout de soulagement psychologique). Mais BoJo a un allié de poids avec Trump.
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Repo Madness! QE 3 ($40b a month) vs. Repo ($500b in 2 weeks)
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Fed Chair Jerome Powell says it not QE, so let’s just call it REPO MADNESS (the surge in Fed activity surrounding the repo market).
QE3 had The Fed adding $40 billion per month in Treasuries and Agency MBS, then QT (quantitative tightening struck). But the fear of repo madness struck and The Fed started purchasing $60 billion of Treasury bills per month.
More specifically, The Federal Reserve Bank of New York added $86.4 billion in liquidity to financial markets. In two operations carried out Monday, the Fed injected $36.4 billion in overnight liquidity and $50 billion in 32-day liquidity extending into the coming New Year.
Eligible banks took far less than the $120 billion the Fed was willing to offer in the overnight repurchase agreements, or repo, operation, while they wanted just slightly more long-term liquidity than the Fed was offering in the longer-term repo operation.
Eligible banks want more long-term liquidity? Does this mean more QE? Again??
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Holger Zschaepitz
@Schuldensuehner
Just to put things into perspective. S&P500’s all-time high driven mainly by global liquidity which hit an all-time high as well this week. The #Fed‘s balance sheet alone has risen by $30bn past week, total assets of #ECB by $12bn.
Y a t’il une limite au QE de la Fed et accessoirement à celui de la BCE? Personne n’en sait rien puisque jamais autant de liquidités n’ont été créés ex nihilo en si peu de temps! La seule chose que l’on peut dire c’est que cette création monétaire exubérante ne provoque toujours pas d’inflation, ni aux USA, ni en Europe, parce qu’elle s’investit dans les actifs financiers, pas dans l’économie réelle, et surtout parce que la mondialisation libre-échangiste actuelle est structurellement déflationniste. Création monétaire qui ne peut plus être arrêtée sous peine de provoquer un krach boursier mondial, bien pire qu’en 2018 suite à la tentative de Powell de réduire le bilan la Fed. Tout semble en place pour le Quantitative Easing Forewer… A moins de revenir à un modèle économique plus protectionniste moins concurrentiel et/ou de réformer le Système monétaire international en enlevant le pouvoir de création monétaire aux banques centrales indépendantes et de la limiter. Vaste programme!
Les attentes d’inflation sont au plus bas historique aux USA:
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Comme la pratique BlackRock, le principal gérant américain d’actifs au monde par la taille, c’est la gestion indicielle (achat des indices plutôt qu’achat des actions elles-mêmes) qui doit s’imposer par rapport à toutes les autres formes de gestion de portefeuilles parce qu’elle est moins risquée, moins chère et plus facile à mettre en œuvre en termes de réactivité.
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BlackRock est une société multinationale spécialisée dans la gestion d’actifs, dont le siège est situé à New York. Fondée en 1988, elle est devenue le plus important gestionnaire d’actifs au monde, avec près de 6 960 milliards USD fin septembre 2019. Wikipédia
Pour Janwillem Acket, les obligations d’État, portées par les différents programmes d’assouplissement quantitatifs, sont absolument à éviter. Les actions restent la catégorie d’actifs que nous privilégions:
En 2020, année des élections présidentielles aux USA, la saisonnalité des indices US d’actions (assez différente de celle en général pendant les années normales non électorales) permet d’anticiper leur correction modérée de mi-janvier (il faudra fortement alléger début / mi-janvier -avant le 11 janvier en tous cas- les positions longues que l’on détient actuellement pour les reprendre plus tard) à-mi février, puis leur hausse jusqu’à la mi-avril, leur nette rechute ensuite jusqu’à la fin mai, avant leur hausse soutenue de plusieurs mois jusqu’en septembre, etc…
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Goldman Sachs prévoit que le S&P500 devrait monter vers 3.250 puis vers 3.400 à la fin de l’année en 2020, sauf en cas de double victoire électorale des Démocrates (présidence + sénat) auquel cas il pourrait chuter vers 2.600 après avoir d’abord atteint 3.250.
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« If Democrats gain even a slim majority in the Senate, Goldman’s economists would expect an increase in the corporate tax rate, not to mention a collapse in the S&P to 2,600″
Santa Claus. Winter holiday cartoon character and Joyeux Noel Christmas script lettering
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14déc.
La détente intervenue cette semaine sur les principaux sujets d’inquiétude pour les investisseurs a permis aux indices boursiers d’actions de se maintenir à la hausse avec de petits gains, ce qui est conforme à leur saisonnalité haussière actuelle, mais, comme il faudra du temps pour régler ces sujets durablement (à supposer qu’ils puissent l’être), la tendance de base desdits indices devrait rester haussière en 2020, en raison des politiques de Quantitative Easing des principales banques centrales qui reviennent en force, avec toutefois des corrections inévitables de courte durée et de faible intensité. Pour le moment leur rally de fin d’année n’a pas encore commencé mais devrait démarrer entre le 17 et le 20 décembre (probablement à partir de niveaux plus bas que les actuels).
La détente intervenue cette semaine sur les principaux sujets d’inquiétude pour les investisseurs a permis aux indices boursiers d’actions de se maintenir à la hausse avec de petits gains, ce qui est conforme à leur saisonnalité haussière actuelle, mais, comme il faudra du temps pour régler ces sujets durablement (à supposer qu’ils puissent l’être), la tendance de base desdits indices devrait rester haussière en 2020, en raison des politiques de Quantitative Easing des principales banques centrales qui reviennent en force, avec toutefois des corrections inévitables de courte durée et de faible intensité. Pour le moment leur rally de fin d’année n’a pas encore commencé mais devrait démarrer entre le 17 et le 20 décembre (probablement à partir de niveaux plus bas que les actuels).
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Petits gains cette semaine: The market ended the week with small gains — about 0.5% for the Dow, 0.7% for the S&P 500 and 0.9% for the Nasdaq.
Les investisseurs n’ont pas aimé (avec raison) le supposé Deal entre Trump et les Chinois étant donné qu’ils ont acheté (à tort alors que la Fed émet toutes les liquidités nécessaires pour les maintenir à la hausse) en masse des puts sur les indices boursiers US comme le montre le ratio puts/calls :
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Les graphiques de Seasonax:
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Les graphiques de Rambus Chartology restent haussiers:
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La baisse du dollar US (d’où la hausse des actions des pays émergents), elle aussi conforme à sa saisonnalité traditionnelle, devrait se poursuivre au moins jusqu’à la fin décembre:
En 2020, année des élections présidentielles aux USA, la saisonnalité des indices US d’actions (assez différente de celle générale sur 91 ans selon le graphique précédent de Seasonax) permet d’anticiper leur correction modérée de mi-janvier à-mi février, puis leur hausse jusqu’à la mi-avril, leur nette rechute ensuite jusqu’à la fin mai, avant leur hausse soutenue de plusieurs mois:
La consommation intérieure qui, aux USA, représente 70% du PIB est au plus haut, pas de ralentissement ni de récession en vue de ce côté là:
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Pour ceux qui achètent les métaux, ce n’est pas l’or ou l’argent-métal qu’il faut acheter mais le cuivre et les actions des sociétés productrices du métal rouge :
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Le ratio or/cuivre montre que l’or rebaisse mais que le cuivre remonte:
Les trois principaux sujets d’inquiétude pour les investisseurs, à savoir la politique monétaire restrictive de la Federal Reserve de Powell, le conflit commercial USA/Chine et le blocage du Brexit, ont trouvé des solutions de nature à les désamorcer comme à clarifier le chemin à suivre. La Fed s’est engagée à ne pas augmenter son taux directeur en 2020 (d’où la baisse actuelle du dollar US qui vient au bon moment pour soulager les pays émergents lourdement endettés dans cette monnaie) et à poursuivre ses « Repo Injections » massives (un « Quantitative Easing 4 » servant à fournir toutes les liquidités nécessaires aux systèmes bancaires US et mondial comme à monétiser les déficits publics US), Trump est sorti du piège de devoir augmenter au 15 décembre les droits de douane sur les importations chinoises aux USA, dans lequel il s’était lui-même placé, au prix d’un faux Deal avec Pékin (en réalité un cadeau de Noël à Xi Jin Ping) qui ne convainc personne mais qui va lui permettre de tenir jusqu’aux élections de 2020 sans aggravation du conflit commercial, Boris Johnson a remporté une majorité absolue au Parlement britannique qui va lui permettre de réaliser le Brexit le plus vite possible sans grande difficulté.
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Le premier paradoxe de la situation actuelle c’est que Trump, qui voulait punir la Chine et la marginaliser, est devenu le « candidat Mandchoue »!
Le second paradoxe de la situation actuelle c’est que Powell, qui montait le taux directeur US et réduisait le bilan de la Fed d’où le crash boursier de 2018, est celui qui a cessé de monter ce taux et accroit le plus possible le bilan de ladite Fed d’où la hausse supplémentaire des bourses US à venir:
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Depuis septembre, la Fed achète 90% des émissions publiques US:
Ce sont les grandes banques US, JPMorgan en particulier, en organisant l’assèchement des liquidités dans le système bancaire, qui ont contraint la Fed à changer sa politique de 360 degrés:
La France, quant à elle, reste engluée dans un conflit social majeur consécutif à la réforme des retraites, inutile et traumatisante, décidée et menée par Macron et son gouvernement dans l’amateurisme le plus complet, visant en fait à instaurer sans le dire une retraite plus basse par capitalisation (qui profitera aux banques et compagnies d’assurance privées comme aux fonds de pension US surtout) rejetée par la majorité des Français comme à les faire travailler plus longtemps.
Dans un contexte mondial de taux d’intérêt bas, zéro, voire négatifs qui, par définition, ne peuvent pas aller beaucoup plus bas, ne laissant comme marge de manœuvre aux banques centrales et aux États plus que les politiques de Quantitative Easing ou de relance budgétaire et fiscale afin de soutenir la croissance économique; la sécurité c’est le placement en actions et le risque c’est le placement en obligations, en or, en argent-métal ou la plupart des matières premières. A cet égard, comme exposé dans notre dernier commentaire du 1er décembre, ce n’est qu’après la mi-décembre (le 12 ou le 17 ?) seulement, -saisonnalité oblige-, que la hausse des actions devrait reprendre avec force. D’ici-là, en cas de nouvelle faiblesse, ne pas se faire piéger en allant short, mais garder les achats d’options calls (et couvrir les achats d’options puts) sur les indices boursiers (US surtout). Quant aux relations entre les USA, les autres démocraties, et la dictature chinoise, il importe de cesser les rafistolages temporaires via de pseudo accords commerciaux ou autres, ce que Trump n’a toujours pas compris, pour la placer en face de ses responsabilités voire, à défaut, la contraindre à un jeu international coopératif ou bien la boycotter. Si l’on avait agi ainsi à l’encontre de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, on n’aurait pas eu la Seconde Guerre Mondiale! Une fois la Chine, quelques autres puissances -et dirigeants ultra malfaisants du type Maduro et Rohani ou incompétents du type Merkel et surtout Macron- secondaires marginalisés, l’on pourra ensuite réformer les systèmes monétaire et commercial internationaux par l’interdiction des dévaluations compétitives et par la suppression des pratiques de sous-évaluation salariale et de cassure de la protection sociale, qui font des taux de change « flottants » et du « libre-échange » actuels des horreurs politico-économiques et sociales tout en empêchant la démocratie et le libéralisme authentiques de fonctionner, d’où les révoltes des peuples et des Nations contre la mondialisation de la misère, de la corruption et de la dictature technologique orwellienne que nous vivons, dont l’écologisme est le nouveau cache-sexe inventé par les politiciens (sous prétexte de lutte contre le réchauffement climatique lequel n’est pas cumulatif ni d’origine humaine mais cyclique et d’origine naturelle) pour la justifier et en dissimuler la vraie nature totalitaire.
Dans un contexte mondial de taux d’intérêt bas, zéro, voire négatifs qui, par définition, ne peuvent pas aller beaucoup plus bas, ne laissant comme marge de manœuvre aux banques centrales et aux États plus que les politiques de Quantitative Easing ou de relance budgétaire et fiscale afin de soutenir la croissance économique; la sécurité c’est le placement en actions et le risque c’est le placement en obligations, en or, en argent-métal ou la plupart des matières premières. A cet égard, comme exposé dans notre dernier commentaire du 1er décembre, ce n’est après la mi-décembre (le 12 ou le 17 ?) seulement, -saisonnalité oblige-, que la hausse des actions devrait reprendre avec force. D’ici-là, en cas de nouvelle faiblesse, ne pas se faire piéger en allant short, mais garder les achats d’options calls (et couvrir les achats d’options puts) sur les indices boursiers (US surtout). Quant aux relations entre les USA, les autres démocraties, et la dictature chinoise, il importe de cesser les rafistolages temporaires via de pseudo accords commerciaux ou autres, ce que Trump n’a toujours pas compris, pour la placer en face de ses responsabilités voire, à défaut, la contraindre à un jeu international coopératif ou bien la boycotter. Si l’on avait agi ainsi à l’encontre de l’Allemagne nazie d’Adolf Hitler, on n’aurait pas eu la Seconde Guerre Mondiale! Une fois la Chine, quelques autres puissances -et dirigeants ultra malfaisants du type Maduro et Rohani ou incompétents du type Merkel et surtout Macron- secondaires marginalisés, l’on pourra ensuite réformer les systèmes monétaire et commercial internationaux par l’interdiction des dévaluations compétitives et par la suppression des pratiques de sous-évaluation salariale et de cassure de la protection sociale, qui font des taux de change « flottants » et du « libre-échange » actuels des horreurs politico-économiques et sociales tout en empêchant la démocratie et le libéralisme authentiques de fonctionner, d’où les révoltes des peuples et des Nations contre la mondialisation de la misère, de la corruption et de la dictature technologique orwellienne que nous vivons, dont l’écologisme est le nouveau cache-sexe inventé par les politiciens (sous prétexte de lutte contre le réchauffement climatique lequel n’est pas cumulatif ni d’origine humaine mais cyclique et d’origine naturelle) pour la justifier et en dissimuler la vraie nature totalitaire.
Les investisseurs sont tellement conditionnés par Trump et quelques autres qu’ils continuent de croire que c’est un « Deal » entre les USA et la Chine qui fera monter les actions US au dessus de leur sommet historique alors que c’est la nouvelle politique monétaire de la Fed de Powell de « Repo Injections » massives depuis septembre 2019 (trois mille milliards de dollars US déjà, ce qui ne s’est JAMAIS produit dans l’histoire en si peu de temps !!!) et le rétablissement positif symétrique de la courbe des taux US sortie de son inversion (qui changent complètement l’évolution des marchés en éloignant toute perspective de récession prochaine aux USA) en plus de la saisonnalité actuellement favorable des indices boursiers qui explique leur hausse. La Fed elle-même admettant maintenant qu’elle avait fait fausse route en réduisant la taille de son bilan depuis le début du mandat de Jay Powell jusqu’en septembre 2019.
Il est de plus en plus évident que Trump n’a hélas aucune stratégie cohérente en matière commerciale et que les accusations récentes à son encontre de manipulation des marchés à son profit via ses tweets contradictoires pourraient être fondées. Mais elles seront difficiles à prouver.
Plus grave encore pour lui, après avoir été accusé par ses adversaires, démocrates surtout, et l’ « État profond » (Deep State) qui le détestent, ce qui avait motivé l’enquête du procureur Robert Mueller qui avait finalement tourné court, d’avoir été lors des dernières présidentielles un candidat de l’étranger (la Russie de Poutine en l’occurrence), il s’expose de nouveau à de telles accusations lors des présidentielles de 2020 d’être un candidat de l’étranger (« candidat Mandchou – Manchurian Candidate »), la Chine de Xi Jin Ping cette fois-ci, tant il est évident qu’il ne la combat pas vraiment mais en réalité la ménage (surtout s’il signe avec elle un accord qui ne pourra être que de façade, mauvais et incomplet et diminue à nouveau sans contrepartie les droits de douane US sur les importations chinoises aux USA).
Plus le temps passe et plus il ne pratique qu’une politique de demi-mesures, plus les chances de Trump d’être réélu en 2020 s’amenuisent. D’autant qu’il n’a obtenu pratiquement aucun résultat dans la maitrise de l’immigration illégale aux USA et dans la construction du mur avec le Mexique, son dangereux voisin, qu’il avait promises.
En attendant, l’économie US reste forte (grâce à la politique de Trump en début de son mandat de baisse massive des impôts et de dérégulation intérieure qui continue de produire ses effets positifs) en particulier en terme de création d’emplois, de telle sorte qu’il n’a aucun besoin de signer un mauvais Deal avec la Chine. Le « Miracle Économique Américain » en cours lui permettra-t-il d’être réélu ou la détestation politique que tout un tas de gens nourrissent contre lui le fera-t-elle échouer?
En année électorale aussi les indices US sont généralement orientés à la hausse:
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D’ailleurs, des achats massifs par des investisseurs bien informés du contexte favorable aux actions viennent tout juste d’être effectués sur les ETF actions US pendant novembre et leur correction de trois jours post Thanksgiving:
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« More than $38 billion flowed into equity-focused ETFs in November, the biggest monthly influx in almost two years, data compiled by Bloomberg show. The inflows accounted for about 77% of cash absorbed by U.S. ETFs in the period through Nov. 30, the highest proportion since April ».
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Cependant, à très court terme, le S&P500 ayant effectué le 6 décembre un double top sans le franchir, il pourrait rebaisser assez sensiblement d’ici au 12 / 17 décembre et à partir de ce moment-là franchir ledit double top et exploser à la hausse:
Prévisions timides pour la fin 2020 des principaux analystes sur les indices boursiers US alors que leur probabilité de hausse à des niveaux bien plus élevés est justifiée par les Quantitative Easings US, japonais et européens:
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Comme personne ne sait qui sera élu président des USA, ce type de prévisions de fin d’année 2020 est stupide; la seule chose que l’on peut dire c’est qu’en 2020 le S&P500 pourrait atteindre entre 3.600 et 4.000 (les 3.835 identifiés par Rambus Chartology étant notre objectif) avec un premier point haut en avril puis un second en septembre si l’on s’en tient aux prévisions graphiques.
Étant donné les niveaux extrêmes d’endettement mondial actuel, qui ne pourront pas être diminués, et la faiblesse des taux d’intérêt actuels, qui ne pourront pas aller beaucoup plus bas, il faut en tous cas fuir les obligations et les placement en or, argent-métal et la plupart des matières premières (l’or n’étant monté en parallèle avec les obligations en 2019 que parce les taux baissaient et parce que le ratio or/argent se rétablissait en faveur de ce dernier, ce qui n’est plus le cas).
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Plus de raison pour l’or de monter lorsque, les taux US à moyen et long termes se redressant, le nombre des obligations à taux négatifs chute.
La seule façon d’en finir avec la crise monétaire, économique et commerciale rampante, c’est de réformer les systèmes monétaire et commercial internationaux dans le sens du libéralisme authentique et de la justice entre les peuples et les Nations en mettant fin à tous les dumpings. Le libre-échange authentique et mutuellement profitable pour tous ne pouvant prendre place qu’entre des pays n’ayant pas la possibilité de manipuler leurs taux de change par la dévaluation compétitive (raison pour laquelle la période de l’étalon-or a été celle d’une forte croissance harmonieuse), comme n’ayant pas de niveaux de salaires et de prestations sociales trop éloignés, il est clair qu’il ne peut pas l’être dans le contexte international actuel et qu’il est en grande partie responsable des migrations incontrôlée des populations, la création de l’OMC ayant tout compliqué sans rien résoudre. On peut en vouloir à Trump, qui était en position de contraindre les principaux acteurs monétaires et commerciaux internationaux d’aller dans ce sens là, de s’être enlisé dans une stratégie mal conçue et mal réalisée.
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Voir: Le déclin du libre-échange – L’analyse de François Asselineau
L’écologisme est le nouveau cache-sexe inventé par les politiciens (sous prétexte de lutte contre le réchauffement climatique qui n’est pas cumulatif ni d’origine humaine mais cyclique et d’origine naturelle) pour justifier la globalisation totalitaire, un « gouvernement mondial » antidémocratique broyant les peuples et les Nations et la hausse des impôts (taxe carbone, essence-gazole et autres) qui à terme tue la croissance économique. Même les Suisses, dont le bon sens et la préférence pour la liberté sont les qualités partagées, se sont fait piéger en votant pour un parlement nettement « vert » qui ne proposera rien d’autre que des taxes et des restrictions de toutes sortes et ont réduit le poids de l’UDC de Christoph Blocher, le seul parti national qui les protège contre la mainmise européenne.
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Voir: « Nous vivons une révolution mondiale totalitaire » – Le Zoom – Martin Peltier
Quant au « nain » Macron, avec sa réforme des retraites à points (dont le point sera décidé par le gouvernement et changé à tout moment selon son bon vouloir, sans tenir compte des années d’ancienneté au travail, des cotisations payées, ni de la pénibilité particulière de certaines professions), il poursuit sa stratégie de nivellement et de paupérisation de la plupart des Français qu’il méprise en les prenant pour des crétins tout en instaurant un État policier ultra-répressif. Jusqu’à quand vont-ils le tolérer?
Voir: Les électeurs de Macron manifestent contre Macron! (les Français n’ont que ce qu’ils méritent, ils ont voté Macron et font confiance à des syndicats qui les trahissent comme soutiennent l’immigration massive qui ruine leur pays)!
Tout vient de sa personnalité particulièrement inadaptée qu’un psychiatre italien avait correctement analysée avant son élection comme de son inexpérience et de son trop jeune age, nonobstant le fait qu’il ne sert que les intérêts particuliers de ceux qui l’ont sorti de l’ombre et financé:
L’obligation de tout chef d’État c’est de protéger ses concitoyens, d’améliorer leurs conditions de vie, comme d’assurer le respect et l’intégrité de son pays. S’il fait le contraire, les citoyens sont en droit de s’insurger et de le renverser, raison pour laquelle Macron n’a plus de légitimité ni de perspective de se maintenir longtemps au pouvoir.
La déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1793 énonce en son article 35 : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs ».
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01déc.
L’actuelle monétisation par la Federal Reserve de Powell (ayant changé de politique à 360 degrés), via ses « Repo Injections » massifs assimilables à un QE4, des encours (dettes et prêts) des banques US, donc -indirectement- du déficit fédéral et de la dette publique US que les banques « Primary Dealers » peinent ou rechignent à financer, sur une échelle de centaines de milliards de dollars US jamais atteinte jusqu’ici, devrait propulser les indices boursiers et les actions US en général, comme accessoirement les indices européens, dans une continuation de leur hausse historique tant que ladite monétisation -se traduisant par un tsunami de création de liquidités nouvelles n’ayant pas d’autre endroit où aller que sur les actions- se poursuivra. Nous maintenons un haut niveau de positions longues en achats d’options calls échéance février et d’ ETF longs sur les indices US surtout (avec toutefois une petite protection par principe de précaution sous la forme d’achat de puts échéance décembre).
L’actuelle monétisation par la Federal Reserve de Powell (ayant changé de politique à 360 degrés), via ses « Repo Injections » massifs assimilables à un QE4, des encours (dettes et prêts) des banques US, donc -indirectement- du déficit fédéral et de la dette publique US que les banques « Primary Dealers » peinent ou rechignent à financer, sur une échelle de centaines de milliards de dollars US jamais atteinte jusqu’ici, devrait propulser les indices boursiers et les actions US en général, comme accessoirement les indices européens, dans une continuation de leur hausse historique tant que ladite monétisation -se traduisant par un tsunami de création de liquidités nouvelles n’ayant pas d’autre endroit où aller que sur les actions – se poursuivra. Nous maintenons un haut niveau de positions longues en achats d’options calls échéance février et d’ ETF longs sur les indices US surtout (avec toutefois une petite protection par principe de précaution sous la forme d’achat de puts échéance décembre).
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Voilà la raison de la hausse des bourses d’actions (qu’une probable absence d’accord -ou un mauvais accord- commercial USA / Chine ne fera pas cesser), indépendamment de leur saisonnalité actuelle favorable:
Depuis deux mois, la banque centrale américaine procède à des injections de liquidités sur le marché des Sale and Repurchase Agreements, abrégés en Repo, une première depuis 2008. Vendredi dernier, la Fed de New York a annoncé qu’elle poursuivrait ses opérations jusqu’à la fin du mois de janvier et publié un calendrier de ses actions sur son site.
Il s’agit de la quatrième prolongation de son intervention, qui avait été provoquée à la mi-septembre par une hausse surprise du taux de ce marché. Les opérations Repo permettent aux banques d’obtenir rapidement des liquidités à court terme en échange de titres sûrs comme des bons du Trésor. Pour remédier au manque de cash à disposition, la Fed injecte jusqu’à 120 milliards de dollars de liquidités quotidiennement.
Cette action, qui devait être à l’origine limitée dans le temps, semble être en passe de devenir la norme. Tout en se défendant de revenir à une politique de quantitative easing, la Fed a également annoncé qu’elle allait procéder à des rachats de bons du Trésor à hauteur de 60 milliards par mois jusqu’à la fin du 2e trimestre 2020.
Selon Axel Botte de Ostrum AM: « les tensions sur le repo traduisent un problème de financement du déficit fédéral. Le manque de demande de Treasuries des investisseurs étrangers reporte le poids du financement fédéral sur les investisseurs américains, et en premier lieu, les Primary Dealers. Ces banques financent leurs achats via le marché du repo. La hausse des mises en pensions nettes a créé un stress sur ce marché forçant la Fed à intervenir pour des montants toujours plus conséquents ».
Le seul risque pour le marché US des actions est de nature politique (zéro risque de récession étant donné que la consommation intérieure qui représente 70% du PIB tient bien), Trump pouvant ne pas être réélu (ce qui est peu probable, la majorité des Américains étant devenue souverainiste et isolationniste) mais devoir céder sa place un démocrate socialiste qui casserait l’économie US; mais d’ici là (dans presque un an, soit un siècle en terme de marchés financiers), la Fed dispose d’une capacité illimitée de création monétaire qui le soutiendra.
Et Trump se prépare à accroitre les baisses d’impôts en faveur de la classe moyenne, ce qui est très haussier pour les actions US comme l’aidera à être réélu président en 2020:
Explosion à la hausse du bilan de la Fed (situation au 30 novembre 2019):
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Il y a une corrélation mécanique entre la hausse du bilan de la Fed et la hausse du S&P500:
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Ladite corrélation permettant d’anticiper à terme des prix nominaux du S&P500 très élevés, l’inflation dans l’économie actuelle d’endettement et de création monétaire illimitée n’étant plus dans l’économie réelle mais dans les actifs boursiers:
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Voir: Stocks Still Have Significant Upside Potential
Saisonnalité haussière des indices boursiers en année pré-électorale aux USA surtout à partir de novembre, avec une légère stabilisation/baisse début décembre et un point bas vers le 12 décembre (à mettre à profit pour renforcer encore les positions longues), au moins jusqu’en février.
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Objectif de hausse possible à moyen terme du S&P500 vers 3.835 et du Dow Jones Industrials vers 31.051, selon Rambus Chartology.
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Un Nasdaq potentiellement explosif à la hausse…
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La nouvelle politique ultra-accommodante de la Fed pourrait faire temporairement baisser le dollar US en décembre, ainsi que son graphique de saisonnalité le montre, ce qui serait de nature à soutenir aussi les actions US.
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S’abstenir encore de toute prise se position longue ou rester arbitré sur l’or, l’argent, les actions des sociétés minières et les obligations, qui, dans le cadre de la hausse historique actuelle des actions n’ont pas de potentiel haussier notable.
L’or, qui ne devrait pas dépasser 1.560 USD l0once en 2019/2020 sauf effondrement peu probable du dollar US, est coincé dans un trading range 1.560/1.050 avec un biais baissier :
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Il y a un double top baissier sur l’indice des actions des sociétés minières:
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Les actions US en général continuent de sur-performer l’or et les actions US continuent de sur-performer les obligations US:
La fameuse courbe des taux US qui, en dessous de zéro, annonçait un risque de récession aux USA s’est rétablie en positif:
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Quant à la pseudo « guerre commerciale » entre les USA et la Chine, très surestimée par les investisseurs, dont les montants en jeu via les taxes que chacun des deux applique à l’autre sont négligeables par rapport à la taille de leurs économies et par rapport au volume du commerce mondial; ce n’est pas une « guerre » mais une rivalité, pour le moment de basse intensité, idéologique et technologique entre deux systèmes politico-économiques irréconciliables qui sont en compétition pour le leadership mondial au XXI éme siècle.
Elle ne peut pas trouver de solution durable sauf si la dictature chinoise venait à s’écrouler pour faire place à un système démocratique qui renoncerait aux pratiques abominables actuelles (intérieures et extérieures) de Pékin. Raison pour laquelle les USA n’ont aucun besoin de faire le moindre « Deal » avec la Chine actuelle qui n’a qu’un impact assez négligeable sur leur économie. Trump ferait mieux de s’occuper de finir le Deal des USA avec le Mexique et le Canada (le USMCA n’est toujours pas complétement négocié par les États respectifs ni ratifié par le Congrès US) et de traiter les relations entre les USA et les États de l’Union européennes, pays qui, en matière de déficit commercial US, sont aussi nuisibles que la Chine pour Washington.
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U.S., Canada, Mexico Meet to Push for Final Agreement on USMCA:
Voir: La Chine, grande responsable de la croissance des émissions de carbone selon Lenglet
(les écolos qui nous fatiguent avec leurs théories fumeuses sur le réchauffement climatique dont nous parlerons dans notre prochain commentaire devraient faire pression sur la Chine et accessoirement sur l’Allemagne et la Pologne les principaux responsables…)
Une mention particulière doit ici être faite à propos du « nain Macron », en tous points grotesque et incompétent, le pire président qu’elle ait connu, qui conduira à terme la France à la guerre civile, en sacrifiant ses valeurs démocratiques, en cassant son agriculture, ses territoires et système social et en favorisant l’immigration massive, c’est à dire le communautarisme et le Grand Remplacement (et avec eux l’islamisme et le terrorisme), s’il n’est pas stoppé au plus vite par une vague de contestation analogue à celle qui soulève les classes moyennes et les victimes de la globalisation un peu partout, de Hong Kong au Moyen Orient et à l’Amérique latine.
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Propulsé au pouvoir par les européistes et quelques banquiers privés (auquel il renvoie l’ascenseur en privatisant les biens de l’État qui sont rentables), tout en ayant bénéficié du double effondrement électoral de la droite et de la gauche modérées (dont les programmes et les politiciens ne se différencient plus), le « président des riches », appliquant contre la volonté des Français, via la répression policière et la manipulation médiatique, l’ « adaptation » de la France à la mondialisation, il suffirait d’une grande grève (comme celle du 5 décembre?) pour le contraindre à la démission… En attendant, il se fâche avec les principaux dirigeants (Trump, Johnson, Merkel, Bolsonaro, Erdogan et bien d’autres) qui ne supportent plus son arrogance, ce qui isole inutilement la France. En France, la gauche a trahi le peuple et la droite a trahi la nation, Macron trahit « en même temps » les deux à la fois, le peuple qu’il méprise et la nation qu’il ne reconnait pas.
Dernier réveillon à l’Élysée… De Gaulle doit « se retourner dans sa tombe! Espérons que cela ne sera pas pire encore à l’occasion du début d’année 2020,,,
Les économistes les plus conventionnels sont d’accord pour considérer que Macron et son gouvernement sont des amateurs incapables qui vont provoquer un désastre économico-social que les Français n’accepteront pas…