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24oct.
Comme exposé lors de notre dernier commentaire du 17 octobre, les actifs financiers à l’évidence surévalués (actions en général et indices boursiers, actions des sociétés minières et métaux précieux) continuent d’être achetés, souvent à crédit et avec un fort levier, par la masse des petits investisseurs inexpérimentés croyant que « les arbres peuvent monter jusqu’au ciel » (obnubilés par les plans dits de « relance » qui ne sont en réalité que des plans ruineux de soutien mal ficelés dont les contribuables paieront ultérieurement l’addition -sur lesquels les politiciens peinent à s’entendre tant aux USA qu’en Europe- ne relançant que les déficits publics et privés mais pas les économies); alors que les meilleurs analystes plaident pour leur correction rapide de l’ordre de dix pour cent voire plus. D’autant que l’Europe à nouveau frappée par le virus chinois reconfine c’est-à-dire casse une fois encore ses économies et que les élections US probablement serrées du 3 novembre devraient se solder par une contestation de leurs résultats de la part des deux camps en compétition qui se détestent, d’où un blocage politico-économique et des crises constitutionnelle voire sécuritaire prochaines aux USA. Nonobstant les grandes manœuvres déstabilisatrices chinoise, iranienne, turque et russe mais aussi les tensions politico-religieuses, raciales et civilisationnelles intérieures en Occident qui s’exacerbent rendant les perspectives géo-politiques et sociétales inquiétantes. Rien de changé dans nos portefeuilles: long monnaies européennes contre dollar US (avec un stop relevé vers 1.1750 euro/dollar US), légèrement long obligations d’État US, short indices boursiers US et actions des sociétés minières via les ETF appropriés mais pas encore long de VIX du S&P500 qui n’a pas démarré.
Comme exposé lors de notre dernier commentaire du 17 octobre, les actifs financiers à l’évidence surévalués (actions en général et indices boursiers, actions des sociétés minières et métaux précieux) continuent d’être achetés, souvent à crédit et avec un fort levier, par la masse des petits investisseurs inexpérimentés croyant que « les arbres peuvent monter jusqu’au ciel » (obnubilés par les plans dits de « relance » qui ne sont en réalité que des plans ruineux de soutien mal ficelés dont les contribuables paieront ultérieurement l’addition -sur lesquels les politiciens peinent à s’entendre tant aux USA qu’en Europe- ne relançant que les déficits publics et privés mais pas les économies); alors que les meilleurs analystes plaident pour leur correction rapide de l’ordre de dix pour cent voire plus. D’autant que l’Europe à nouveau frappée par le virus chinois reconfine c’est-à-dire casse une fois encore ses économies et que les élections US probablement serrées du 3 novembre devraient se solder par une contestation de leurs résultats de la part des deux camps en compétition qui se détestent, d’où un blocage politico-économique et des crises constitutionnelle voire sécuritaire prochaines aux USA. Nonobstant les grandes manœuvres déstabilisatrices chinoise, iranienne, turque et russe mais aussi les tensions politico-religieuses, raciales et civilisationnelles intérieures en Occident qui s’exacerbent rendant les perspectives géo-politiques et sociétales inquiétantes. Rien de changé dans nos portefeuilles: long monnaies européennes contre dollar US (avec un stop relevé vers 1.1750 euro/dollar US), légèrement long obligations d’État US, short indices boursiers US et actions des sociétés minières via les ETF appropriés mais pas encore long de VIX du S&P500 qui n’a pas démarré.
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Surévaluation massive de tous les actifs, matières premières et métaux précieux en particulier, illustrée par le niveau record d’acheteurs:
La surévaluation artificielle (due aux politiques ultra-laxistes de la Fed et d’autres banques centrales, dont la création exponentielle de fausse monnaie occulte temporairement la réalité de la crise sans la résoudre parce qu’elles ne peuvent pas recréer toutes seules de croissance économique réelle ce qui n’est du ressort que d’un appareil productif en état de fonctionner et de consommateurs en état de dépenser) des principaux actifs financiers (indices boursiers, actions des sociétés minières, métaux précieux surtout -qui montent ou baissent ensemble depuis début 2016-) n’a jamais été aussi élevée tant en termes de prix qu’au regard de la situation économique et des dangers économico-politiques comme épidémiologiques qui pèsent sur les USA et sur l’Europe, que les gouvernements ne contrôlent plus comme le prouve leur recours à la dictature sanitaire, abominable pour les libertés individuelles et collectives comme pour les activités économiques, alors que c’est la stratégie suédoise d’immunité collective qu’il faut adopter. De telle sorte que les investisseurs qui les achètent actuellement prennent un grand risque qu’il est à notre avis déraisonnable de courir dans le contexte actuel, au surplus, de saisonnalité historique baissière de ces actifs. Nous avons donc commencé à prendre des positions shorts sur les actifs précités via l’achat des SQQQ, SPXU, DUST, ZSL, Lyxor Etf CAC40 Daily Double Short (BX4) -et bientôt longues sur le VIX du S&P500-. Nous conservons nos achats de US Treasury Bonds et nos avoirs liquides restent placés en monnaies européennes avec un stop vers 1,1650 euro/dollar US, le basculement de ces dernières à la baisse n’intervenant que lorsque le « moment Minsky » aura vraiment commencé en raison du caractère de valeur refuge du dollar US maintes fois avéré en cas de crise internationale. Selon certains analystes, la Chine pourrait saisir l’occasion du chaos électoral US pour intervenir à Taïwan, la Turquie renouant avec son passé ottoman pourrait donner le « coup de grâce » à l’Arménie dans son conflit contre l’Azerbaïdjan (Haut Karabakh) et prendre pied en Grèce (dans les iles du Dodécanèse) comme elle l’a fait à Chypre en 1974 et vient de le faire en Libye, la Russie pourrait remettre de l’ordre en Biélorussie, au Donbass et ailleurs dans son ex empire, ce qui accélèrerait la chute des actions US et européennes comme de leurs indices boursiers, ni les USA ni l’Union européenne n’étant en mesure de s’y opposer.
La surévaluation artificielle (due aux politiques ultra-laxistes de la Fed et d’autres banques centrales, dont la création exponentielle de fausse monnaie occulte temporairement la réalité de la crise sans la résoudre parce qu’elles ne peuvent pas recréer toutes seules de croissance économique réelle ce qui n’est du ressort que d’un appareil productif en état de fonctionner et de consommateurs en état de dépenser) des principaux actifs financiers (indices boursiers, actions des sociétés minières, métaux précieux surtout -qui montent ou baissent ensemble depuis début 2016-) n’a jamais été aussi élevée tant en termes de prix qu’au regard de la situation économique et des dangers économico-politiques comme épidémiologiques qui pèsent sur les USA et sur l’Europe, que les gouvernements ne contrôlent plus comme le prouve leur recours à la dictature sanitaire, abominable pour les libertés individuelles et collectives comme pour les activités économiques, alors que c’est la stratégie suédoise d’immunité collective qu’il faut adopter. De telle sorte que les investisseurs qui les achètent actuellement prennent un grand risque qu’il est à notre avis déraisonnable de courir dans le contexte actuel, au surplus, de saisonnalité historique baissière de ces actifs. Nous avons donc commencé à prendre des positions shorts sur les actifs précités via l’achat des SQQQ, SPXU, DUST, ZSL, Lyxor Etf CAC40 Daily Double Short (BX4) -et bientôt longues sur le VIX du S&P500-. Nous conservons nos achats de US Treasury Bonds et nos avoirs liquides restent placés en monnaies européennes avec un stop vers 1,1650 euro/dollar US, le basculement de ces dernières à la baisse n’intervenant que lorsque le « moment Minsky » aura vraiment commencé en raison du caractère de valeur refuge du dollar US maintes fois avéré en cas de crise internationale. Selon certains analystes, la Chine pourrait saisir l’occasion du chaos électoral US pour intervenir à Taïwan, la Turquie renouant avec son passé ottoman pourrait donner le « coup de grâce » à l’Arménie dans son conflit contre l’Azerbaïdjan (Haut Karabakh) et prendre pied en Grèce (dans les iles du Dodécanèse) comme elle l’a fait à Chypre en 1974 et vient de le faire en Libye, la Russie pourrait remettre de l’ordre en Biélorussie, au Donbass et ailleurs dans son ex empire, ce qui accélèrerait la chute des actions US et européennes comme de leurs indices boursiers, ni les USA ni l’Union européenne n’étant en mesure de s’y opposer.
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Les Français passent du port de la muselière au couvre-feu, à quant la ouverture de camps de concentration pour y parquer les malades du Covid, et accessoirement les pauvres et les opposants?
Saisonnalité baissière actuelle des indices boursiers US et européens avec un point bas vers la mi novembre (après les élections US du 3 novembre):
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Depuis début 2016, les indices boursiers US (S&P500), l’or (Gold) et les actions des sociétés minières (GDX) fluctuent en parallèle, ce qui signifie que la chute du S&P500 devrait aussi faire aussi baisser l’or et les actions des sociétés minières (dont l’achat n’est plus en aucune façon un moyen de se protéger contre la baisse des actions):
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Tous les actifs précités sont toppish sur des sommets difficilement franchissables sans catalyseur ultra positif qui ne viendra pas avant les élections US (pour autant qu’il se produise après):
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Même les stars comme Amazon ont atteint des double tops baissiers:
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At 40 times earnings, there is a 0% chance that Microsoft stock will produce wealth for someone over the next 10 years to meet their needs, Cole Smead says
La Fed n’a actuellement plus les moyens d’en faire plus, devant garder des munitions pour la période post électorale:
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M2 Money volatility is at its lowest EVER.
Ce qui signifie que toute la monnaie créée par la Fed ou les plans dits de « relance » ne va pas dans l’économie réelle mais dans les actifs financiers. D’où leur extrême surévaluation anormale et la faiblesse récurrente de l’économie toujours en phase déflationniste.
L’Union européenne et le Royaume-Uni en pleine crise de nerf, important pour l’industrie pharmaceutique qui est en train d’échouer dans sa recherche de vaccins anti-covid (Johnson & Johnson, Eli Lilly, etc):
Dans le contexte actuel d’impuissance collective à propos de la pandémie chinoise que les gouvernements ne savent pas gérer, de programmes étatiques dits « de relance » qui n’auront pas d’effet sauf de maintenir temporairement à flot des entreprises moribondes et d’accroire démesurément les sur-endettements public et privé (que les contribuables devront finalement payer) sans diminuer le chômage de masse ni la précarité économique et sociale des populations qui sont au bord de la dépression se transformant ensuite en révolte, de sur-évaluation exubérante des actifs financiers (indices boursiers, or et argent-métal, monnaies européennes principalement qui fluctuent ensemble dans le même sens) artificiellement organisée par les banques centrales agissant comme des pompiers-pyromanes en faussant leurs prix, d’élections US qui devraient se traduirent par une violence jamais atteinte et une crise constitutionnelle durable, les actifs précités peuvent-ils continuer de monter ou va-t-on vers un « moment Minsky » en octobre et plus tard sur ces actifs ? Dans le doute, nous restons pour le moment prudemment arbitrés en attendant de voir s’ils vont suivre leurs tendances saisonnières historiques baissières en octobre ou pas, à ne pas manquer, mais négatif US Dollar (objectif 1,24 euro/dollar).
Dans le contexte actuel d’impuissance collective à propos de la pandémie chinoise que les gouvernements ne savent pas gérer, de programmes étatiques dits « de relance » qui n’auront pas d’effet sauf de maintenir temporairement à flot des entreprises moribondes et d’accroire démesurément les sur-endettements public et privé (que les contribuables devront finalement payer) sans diminuer le chômage de masse ni la précarité économique et sociale des populations qui sont au bord de la dépression se transformant ensuite en révolte, de sur-évaluation exubérante des actifs financiers (indices boursiers, or et argent-métal, monnaies européennes principalement qui fluctuent ensemble dans le même sens) artificiellement organisée par les banques centrales agissant comme des pompiers-pyromanes en faussant leurs prix, d’élections US qui devraient se traduirent par une violence jamais atteinte et une crise constitutionnelle durable, les actifs précités peuvent-ils continuer de monter ou va-t-on vers « un moment Minsky » en octobre et plus tard sur ces actifs ? Dans le doute, nous restons pour le moment prudemment arbitrés en attendant de voir s’ils vont suivre leurs tendances saisonnières historiques baissières en octobre ou pas, à ne pas manquer, mais négatif US Dollar (objectif 1,24 euro/dollar).
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Peu de probabilité d’un plan de relance US avant les élections:
C’est la Fed, qui (depuis 2016 environ), par sa création monétaire excessive que reflète la hausse de son bilan, a fait simultanément monter tous les actifs financiers (indices boursiers, or et argent-métal, monnaies européennes principalement) qui fluctuent ensemble:
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Ce que disent les graphiques saisonniers historiques est assez différent de ce que font actuellement les marchés financiers:
Nous restons baissier US Dollar (qui ne peut monter qu’en cas de krach boursier, cas dans lequel il pourrait jouer un rôle de valeur refuge), avec un objectif vers 1,24 sur l’euro/dollar, comme nous l’avions indiqué dans notre interview par le journal Le Temps de Genève du 29 juillet 2020 ci-dessous:
Quant aux taux longs US, leur saisonnalité est baissière jusqu’en fin d’année, ce qui explique pourquoi l’achat d’obligations d’État US devrait être un placement peu risqué:
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Gros achats de précaution d’obligations d’État US:
A noter que le VIX du S&P500 ne donne pas encore d’indication incitant à shorter les indices boursiers US mais qu’il ne dit pas non plus qu’il faille les acheter:
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Faire l’impasse sur les actions européennes qui devraient continuer d’aller nulle part avec le retour de la pandémie:
Voilà ce que prévoient sur les indices boursiers US ceux qui croient à un moment Minsky: hausse du S&P500 vers 3.600 au maximum puis effondrement sur ses plus bas de mars 2020, ce qui permettrait pour les shorts de gagner alors beaucoup d’argent:
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03oct.
Alors que les Républicains et Trump (à supposer qu’il puisse rester candidat à cause du Covid-19 qu’il a contracté, lequel pourrait l’obliger à renoncer) sont probablement en train de perdre les élections US de novembre et que la politique que les Démocrates et Biden pourraient mener serait bien pire, alors que l’Union européenne est en voie de submersion, en particulier du fait du risque de retour de la pandémie chinoise entrainant de nouveaux reconfinements mortels pour ses économies, la plupart des gouvernements s’obstinant à s’opposer à la stratégie d’immunité collective; les indices boursiers US sur-vendus après leur chute de septembre sont temporairement remontés en raison de l’espoir des investisseurs, qui ont racheté leurs shorts, de l’imminence de nouveaux programmes de « relance » dont en fait les États sur-endettés n’ont plus les moyens et qui ne servent qu’à maintenir temporairement à flot des entreprises zombies, ce qui ne peut pas durer bien longtemps compte tenu de la saisonnalité baissière desdits indices en octobre (le mois de tous les krachs) et de la rechute de la croissance économique mondiale illustrée par la baisse des prix du pétrole et du cuivre comme par les inquiétantes statistiques du chômage. Nous avons réduit au maximum nos positions sur les marchés financiers (à l’exception de l’achat des US Treasury Bonds ne présentant pas de risque) qui sont équilibrées avec un biais baissier tout de même et attendons le signal (à ne pas manquer parce qu’il pourrait rapporter beaucoup) de les vendre, lequel se manifesterait par une hausse du VIX du S&P500.
Alors que les Républicains et Trump (à supposer qu’il puisse rester candidat à cause du Covid-19 qu’il a contracté, lequel pourrait l’obliger à renoncer) sont probablement en train de perdre les élections US de novembre et que la politique que les Démocrates et Biden pourraient mener serait bien pire, alors que l’Union européenne est en voie de submersion, en particulier du fait du risque de retour de la pandémie chinoise entrainant de nouveaux reconfinements mortels pour ses économies, la plupart des gouvernements s’obstinant à s’opposer à la stratégie d’immunité collective; les indices boursiers US sur-vendus après leur chute de septembre sont temporairement remontés en raison de l’espoir des investisseurs, qui ont racheté leurs shorts, de l’imminence de nouveaux programmes de « relance » dont en fait les États sur-endettés n’ont plus les moyens et qui ne servent qu’à maintenir temporairement à flot des entreprises zombies, ce qui ne peut pas durer bien longtemps compte tenu de la saisonnalité baissière desdits indices en octobre (le mois de tous les krachs) et de la rechute de la croissance économique mondiale illustrée par la baisse des prix du pétrole et du cuivre comme par les inquiétantes statistiques du chômage. Nous avons réduit au maximum nos positions sur les marchés financiers (à l’exception de l’achat des US Treasury Bonds ne présentant pas de risque) qui sont équilibrées avec un biais baissier tout de même et attendons le signal (à ne pas manquer parce qu’il pourrait rapporter beaucoup) de les vendre, lequel se manifesterait par une hausse du VIX du S&P500.
Cac40 et autres indices boursiers européens baissiers parce qu’évoluant en dessous de leur moyenne mobile à 200 jours:
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Il ne faut pas acheter, pour se protéger d’un mini krach possible des indices boursiers US, l’or, l’argent-métal ou les actions des sociétés minières qui, depuis 2016, montent avec les dits indices boursiers (excès de création monétaire de la part des banques centrales n’allant pas dans l’économie réelle mais dans les actifs financiers et taux zéro). De telle sorte qu’ils devraient rechuter ensemble à partir de leurs plus hauts récents:
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La stabilisation de la création monétaire par la Fed depuis juillet devrait faire baisser les actifs que sa phase expansionniste a fait monter:
La plupart des gouvernements se révélant incapables de gérer la pandémie chinoise sans casser les économies de leurs pays et sans supprimer les libertés démocratiques de leurs ressortissants virent à la dictature sanitaire, incompatible avec l’État de droit et la liberté économique, faute de recourir à l’immunité collective comme le fait la Suède (le seul modèle viable), pendant que les banques centrales affolées, agissant comme des pompiers-pyromanes, ont crée la plus grosse bulle artificielle d’actifs financiers de l’histoire. Ces deux acteurs étant arrivés au bout de leurs interventions désordonnées, sur fond de sur-endettement généralisé au plus haut niveau historique jamais atteint empêchant de nouvelles « relances » via la dépense, la déstabilisation politico-économique et sociale globale ne peut que s’aggraver et les bulles d’actifs (actions, métaux précieux, monnaies -euro en particulier, une monnaie artificiellement fabriquée qui n’est adossée à aucun État-) éclater au profit du dollar US et des obligations d’État US, les deux refuges de dernier ressort. Nous avons cette semaine cassé nos arbitrages (sans pertes) et recommencé à traiter à la baisse les actions US via les trois indices US (Nasdaq, DJIA, S&P500) -sans prendre de position sur les bourses européennes déjà plombées-, l’argent-métal (mais pas l’or certes baissier mais qui a moins de potentiel de baisse que l’argent), le pétrole, les actions des sociétés minières et les monnaies (euro, CHF), tout en conservant nos achats de protection du dollar US et des US Treasury Bonds. Stratégie qui devraient se révéler payante en octobre tant en raison de la situation actuelle que de la saisonnalité historique des marchés qui va dans ce sens. Nonobstant les élections US qui promettent un chaos violent en novembre et la Chine qui accroit en toute impunité ses violations du droit international.
La plupart des gouvernements se révélant incapables de gérer la pandémie chinoise sans casser les économies de leurs pays et sans supprimer les libertés démocratiques de leurs ressortissants virent à la dictature sanitaire, incompatible avec l’État de droit et la liberté économique, faute de recourir à l’immunité collective comme le fait la Suède (le seul modèle viable), pendant que les banques centrales affolées, agissant comme des pompiers-pyromanes, ont crée la plus grosse bulle artificielle d’actifs financiers de l’histoire. Ces deux acteurs étant arrivés au bout de leurs interventions désordonnées, sur fond de sur-endettement généralisé au plus haut niveau historique jamais atteint empêchant de nouvelles « relances » via la dépense, la déstabilisation politico-économique et sociale globale ne peut que s’aggraver et les bulles d’actifs (actions, métaux précieux, monnaies -euro en particulier, une monnaie artificiellement fabriquée qui n’est adossée à aucun État-) éclater au profit du dollar US et des obligations d’État US, les deux refuges de dernier ressort. Nous avons cette semaine cassé nos arbitrages (sans pertes) et recommencé à traiter à la baisse les actions US via les trois indices US (Nasdaq, DJIA, S&P500) -sans prendre de position sur les bourses européennes déjà plombées-, l’argent-métal (mais pas l’or certes baissier mais qui a moins de potentiel de baisse que l’argent), le pétrole, les actions des sociétés minières et les monnaies (euro, CHF), tout en conservant nos achats de protection du dollar US et des US Treasury Bonds. Stratégie qui devraient se révéler payante en octobre tant en raison de la situation actuelle que de la saisonnalité historique des marchés qui va dans ce sens. Nonobstant les élections US qui promettent un chaos violent en novembre et la Chine qui accroit en toute impunité ses violations du droit international.
La contraction des économies dans le monde en 2020, loin d’être enrayée, est incompatible avec une hausse des actions en général, laquelle n’est due qu’aux politiques ultra laxistes des banques centrales, désormais arrivées au bout de leurs capacités étant donné l’explosion du surendettement:
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Dax allemand:
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Les actions des banques européennes, au plus bas depuis 2009, plombées par les taux négatifs, sont très mal orientées:
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Le pitoyable Macron et quelques autres chefs d’État ou de gouvernement de l’UE ruinent leurs pays:
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Voir: La France en danger : la dette publique explose et l’activité économique rechute…
La chute des cours des compagnies pétrolières qui devraient revenir sur leurs plus bas anticipe bien celle des prix du pétrole tout en traduisant la situation de chute de la croissance économique et de déflation globales:
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Votations du 27 septembre en Suisse:
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Il est à souhaiter que les Suisses votent ce dimanche 27 septembre en faveur de l’initiative de l’UDC visant à limiter l’immigration massive et à l’organiser (via le retour à un système des quotas) en sortant de la prison de Schengen, ce qui permettrait aussi d’envoyer un signal au Conseil fédéral de renégocier l’accord cadre de la Suisse avec l’UE, dont ni les milieux patronaux ni les syndicats ne veulent dans sa forme actuelle prévisible, parce qu’il s’agit de protéger la souveraineté et la prospérité de la Suisse (via des mesures compensatoires) qui sont incompatibles avec son intégration toujours plus poussée dans une UE submergée par l’immigration massive incontrôlée, le terrorisme islamiste et le déclin généralisé.
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Voir: Le « Pacte pour la Migration » : découvrez la nouvelle folie de l’Union Européenne !
Le dégonflement du Nasdaq et la baisse des technos US (GAFAM), tous les deux encore massivement surévalués, ont empêché les autres indices boursiers US de monter alors que la saisonnalité de ces derniers permettait de penser qu’ils feraient un dernier rally avant leur chute programmée de fin septembre à la mi octobre. Indices dont les supports ayant cassé hier à la baisse, nous avons arbitré nos positions longues restantes sur le S&P500 pour dorénavant rester neutre sur tous les indices boursiers et les actions US (et européens aussi en raison du retour du virus chinois sur ce continent qui y accroit les risques de reconfinements désastreux pour les économies) pour quelques temps, sans prise de risque pour la semaine qui vient. Rien à faire non plus sur les métaux précieux et les actions des sociétés minières qui, étant montés en parallèle avec les indices boursiers US, devraient rebaisser avec eux. Nous restons acheteur des obligations d’État US, l’actif refuge le moins risqué dans un contexte de taux d’intérêt qui resteront durablement faibles, les banques centrales étant incapables de les remonter avant longtemps.
Le dégonflement du Nasdaq et la baisse des technos US (GAFAM), tous les deux encore massivement surévalués, ont empêché les autres indices boursiers US de monter alors que la saisonnalité de ces derniers permettait de penser qu’ils feraient un dernier rally avant leur chute programmée de fin septembre à la mi octobre. Indices dont les supports ayant cassé hier à la baisse, nous avons arbitré nos positions longues restantes sur le S&P500 pour dorénavant rester neutre sur tous les indices boursiers et les actions US (et européens aussi en raison du retour du virus chinois sur ce continent qui y accroit les risques de reconfinements désastreux pour les économies) pour quelques temps, sans prise de risque pour la semaine qui vient. Rien à faire non plus sur les métaux précieux et les actions des sociétés minières qui, étant montés en parallèle avec les indices boursiers US, devraient rebaisser avec eux. Nous restons acheteur des obligations d’État US, l’actif refuge le moins risqué dans un contexte de taux d’intérêt qui resteront durablement faibles, les banques centrales étant incapables de les remonter avant longtemps.
NASDAQ 100 TURNS DOWN…The daily bars in Chart 1 show the QQQ breaking last week’s short-term support and falling further below its 50-day moving average today. The two upper boxes in Chart 1 also show its RSI and MACD lines continuing to decline. That suggests more selling to come. It now appears likely that the QQQ could drop to its next potential support level along its July lows. The green horizontal bars in Chart 1 show that the July lows near 250 coincide with a 38% Fibonacci retracement of its March/September rally.S&P 500 LOSES MOVING AVERAGE SUPPORT… Chart 2 shows the S&P 500 also falling below its 50-day average and last week’s low. Lower prices appear likely there as well. The next level of potential support is its late July low near 3200. The Dow is holding up a little better but is likely to follow the QQQ and SPX lower.
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CNBC: Apple Drops 22% From Peak, Erasing $500B in Market Cap
Quant à la Federal Reserve qui a annoncé cette semaine le maintien de son taux d’intérêt court vers zéro jusqu’à la fin 2023, elle a paniqué les investisseurs qui en ont déduit qu’il n’y aurait pas de retour à la croissance économique avant cette date.
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L’élection de tous les dangers arrive aux USA puisque le vote a commencé dans certains États:
Les indices boursiers US en plongeant depuis le 2 septembre sont en train d’effacer la plupart de leurs gains d’août sous le triple effet de leur saisonnalité baissière en principe jusqu’à la mi octobre, de la chute des actions technos et du Nasdaq massivement manipulés (affaire SoftBank et autres) et surévalués, de la baisse du prix du pétrole dont la demande faibli (montrant que l’économie US et mondiale reste anémiée), des nouvelles tensions USA / Chine et de l’inquiétude préélectorale aux USA, une situation de blocage voire de crise constitutionnelle (contestations judiciaires multiples des résultats) et de violence entre groupes armés en novembre étant à redouter sur fond d’épidémie de Covid 19 encore active, sans qu’il n’y ait alors de vaccin supposé protéger la population, par ailleurs ultra divisée politiquement, racialement et socialement, ne lui permettant pas de voter dans des conditions démocratiques acceptables, qui entrainerait alors une nouvelle chute de l’économie et des actifs financiers US. A court terme, tant que le support vers 3.300 du S&P500 (sur lequel nous avons toujours une position longue plutôt légère protégée par l’achat de US Treasury Bonds et des ventes du Dow Jones des Industrielles) tient, ces indices pourraient rebondir modérément mi septembre (le Nasdaq plus difficilement que les autres tant il est techniquement négatif) avant de rechuter. Nous avons couvert nos shorts sur les actions des sociétés minières, sans aller long sur ces dernières. Nous sommes donc positionné avec un faible risque pour nos portefeuilles en gestion qui, ayant été protégés par des ventes du DJIA, n’ont pas subi de dommage notable depuis la chute des indices, en l’attente de nouveaux développements.
Les indices boursiers US en plongeant depuis le 2 septembre sont en train d’effacer la plupart de leurs gains d’août sous le triple effet de leur saisonnalité baissière en principe jusqu’à la mi octobre, de la chute des actions technos et du Nasdaq massivement manipulés (affaire SoftBank et autres) et surévalués, de la baisse du prix du pétrole dont la demande faibli (montrant que l’économie US et mondiale reste anémiée), des nouvelles tensions USA / Chine et de l’inquiétude préélectorale aux USA, une situation de blocage voire de crise constitutionnelle (contestations judiciaires multiples des résultats) et de violence entre groupes armés en novembre étant à redouter sur fond d’épidémie de Covid 19 encore active, sans qu’il n’y ait alors de vaccin supposé protéger la population, par ailleurs ultra divisée politiquement, racialement et socialement, ne lui permettant pas de voter dans des conditions démocratiques acceptables, qui entrainerait alors une nouvelle chute de l’économie et des actifs financiers US. A court terme, tant que le support vers 3.300 du S&P500 (sur lequel nous avons toujours une position longue plutôt légère protégée par l’achat de US Treasury Bonds et des ventes du Dow Jones des Industrielles) tient, ces indices pourraient rebondir modérément mi septembre (le Nasdaq plus difficilement que les autres tant il est techniquement négatif) avant de rechuter. Nous avons couvert nos shorts sur les actions des sociétés minières, sans aller long sur ces dernières. Nous sommes donc positionné avec un faible risque pour nos portefeuilles en gestion qui, ayant été protégés par des ventes du DJIA, n’ont pas subi de dommage notable depuis la chute des indices, en l’attente de nouveaux développements.
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September 8: Just to put things into perspective: 7 big US tech stocks, known under the acronym FANGMAN, have lost >$1tn in value over the past three trading days, equal to GDP of Indonesia.
Le Nasdaq donne l’impression d’un majeur retournement durable (pas pour quelques jours seulement) de tendance à la baisse comme celui ayant entrainé son krach de mars 2020:
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Premier objectif de Fibonacci: 10.270:
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Premier objectif Amazon, l’action la plus surévaluée de toutes: 2.800
Il y a plusieurs analystes qui prévoient la rechute des indices sur leur plus bas de mars 2000 d’autant que le pétrole (dont la saisonnalité est baissière jusqu’en fin décembre) chute comme alors et même un krach boursier fin 2020:
Le dollar US ayant entamé un retournement à la hausse contre la plupart des monnaies (l’euro en particulier qui n’a pas pu franchir les 1,20), les métaux précieux et les actions des sociétés minières devraient baisser plus étant donné qu’ils sont montés avec les actions US en général et en raison de la baisse du dollar US qui semble terminée pour le moment. Quant aux indices boursiers US surévalués, le Nasdaq surtout en raison des niveaux de cours et des PER intenables atteints par les technos (que nous avons déconseillé d’acheter dans nos derniers commentaires), ayant fait preuve d’exubérance irrationnelle (montant un jour mais chutant le lendemain), ce qui a empêché de prendre des positions durables et a obligé à les traiter activement, ils sont entrés dans une période de correction saisonnière (avec des hauts toujours moins hauts et des bas toujours plus bas) qui pourrait durer jusqu’en octobre. Il n’y a donc lieu que de maintenir des positions longues légères sur le S&P500 seulement (avec un stop vers 3.300) en les protégeant dès à présent par des ventes de DJIA comme par l’achat modéré d’obligations d’État à long terme US (via le TMF sous-évalué) comme nous l’avons fait, les obligations étant le meilleur placement et le plus sûr en période de turbulences boursières, d’autant que la Federal Reserve a confirmé qu’elle n’a aucune intention de monter ses taux d’intérêt (et pourrait même aller vers des taux courts négatifs si la bourse US chutait plus), que l’économie US se redresse ou pas (le maintient de taux bas voire négatifs étant le meilleur environnement pour la hausse des obligations d’État), et bientôt en achetant aussi le VIX s’il casse sa résistance vers 45 à la hausse.
Le dollar US ayant entamé un retournement à la hausse contre la plupart des monnaies (l’euro en particulier qui n’a pas pu franchir les 1,20), les métaux précieux et les actions des sociétés minières devraient baisser plus étant donné qu’ils sont montés avec les actions US en général et en raison de la baisse du dollar US qui semble terminée pour le moment. Quant aux indices boursiers US surévalués, le Nasdaq surtout en raison des niveaux de cours et des PER intenables atteints par les technos (que nous avons déconseillé d’acheter dans nos derniers commentaires), ayant fait preuve d’exubérance irrationnelle (montant un jour mais chutant le lendemain), ce qui a empêché de prendre des positions durables et a obligé à les traiter activement, ils sont entrés dans une période de correction saisonnière (avec des hauts toujours moins hauts et des bas toujours plus bas) qui pourrait durer jusqu’en octobre. Il n’y a donc lieu que de maintenir des positions longues légères sur le S&P500 seulement (avec un stop vers 3.300) en les protégeant dès à présent par des ventes de DJIA comme par l’achat modéré d’obligations d’État à long terme US (via le TMF sous-évalué) comme nous l’avons fait, les obligations étant le meilleur placement et le plus sûr en période de turbulences boursières, d’autant que la Federal Reserve a confirmé qu’elle n’a aucune intention de monter ses taux d’intérêt (et pourrait même aller vers des taux courts négatifs si la bourse US chutait plus), que l’économie US se redresse ou pas (le maintient de taux bas voire négatifs étant le meilleur environnement pour la hausse des obligations d’État), et bientôt en achetant aussi le VIX s’il casse sa résistance vers 45 à la hausse.
Le modèle de saisonnalité en année présidentielle US de Seasonax (le plus fiable) montre une baisse des indices boursiers US de septembre à mi-octobre, puis leur reprise jusqu’à l’élection début novembre, enfin leur rechute ensuite jusqu’à mi décembre:
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Le modèle d’EquityClock dit à peu près la même chose:
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C’est aussi l’avis de Tom McClellan, dont nous suivons la plupart des recommandations, qui a détecté dès juillet 2020 le retournement de moyen terme des indices boursiers US comme le montrent les graphiques ci-dessous de son NASI que suivent les principaux analystes (en particulier NorthmanTrader):
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McClellan Summation Index
The McClellan Summation Index is a market breadth indicator which was developed by Sherman and Marian McClellan. It is based on the McClellan Oscillator and add its values together, effectively running a total. The index goes up when the McClellan Oscillator is positive and goes down when it is negative. Signals can be derived from the index crossing the middle line (bullish when it’s crossing up and bearish when it’s crossing down). Other potential signals include divergences and overbought and oversold conditions. The indicator is best used in combination with other analysis techniques.
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Une hausse du VIX au dessus de 45 confirmerait la baisse des indices US:
Les derniers chiffres de l’emploi aux USA sont biaisés en raison de l’embauche temporaire des personnes chargées du « Census », ils se dégradent mais surtout montrent une perte permanente d’emplois traditionnellement baissière pour le S&P500:
Dans des USA ultra divisés en proie à toujours plus de violence, sur la voie de la libanisation ainsi que le sont la France et d’autres pays européens qui ont laissé s’établir des sociétés multi-culturelles, multi-confessionnelles et multi-ethniques suicidaires pour la cohésion des Nations et leurs peuples d’origine, les Démocrates sabotent les tentatives de l’Administration Trump de supporter les populations économiquement fragilisées par le Covid 19.
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Mais cette même Administration Trump a mis en place une dictature sanitaire, organisée par l’Institut CDC dirigé par Antony Fauci au profit des big pharmas (comme en Europe), hautement toxique pour les libertés individuelles et même pour la santé publique (l’efficacité et l’innocuité des vaccins étant loin d’être avérées), auquel Trump laisse carte blanche parce qu’il en espère de gagner les élections de novembre 2020:
Personne ne sait qui gagnera les élections US de novembre 2020, mais ce qui est probable c’est que les perdants refuseront leur défaite, d’où les procès, violences et émeutes qui s’en suivront dans un pays déjà au bord de la guerre civile, de nature alors à faire baisser plus le dollar US et monter plus l’argent-métal et l’or (qui d’ici là devraient ne rien faire c’est à dire se stabiliser -remontée du dollar US, rebaisse des métaux précieux-). Quant aux actions et indices boursiers US, actuellement surévalués par rapport à l’économie réelle comme jamais (l’action Amazon se paye sur la base de cent vingt ans de ses bénéfices actuels, un PER fou, intenable!), c’est alors qu’ils risquent de chuter aussi, même si d’ici là ils varient modérément dans les deux sens (étant donné la politique monétaire extravagante de laxisme menée par la Fed US, qui pratique le faux-monnayage pour maintenir les indices boursiers et actions US le plus haut possible au détriment des obligations d’État à éviter), mais avec une volatilité retrouvée surtout en octobre (le mois dangereux). Donc pas de forte chute boursière avant les élections US mais dès les résultats connus, quels qu’ils soient.
Personne ne sait qui gagnera les élections US de novembre 2020, mais ce qui est probable c’est que les perdants refuseront leur défaite, d’où les procès, violences et émeutes qui s’en suivront dans un pays déjà au bord de la guerre civile, de nature alors à faire baisser plus le dollar US et monter plus l’argent-métal et l’or (qui d’ici là devraient ne rien faire c’est à dire se stabiliser -remontée du dollar US, rebaisse des métaux précieux-). Quant aux actions et indices boursiers US, actuellement surévalués par rapport à l’économie réelle comme jamais (l’action Amazon se paye sur la base de cent vingt ans de ses bénéfices actuels, un PER fou, intenable!), c’est alors qu’ils risquent de chuter aussi, même si d’ici là ils varient modérément dans les deux sens (étant donné la politique monétaire extravagante de laxisme menée par la Fed US, qui pratique le faux-monnayage pour maintenir les indices boursiers et actions US le plus haut possible au détriment des obligations d’État à éviter), mais avec une volatilité retrouvée surtout en octobre (le mois dangereux). Donc pas de forte chute boursière avant les élections US mais dès les résultats connus, quels qu’ils soient.
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Le ticket Kamala Harris /Joe Biden est bien plus à redouter pour les Américains que celui Donald Trump / Mike Pence, en dépit de leurs échecs: mauvaise gestion de la pandémie, incapacité à stopper les interventions hostiles chinoises et l’immigration illégale, chômage et déficits US à leurs plus hauts historiques, croissance économique effondrée. Biden et Kamala, en cas d’élection feraient pire, sans compter la corruption style Obama / Clinton qu’ils véhiculent avec eux. Ce qu’il faudrait aux USA c’est un nouveau Ronald Reagan (qui tienne tête à la dictature chinoise, n’abandonne pas Hong Kong ou les Ouïghours et bientôt Taïwan), et non pas le matamore Trump qui aboie très fort mais ne mord jamais… Biden surtout, et Trump accessoirement, sont des fauteurs de guerre civile dressant leurs concitoyens les uns contre les autres… Comme les Américains n’ont jamais acheté autant d’armes et de munitions, ce ne sera pas joli à voir quand ils s’en serviront…
Voilà les effets du faux-monnayage que pratique la Fed de Powell…
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This can’t go on forever.
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Nasdaq is up 48% in the past year while earnings dropped by -30%. Wall street analysts expect 2021 earnings to grow by 120%! They better not miss targets at these absurd valuations….
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Modern market cap theory, or MMCT, is the idea that there is no upper limit for how large stocks can grow.
La dernière mascarade de la Fed: faire croire qu’elle va laisser l’inflation repartir alors qu’elle aura tout fait pour organiser la déflation de l’économie réelle avant de finalement recourir au Quantitative Easing (justifié au début mais incontrôlé maintenant), en alimentant l’inflation des seules actions, sans jamais remplir ses deux mandats que sont la stabilité des prix et l’emploi maximum:
La politique monétaire destructrice des banques centrales, contre laquelle nous mettons en garde depuis 2008, se poursuit:
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On ne peut pas comprendre la débâcle actuelle des marchés du crédit, en particulier de la dette titrisée (dans le sillage des pertes affectant les prêts immobiliers américains dits subprime) que l’ensemble des banques privées internationales se sont repassée – avec les conséquences financières désastreuses que l’on appréhende à peine -, sans retracer la dérive du Système monétaire international, depuis l’abandon progressif de l’étalon-or, jusqu’à sa propre destruction aujourd’hui. C’est à cette analyse passionnante que Pierre Leconte se livre dans cet ouvrage facile à lire et amplement documenté. Les « politiques monétaires » irrationnelles conduites par les banques centrales qui agissent comme des faux-monnayeurs, sont la source de la grande crise monétaire du XXIe siècle qui a déjà commencé ! C’est leur incapacité structurelle à organiser les conditions-cadres d’une mondialisation libérale, puis à la réguler, qui explique la plupart des dérives du système financier. C’est la raison pour laquelle il faut en tirer toutes les conséquences, c’est à dire purement et simplement supprimer ces mammouths dont les pratiques laxistes et collectivistes ont échoué ! Les remèdes existent, en effet, pour mettre un terme au chaos monétaire et financier actuel : rétablissement des taux de changes fixes autour de l’étalon-or pour les monnaies étatiques actuelles, et mise en oeuvre parallèle de la liberté de création monétaire permettant d’introduire une saine concurrence entre toutes les monnaies (publiques et privées), de nature à offrir à leurs utilisateurs – que nous sommes tous – la possibilité de sélectionner la meilleure possible. C’est par l’application des principes du libéralisme authentique que l’on sortira de la crise. Encore faut-il ne pas le caricaturer, mais comprendre en quoi il consiste et diffère du « capitalisme fou » – une explication salutaire que l’on trouvera aussi dans ce livre. Si les États ne procèdent pas à la réforme urgente du Système monétaire international après son effondrement aux conséquences financières, économiques, sociales et politiques incalculables, ce sont les acteurs des marchés qui la décideront. Ils imposent déjà l’or et les autres métaux précieux comme la seule valeur réelle de réserve en face du dollar qui s’effondre, et de l’euro surévalué qui suivra, à terme, le même chemin. Il faut sortir de l’impasse actuelle pour éviter qu’une deuxième crise de 1929 nous ruine presque tous ! Économiste, fondateur d’une société financière en Suisse, Pierre Leconte a été membre des bourses des marchés à terme de Londres et de New York, puis conseiller d’une banque de développement et d’une banque centrale sud-américaines. Il est le fondateur et l’animateur du « Forum monétaire de Genève pour la paix et le développement ».
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Lire ci-dessous: Le Point 20/08/2020 « Les États faux-monnayeurs »:
Les dirigeants politiques et économiques du canton de Genève (et ceux de Bâle et du Tessin) comme de la Confédération ont laissé la contamination se propager en Suisse depuis la France et l’Italie pour éviter d’avoir des retombées économiques fâcheuses chez eux, maintenant ils doivent décider s’il y a lieu de poursuivre ou de fermer les frontières comme ils auraient dû le faire en février – mars:
A lire: très bonne analyse de notre ami Christian Saint-Étienne sur la guerre inévitable qui vient entre la Chine et les USA, quel que sera le prochain président US:
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À la tête des deux plus grandes puissances mondiales s’affrontent des dirigeants dont les dérives ne cessent de surprendre. Au milieu de cette surenchère, la communauté internationale ne semble pas prendre la mesure de la menace. D’un côté du globe, Trump passe des heures à zapper devant sa télévision ou à tweeter tandis que ses décisions portent atteinte au statut de puissance stabilisatrice des États-Unis. De l’autre, Xi Jinping modifie la Constitution chinoise afin de s’octroyer une présidence à vie, bétonne et militarise des îlots inhabités afin de s’en attribuer la souveraineté et détruit tous les contre-pouvoirs élaborés pour éviter la répétition du délire maoïste. Ces deux apprentis sorciers sont fascinés par leur toute-puissance et déterminés à s’imposer comme la première force économique et géostratégique. Duopole instable, ce couple infernal est entré dans une escalade de déclarations et d’actions susceptible de nous conduire dans un conflit de haute intensité qui déstabilise déjà les relations internationales, de manière inédite depuis la guerre froide. L’Histoire nous oblige à analyser ce nouveau déséquilibre avec lucidité : nous nous acheminons vers un nouveau conflit mondial, et l’Europe, masse inorganisée et affaiblie, en est l’impuissante spectatrice.
A lire aussi pour comprendre le « nouveau monde » horrible dans lequel nous vivons et pourquoi il faut en sortir:
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Ce livre se lit d’une traite, à bride abattue. Il porte la rage des « Gaulois réfractaires » et la met en récit pour la rendre intelligible à ceux qui la ressentent. C’est la chronique glaçante d’une histoire terrifiante : on y découvre le chemin des aveuglements qui a conduit à cette débâcle, l’engrenage des mensonges, la révélation hallucinante des alertes des militaires, les ignorances savantes du biopouvoir liberticide ; sans oublier un morceau d’anthologie : la rencontre du Puy du Fou, quand Emmanuel Macron s’enivrait encore de l’Ancien Monde. La plume de Philippe de Villiers est inspirée. On se laisse emporter par l’expression aboutie, dense, littéraire et cinglante de la colère qui gronde partout aujourd’hui contre le Nouveau Monde, mort du coronavirus.
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14août
Comme attendu dans notre commentaire du 8 août, l’or, l’argent-métal et les actions des sociétés minières ont nettement corrigé à la baisse (ce qui n’est probablement pas fini) pendant que les taux d’intérêt US et le dollar US sont temporairement remontés; mais les indices boursiers US et européens n’ont pas encore corrigé, alors que tout indique qu’ils devraient le faire aussi, en particulier leur saisonnalité en période de Cycle d’élection présidentielle US. Tous ces mouvements, même forts, ne sont probablement que temporaires et la plupart des actifs financiers ne devaient se retourner vraiment tous ensemble qu’à partir de début/mi septembre. Nous restons actuellement essentiellement neutre sur les actifs financiers, avec l’idée de ne les acheter à nouveau que plus bas dans l’optique de leur ultime reprise de fin août et de se dégager ensuite dès début/mi septembre.
Comme attendu dans notre commentaire du 8 août, l’or, l’argent-métal et les actions des sociétés minières ont nettement corrigé à la baisse (ce qui n’est probablement pas fini) pendant que les taux d’intérêt US et le dollar US sont temporairement remontés; mais les indices boursiers US et européens n’ont pas encore corrigé, alors que tout indique qu’ils devraient le faire aussi, en particulier leur saisonnalité en période de Cycle d’élection présidentielle US. Tous ces mouvements, même forts, ne sont probablement que temporaires et la plupart des actifs financiers ne devaient se retourner vraiment tous ensemble qu’à partir de début/mi septembre. Nous restons actuellement essentiellement neutre sur les actifs financiers, avec l’idée de ne les acheter à nouveau que plus bas dans l’optique de leur ultime reprise de fin août et de se dégager ensuite dès début/mi septembre.
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Comme le montre le graphique ci-dessous de Tom McClellan, les indices boursiers et donc européens, fortement corrélés actuellement, devraient après leur pic du 11 août corriger à la baisse puis remonter vers le 1er/3 septembre et chuter ensuite fortement jusqu’à la fin septembre:
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Le pic du 11 août a bien eu lieu sur le S&P500, mais il a poursuivi son évolution latérale sans baisser vraiment pour le moment:
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Le ratio put/call sur les indices boursiers US, à un niveau extrême qui a historiquement déclenché un mouvement de correction, n’incite pas à les acheter à ce jour:
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D’autant que la capitalisation mondiale des marchés d’actions a dépassé la valeur de l’ensemble des économies, ce qui, chaque fois qu’un niveau extrême de ce type est intervenu, les a fait chuter:
Et que les taux d’intérêt longs US remontent, d’où la baisse des obligations, généralement suivie de peu de celle des actions parce que cette remontée pourrait aggraver la situation économique:
D’où les mises en garde de Warren Buffet, de Georges Soros et de Jeffrey Gundlach qui ont réduit au maximum leurs positions dans la crainte d’un krach boursier en septembre:
Cette hausse des taux longs s’explique par l’énormité des émissions de Treasury Bonds et Bills par l’État US qui ont du mal à être absorbées, d’autant que la Fed continue de diminuer ses achats, estimant sans doute que la liquidité sur les marchés financiers est suffisante, qu’il est actuellement contre-productif de pousser les indices boursiers plus haut et qu’il est préférable de garder ses munitions pour la période immédiatement pré et post-électorale US très incertaine quant à savoir qui de Trump ou de Biden sera élu et qui détiendra la majorité au Sénat US.
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D’ailleurs, la Fed peut déclarer « mission accomplie » étant donné qu’elle a (artificiellement via le plus grand Quantitative Easing jamais mis en place dans l’histoire et la fixation de taux courts voisins de zéro) ramené les principaux indices boursiers US plus ou moins sur leur niveau de début d’année pré-krach Covid, ce qui est surréaliste compte tenu de la récession US, sauf que ces indices ne sont plus composés en majorité que d’actions de société zombies, que le bilan de la Fed est stratosphérique (ce qui commence à faire baisser le dollar US) et qu’il y a aux USA des millions de chômeurs en situation ultra précaire, sans que l’on puisse entrevoir le nouveau catalyseur qui fera repartir l’économie US (ou mondiale) actuellement en récession.
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A court terme, démocrates et républicains sont toujours en désaccord et incapables d’adopter un nouveau plan de relance et de soutien desdits chômeurs.
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Situation au 13 août 2020
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La reprise des taux est négative pour le Nasdaq, et les actions des sociétés minières -indice GDX- (sur lesquelles nous restons short via l’achat du DUST), mais aussi pour l’or et l’argent (sur lesquels nous sommes arbitrés presque sans plus de position):
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Très important, à lire: Real Rates Reversal Hitting Big Trades Including Gold and Nasdaq
La baisse de l’indice de confiance des consommateurs US a tendance à faire baisser en parallèle le Dow Jones des Industrielles et l’or ensemble (situation au 13 août 2020), ce qui signifie que c’est la baisse du dollar US (ou son anticipation) et la perte de confiance des consommateurs qui font monter l’or:
Bonne prévision de Clive Maund du 31 juillet 2020: les actions des sociétés minières ne sont montées que parce les investisseurs pensaient que la hausse des métaux leur serait profitable alors qu’en réalité leur production a chuté du fait de la fermeture de beaucoup de leurs sites d’exploitation en Amérique du Sud et du Nord et en Afrique, dont les travailleurs sont affectées par le Covid, et elles sont presque toutes en faillite virtuelle, d’autant que leurs moyens de transport maritime ou aérien de leurs productions résiduelles sont compliqués à l’extrême:
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Va-t-il avoir encore raison? Ses graphiques du 7 août 2020:
Pour se protéger contre la baisse éventuelle du Nasdaq, acheter les SQQQ, qui ne valent presque rien et ne présentent pas de risque de perte notable compte tenu de leur faible prix, ainsi que nous l’avons fait le 13 août 2020 exactement sur le double top de l’indice Nasdaq (correspondant à un double bottom sur le SQQQ):
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En Europe, les taux longs montent aussi, d’autant que le plan « de relance » (750 milliards d’euros?) adopté par les dirigeants nationaux européens prévu pour 2021 et ensuite devra faire l’objet d’emprunts par la Commission européenne qui pourraient mettre le feu au marché obligataire probablement incapable d’absorber de tels montants à des taux trop bas. Ce qui montre que, là aussi, les indices boursiers sont probablement à leur maximum ou pas loin.
Tout ce qui précède ne mentionne pas la pandémie, le virus chinois circulant encore un peu partout, qui n’est en aucune façon réglée (dont le potentiel de chaos économique et sécuritaire reste majeur) et que tous les vaccins du monde n’enrayeront probablement pas tant que la population ne sera pas mithridatisée, c’est-à-dire auto-immunisée en ayant attrapé le virus selon le modèle choisi par la Suède.