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28mars
La plupart des dirigeants politiques et des banques centrales ou autres organismes internationaux (sans parler des médias et de leurs journalistes avides de sensationnel) pratiquant en permanence le catastrophisme, du fait de leurs déclarations incendiaires irresponsables répétées mettant de l’huile sur le feu, sabotent leurs rares actions positives pour limiter les effets ultra dommageables du virus chinois, empêchent eux-mêmes les économies de partiellement se rétablir (en raison d’un confinement trop radical des populations) et entretiennent une volatilité extrême des marchés financiers rendant très difficile l’investissement (l’écroulement des marchés d’actions le 23 mars par exemple ayant généré ce jour-là un chaos sans précédent). Alors que la Federal Reserve de Powell et l’Administration Trump sont les seuls à faire tout ce qu’ils peuvent pour rétablir un peu de confiance et maintenir les économies US et mondiale le plus possible hors de l’eau en mettant en place le plus grand plan de soutien et d’injections monétaires jamais vu (QE illimité). Nous restons, avec des positions plutôt légères, acheteurs de calls Nasdaq et S&P500 (échéance juillet) et d’ETFs longs sur les indices US (illimités dans le temps). Création monétaire massive, potentiellement inflationniste, ayant finalement provoqué la reprise de l’or (que nous n’achetons pas tant que le dollar US ne décrochera pas vraiment) et de l’argent-métal (sur lequel nous avions conservé des positions longues que nous gardons en raison de sa sous-évaluation historique très anormale par rapport à l’or et du quasi arrêt de sa production primaire et secondaire -comme sous-produit d’autres métaux- par les pays producteurs) mais aussi à un moindre degré du pétrole (trop spéculatif pour en acheter). On pourrait ainsi passer PROGRESSIVEMENT, APRÈS LA FIN de l’épidémie qui nécessairement viendra, de la déflation actuelle à la stagflation (combinaison de faible croissance économique et d’inflation en hausse) d’autant que la mondialisation ultra déflationniste a du plomb dans l’aile.
La plupart des dirigeants politiques et des banques centrales ou autres organismes internationaux (sans parler des médias et de leurs journalistes avides de sensationnel) pratiquant en permanence le catastrophisme, du fait de leurs déclarations incendiaires irresponsables répétées mettant de l’huile sur le feu, sabotent leurs rares actions positives pour limiter les effets ultra dommageables du virus chinois, empêchent eux-mêmes les économies de partiellement se rétablir (en raison d’un confinement trop radical des populations) et entretiennent une volatilité extrême des marchés financiers rendant très difficile l’investissement (l’écroulement des marchés d’actions le 23 mars par exemple ayant généré ce jour-là un chaos sans précédent). Alors que la Federal Reserve de Powell et l’Administration Trump sont les seuls à faire tout ce qu’ils peuvent pour rétablir un peu de confiance et maintenir les économies US et mondiale le plus possible hors de l’eau en mettant en place le plus grand plan de soutien et d’injections monétaires jamais vu (QE illimité). Nous restons, avec des positions plutôt légères, acheteurs de calls Nasdaq et S&P500 (échéance juillet) et d’ETFs longs sur les indices US (illimités dans le temps). Création monétaire massive, potentiellement inflationniste, ayant finalement provoqué la reprise de l’or (que nous n’achetons pas tant que le dollar US ne décrochera pas vraiment) et de l’argent-métal (sur lequel nous avions conservé des positions longues que nous gardons en raison de sa sous-évaluation historique très anormale par rapport à l’or et du quasi arrêt de sa production primaire et secondaire -comme sous-produit d’autres métaux- par les pays producteurs) mais aussi à un moindre degré du pétrole (trop spéculatif pour en acheter). On pourrait ainsi passer PROGRESSIVEMENT, APRÈS LA FIN de l’épidémie qui nécessairement viendra, de la déflation actuelle à la stagflation (combinaison de faible croissance économique et d’inflation en hausse) d’autant que la mondialisation ultra déflationniste a du plomb dans l’aile.
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Le US Dollar Index n’a pas cassé son support (vers 94):
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Les deux métaux n’ont pas cassé leurs résistances:
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Extrême sous-évaluation de l’argent-métal par rapport à l’or:
A noter, à nouveau, que l’achat d’indices boursiers -ou des ETFs- (c’est-à-dire de paniers d’actions individuelles sélectionnées par secteurs économiques mutualisant le risque) est moins risqué que l’achat d’actions individuelles elles-mêmes concentrant le risque sur un ou quelques titres.
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Le chaos du 23 mars: plusieurs centaines de points à la baisse et à la hausse plusieurs fois alternativement le même jour en quelques heures (du jamais vu, en mesure de couler un portefeuille sans que l’on puisse rien y faire) suite au passage du NYSE au trading électronique seulement (le floor ayant été fermé en raison du virus), aux atermoiements du Congrès US à adopter le nouveau plan Trump auxquels les démocrates s’opposaient sur certains sujets et à des déclarations incendiaires d’officiels irresponsables des deux côtés de l’Atlantique!
Alors que le S&P500 et les autres indices boursiers US étant massivement sur-vendus avaient, et ont encore, une probabilité beaucoup plus forte de reprise à court terme que de chute supplémentaire (sans que l’on puisse savoir si cette reprise va tenir quelques temps, ni a fortiori si le plus bas a été atteint, puisque l’on ne sait pas si l’épidémie va s’aggraver ni quand elle va s’arrêter):
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Graphique de Clive Maund du 20 mars au soir:
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De telle sorte que l’on peut analyser la séance du 23 mars comme une grande manipulation des traders algo opérant électroniquement pour faire sortir le plus possible de longs proches de la capitulation finale qui ont finalement succombé et racheter à bon compte leurs positions ainsi liquidées… Le jour d’après, le 24 mars, comme par hasard, Le S&P500 est monté de +9,49%.
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Qu’est ce que la stagflation?
La stagflation est une expression économique pour désigner une période avec une croissance molle ou nulle et une forte inflation. Pour que l’on puisse parler de stagflation, il faut que la hausse des prix et le ralentissement économique soient durables.
Cette création monétaire peut alors générer une forte inflation et si la croissance économique n’est pas au rendez vous, alors une période de stagflation peut s’installer. La hausse des prix (mesurée par l’indice des prix à la consommation) entraîne une perte de pouvoir d’achat importante pour les ménages. De ce fait, la consommation ralentit et les entreprises abaissent alors leur niveau de production. Cela entraîne une hausse importante du taux de chômage. Tous ces éléments tirent la croissance économique vers le bas.
Généralement, pour sortir d’une période de stagflation, la banque centrale intensifie les mécanismes de la création monétaire (technique de la planche à billets) pour tenter de se sortir de la croissance molle. Le problème, c’est que cela continue d’alimenter la hausse des prix…
Le phénomène de stagflation peut également être du à une hausse du prix des matières premières (comme la hausse des cours du pétrole par exemple). Cette hausse vient augmenter les coûts de production des entreprises qui pour conserver leurs marges vont augmenter les prix des biens et services. Si cette situation perdure, cela peut entraîner une inflation durable et faire chuter la consommation. La croissance économique diminue et la stagflation peut s’installer.
Exemple de stagflation:
Un exemple connu de stagflation fait suite au premier choc pétrolier de 1973. C’est la fin des Trente Glorieuses et la hausse brutale des cours du pétrole va alors ralentir nettement l’activité économique et provoquer une hausse brutale de l’inflation. Cette situation économique intervient en France et aux États-Unis. Le Royaume Uni était alors déjà touché par la stagflation depuis plusieurs années. C’est d’ailleurs le premier ministre Britannique Iain Macleod qui a inventé l’expression en 1965.
Pour sortir de cette situation économique, une politique de lutte contre la chômage a alors été mise en place par les différents pays. En France, c’est le gouvernement de Mitterrand qui applique une politique de relance dès son élection de 1981. Cette politique est un échec total, le chômage alors très élevé ne baisse pas (et continue même d’augmenter) et le taux d’inflation s’envole. La stagflation perdure. En 1983, Mitterrand change finalement de politique. C’est le tournant de la rigueur. Dans de nombreux pays développés, le keynésianisme laisse place au monétarisme. C’est l’avènement de la politique de rigueur, imposée par l’Allemagne, qui persiste encore dans l’Union européenne et a fini par la tuer.
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A noter qu’en cas de stagflation, les obligations chutent parce que les taux à long terme montent et que certains États font faillite (Argentine, Liban, Italie, etc. sont déjà sur la liste); en revanche, les actions de celles des sociétés qui bénéficient de la hausse des prix (c’est-à-dire presque toutes sauf les utilities ou services publics et les émergentes) montent.
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Le Quantitative Easing Forever de la Fed (qui n’était pas prévu) est un GAME CHANGER modifiant les stratégies d’investissement dans le sens où les métaux précieux et certaines matières premières pourraient revenir au centre du jeu au côté de la plupart des actions au détriment des obligations. NEVER FIGHT THE FED comme le dit l’adage, surtout quand elle achète tous les types d’actifs monétaires, de crédit et boursiers (ETFs en particulier).
La Fed, la B of E et l’Administration Trump viennent d’inaugurer l’hélicoptère-monnaie. Cela ne vise pas à faire repartir les économies mais à éviter qu’elles s’effondrent encore plus. Si le confinement s’arrête assez vite cela marchera, sinon il faudra poursuivre et en augmenter la dose.
Les actifs boursiers sont dans un rally de Bear Market:
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Toute la hausse du Dow depuis l’élection de Trump a été effacée, ce qui va compliquer sa réélection tant il s’est vanté de faire monter les actions comme personne d’autre:
Pour le cas ou le S&P500 remonterait vers 2.750 / 2.800, nous sortirions ou arbitrerions tous nos achats actuels d’actifs boursiers US (à exception des achats de calls juillet dont les primes ayant déjà été payées ne présentent pas de risque supplémentaire), mais sans aller short, pour tenter de les reprendre progressivement sur leurs plus bas récents voire en dessous.
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Voir: Est-ce la fin du rebond ? – 100% Marchés Daily BNP PARIBAS- 27 Mars 2020:
En Europe, on est très loin de la situation actuelle US, l’on discute encore de plans de soutiens (comme les coronabonds) qui n’ont pas commencé, dans une ambiance de fin de la construction européenne, chaque État agissant pour lui-même en ordre dispersé, la BCE divisée étant beaucoup trop attentiste. Alors qu’elle devrait jeter aux orties toutes ses contraintes et acheter à guichet ouvert tous les actifs. Ce que la BNS ne fait, hélas, pas non plus.
Le fait que les indices boursiers européens remontent dans le sillage de la reprise des indices boursiers US ne nous incite pas en acheter, tant l’Union européenne et ses voisins sont déphasés et manquent de réactivité.
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Voir: «Les européistes sont aux abois car la construction européenne est en train de s’effondrer»
La Suisse continue de laisser ses frontières ouvertes, en particulier aux frontaliers venus de France, d’Italie ou d’Allemagne, et ne met pas un terme à ses procédures d’asile, ce qui place en danger toute la population du pays en y acceptant de nombreuses personnes potentiellement ou effectivement contaminées. Pire, elle admet des malades étrangers qu’elle soigne dans ses hôpitaux déjà submergés. Au lieu de fermer ses frontières, elle ferme de plus en plus ses entreprises, ce qui est le contraire de ce qu’il faut faire.
Nous vivons la fin d’un modèle qui a fait faillite, ce qui nécessite de changer de classes politiques un peu partout, en Europe surtout, de revenir le plus possible au local et de rétablir des frontières, tout en recréant des mécanismes de protection des populations à tous les niveaux mais sans les contraindre afin de préserver leurs libertés et leurs droits démocratiques.
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Voir: Charlotte d’Ornellas : « L’éxécutif nous ment » (Coronavirus)
Au sortir du confinement, une abominable procédure dictatoriale décidée unilatéralement par les dirigeants politiques, on risque comme en China actuellement une explosion sociale et politique qui pourrait être bien pire que si l’on avait laissé aux populations la liberté de décider pour elles-mêmes d’agir comme bon leur semblait:
A en juger par la reprise des indices boursiers US, Powell et Trump sont probablement en train de gagner la première phase de la bataille contre le virus, reste à gagner la deuxième en remettant le plus vite possible les USA au travail pour éviter le désastre qui s’annonce en terme de chômage en particulier. Si économie des USA ne tient pas, aucune autre économie dans le monde ne résistera.
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U.S. Intervenes in Saudi-Russia Oil War With Call for Restraint:
En dépit de la chute brutale du prix du pétrole, des actions et des indices boursiers US, qui est sans précédent en aussi peu de temps mais qui peut durer encore un peu en cas de poursuite de la panique collective en cours (d’où la nécessité de pratiquer le trading à court terme des indices boursiers US à côté de l’achat modéré de calls à échéance de quelques mois et d’ETF US de qualité, à conserver parce que les USA sont le seul pays financièrement capable de maintenir à flot son économie); il y a plusieurs effets collatéraux majeurs, certains positifs certains négatifs, de l’épidémie actuelle du virus chinois: la remise en cause de la mondialisation sauvage qui a mené le monde entier à sa terrible crise de déflation actuelle; l’implosion politico-économique de l’Union européenne et de sa monnaie unique supra-nationale, qui n’ont jamais fonctionné (d’où la chute des monnaies et obligations européennes à ne pas détenir tant que l’Europe sera l’épicentre du virus); la remise en cause du dogme euro-mondialiste de l’abolition des frontières et du démantèlement des États-nations, qui a tué les démocraties représentatives et mis en danger les peuples; l’écroulement de tous les faux actifs supposés de « protection » (métaux dits précieux, cryptomonnaies, euro et yen contre le dollar US -lequel émerge comme la vraie monnaie refuge- et obligations des États et entreprises déjà surendettés qui devront emprunter toujours plus, ce qui devrait faire exploser à la hausse les taux longs d’où le risque de krach obligataire après le krach boursier), la fin de l’obsession du réchauffement climatique et de l’inutile décarbonisation des économies, un gouffre à milliards qui ne pourra pas être financé par les États et les entreprises devant mobiliser toutes leurs ressources pour parer à la récession mondiale menaçante. Mais le plus grave, c’est la tyrannie politique orwellienne qui s’installe dans la plupart des États (la France de Macron que son amateurisme autoritariste a plongée dans le chaos -« Malheur à toi pays dont le prince est un enfant! » /l’Ecclésiaste/- étant hélas emblématique à cet égard) mettant fin au respect des droits démocratiques individuels et collectifs et des principes constitutionnels de l’État de droit que les peuples n’accepterons sans doute pas.
En dépit de la chute brutale du prix du pétrole, des actions et des indices boursiers US, qui est sans précédent en aussi peu de temps mais qui peut durer encore un peu en cas de poursuite de la panique collective en cours (d’où la nécessité de pratiquer le trading à court terme des indices boursiers US à côté de l’achat modéré de calls à échéance de quelques mois et d’ETF US de qualité, à conserver parce que les USA sont le seul pays financièrement capable de maintenir à flot son économie); il y a plusieurs effets collatéraux majeurs, certains positifs certains négatifs, de l’épidémie actuelle du virus chinois: la remise en cause de la mondialisation sauvage qui a mené le monde entier à sa terrible crise de déflation actuelle; l’implosion politico-économique de l’Union européenne et de sa monnaie unique supra-nationale, qui n’ont jamais fonctionné (d’où la chute des monnaies et obligations européennes à ne pas détenir tant que l’Europe sera l’épicentre du virus); la remise en cause du dogme euro-mondialiste de l’abolition des frontières et du démantèlement des États-nations, qui a tué les démocraties représentatives et mis en danger les peuples; l’écroulement de tous les faux actifs supposés de « protection » (métaux dits précieux, cryptomonnaies, euro et yen contre le dollar US -lequel émerge comme la vraie monnaie refuge- et obligations des États et entreprises déjà surendettés qui devront emprunter toujours plus, ce qui devrait faire exploser à la hausse les taux longs d’où le risque de krach obligataire après le krach boursier), la fin de l’obsession du réchauffement climatique et de l’inutile décarbonisation des économies, un gouffre à milliards qui ne pourra pas être financé par les États et les entreprises devant mobiliser toutes leurs ressources pour parer à la récession mondiale menaçante. Mais le plus grave, c’est la tyrannie politique orwellienne qui s’installe dans la plupart des États (la France de Macron que son amateurisme autoritariste a plongée dans le chaos -« Malheur à toi pays dont le prince est un enfant! » /l’Ecclésiaste/- étant hélas emblématique à cet égard) mettant fin au respect des droits démocratiques individuels et collectifs et des principes constitutionnels de l’État de droit que les peuples n’accepterons sans doute pas.
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La plupart des pouvoirs publics et des médias orchestrent la panique des populations et des marchés financiers, au lieu de les rassurer, pour mieux les manipuler et les asservir à leurs objectifs. D’où la perte des repères habituels de prévision devenus inefficaces.
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L’essentiel de la baisse du S&P500 et des autres indices boursiers US a été effectuée, baisse qui a ralenti cette semaine:
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Aux alentours de 2.280 atteints le 18 mars, le S&P500 semble avoir trouvé un support:
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Il ne s’agit pas d’attendre un retour immédiat du « bull market » mais une forte reprise corrective à court terme (qui pourrait permettre de prendre quelques profits sur nos positions actuelles alors gagnantes) du S&P500, et des autres indices US, entre 2.700 et 2.800 comme l’escompte Rambus Chartology:
Plusieurs autres indices boursiers US ont aussi trouvé des supports:
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Idem pour l’indice canadien:
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La reprise des taux longs US -à 10 ans par exemple- (passés en mars de 4% -leur plus bas historique- à 9,38%) est à terme négative pour les obligations (qui commencent à chuter comme le montre le TLT) mais positive pour les actions (qui ne se reprennent pas encore):
Les indices boursiers européens et suisse ont aussi trouvé des supports:
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Le dollar US est devenu la monnaie refuge, les investisseurs faisant confiance à la Federal Reserve plutôt qu’aux autres banques centrales, laquelle augmente massivement son bilan (qui n’a pas de limite) et achète toutes sortes d’actifs pour tenter de les stabiliser comme pour financer les programmes de relance économique et de distribution de soutiens aux entreprises, contribuables et consommateurs US par l’administration Trump qui joue son va-tout:
L’or ne peut pas monter dans un environnement aussi déflationniste, avec un dollar US aussi fort et un pétrole aussi faible, son support se situe vers 1.375 USD l’once selon Wyckoff:
Les autorités fédérales et cantonales suisses ont à peu près correctement géré la crise sanitaire jusqu’ici en ne confinant pas la population afin de la laisser la plus libre possible et de ne pas casser l’économie, avec tout de même plusieurs erreurs majeures comme de ne pas fermer les frontières avec l’Italie, la France et l’Allemagne, dont les frontaliers potentiellement contaminés continuent leurs allers-retours, ni de supprimer les vols depuis les pays les plus à risque, tout en ne faisant rien pour rapatrier les Suisses coincés à l’étranger. Elles auront des comptes à rendre en cas de contamination croissante venue d’Europe et d’ailleurs.
En revanche, c’est en France (Italie mise à part, qui paye sa collaboration avec la Chine dans le cadre des « Routes de la soie » pour lui avoir confié la gestion de ses ports et laissé entrer une masse de Chinois porteurs du virus pour les administrer, et Espagne socialiste, qui a laissé l’immigration la submerger) que la situation est la pire, Macron et son gouvernement ayant instauré le chaos et la tyrannie. Ainsi que son ex-ministre Buzin l’en accuse, il a laissé faire la mascarade électorale des municipales et n’a rien fait pour préparer ni protéger le pays tout en sacrifiant les libertés privées et publiques de la population qu’il a confinée.
Un livre de science fiction d’un auteur américain avait imaginé l’emploi par la Chine d’un coronavirus pour casser l’Occident et installer sa domination mondiale. Et si c’était la réalité?
L’écroulement historique des prix des actifs financiers qui est intervenu cette semaine n’aurait jamais dû se produire si les politiciens et les médias n’avaient pas créé une panique internationale très exagérée à propos des effets du coronavirus chinois que les populations assimilent très abusivement à la « fin du monde ». Dans le traitement de la crise économique et financière qui en est résulté, l’irresponsabilité et l’incompétence des politiciens et banquiers centraux européens, qui cassent les entreprises et ferment les écoles au lieu des frontières, sans baisser leurs taux d’intérêt courts ni augmenter leurs QE, contraste avec l’action responsable et professionnelle de leurs homologues américains et britanniques, qui emploient tous leurs moyens pour protéger et relancer leurs économies nationales. De telle sorte qu’il importe de faire l’impasse sur les actions européennes qui, contrairement aux actions US et à un moindre degré britanniques, ne présentent pas de possibilité de redressement durable tant que l’Union européenne et l’euro, victimes consentantes de la mondialisation sauvage, de la submersion migratoire et du désastre épidémique, ne seront pas démantelés. Nous avons conservé l’essentiel de nos positions longues sur les actions US via les indices boursiers (calls juillet par ex), que nous avions partiellement arbitrées la semaine dernière mais sans aller short, seulement. Contrairement aux actions US, qui devraient se reprendre à court terme; le krach des cryptomonnaies, des obligations d’État et d’entreprises, des métaux précieux et de la plupart des monnaies contre le dollar US (devenu la valeur refuge) devrait s’amplifier.
L’écroulement historique des prix des actifs financiers qui est intervenu cette semaine n’aurait jamais dû se produire si les politiciens et les médias n’avaient pas créé une panique internationale très exagérée à propos des effets du coronavirus chinois que les populations assimilent très abusivement à la « fin du monde ». Dans le traitement de la crise économique et financière qui en est résulté, l’irresponsabilité et l’incompétence des politiciens et banquiers centraux européens, qui cassent les entreprises et ferment les écoles au lieu des frontières, sans baisser leurs taux d’intérêt courts ni augmenter leurs QE, contraste avec l’action responsable et professionnelle de leurs homologues américains et britanniques, qui emploient tous leurs moyens pour protéger et relancer leurs économies nationales. De telle sorte qu’il importe de faire l’impasse sur les actions européennes qui, contrairement aux actions US et à un moindre degré britanniques, ne présentent pas de possibilité de redressement durable tant que l’Union européenne et l’euro, victimes consentantes de la mondialisation sauvage, de la submersion migratoire et du désastre épidémique, ne seront pas démantelés. Nous avons conservé l’essentiel de nos positions longues sur les actions US via les indices boursiers (calls juillet par ex), que nous avions partiellement arbitrées la semaine dernière mais sans aller short, seulement. Contrairement aux actions US, qui devraient se reprendre à court terme; le krach des cryptomonnaies, des obligations d’État et d’entreprises, des métaux précieux et de la plupart des monnaies contre le dollar US (devenu la valeur refuge) devrait s’amplifier.
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John Murphy de StockCharts avait identifié le 12 mars un support majeur sur le S&P500 vers 2.500.
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On peut considérer que le S&P500 a tenu son support majeur vers 2.500 sur lequel il a rebondi de +9,30% pour clôturer à 2.711 le 13 mai.
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Le DJIA et le NASDAQ ont aussi touché leurs supports de long terme:
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Le VIX du S&P500 et le ratio puts/calls devraient avoir atteint leurs sommets et se retourner:
Les obligations d’État et d’entreprises (US et autres), très sur-achetées, ont enregistré un renversement historique à la baisse qui devrait pousser les investisseurs à en sortir au profit des actions US, très sur-vendues, d’autant que la crise actuelle va conduire États et entreprises à massivement accroitre leur endettement d’où la reprise des taux à long termes (que les banques centrales ne contrôlent pas) et le krach obligataire qui a commencé:
Mouvement massif de ventes d’or au profit d’achats de dollars US:
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Le dollar US devrait encore monter, les métaux précieux, les actions des sociétés minières (indice HUI) et les cryptomonnaies devraient encore baisser:
Trump, ou un autre chef d’État et de gouvernement, va-t-il confisquer l’or comme Roosevelt en 1933? C’est ce que craignent à juste raison les détenteurs d’or:
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Trump a donné instructions à l’administration US d’acheter du pétrole pour le stock stratégique US, afin de contrecarrer l’augmentation de la protection saoudienne et russe qui a une responsabilité dans la chute des prix des actifs en général, ce qui va le stabiliser et faire remonter les actions des sociétés pétrolières US:
Chevron par exemple, qui s’est appuyé sur son support à long terme, a repris +9,39% le 13 mars:
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Les marchés boursiers US sont devenus des marchés de trading nécessitant une attention de tous les instants pour tenter de réaliser des gains sur le court terme ou de perdre le moins possible.
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Voir: Webinaire: Revue technique des marchés BNP Paribas avec Laurent Albie, 13/03/2020:
Malheureusement, l’Europe devenue l’épicentre du virus, et ses banques centrales (BCE, BNS, etc), sans parler de ses principaux dirigeants politiques, ne sont pas à la hauteur de la situation:
Fermer les écoles et obliger les parents qui ne peuvent pas garder leurs enfants à les confier aux grands parents ou bien à les laisser errer dans les rues est une tragique erreur:
Au même titre que Tchernobyl a dynamité l’URSS, le coronavirus pourrait faire exploser politiquement l’Union européenne mais pas les USA un pays-continent riche et protégé:
Il faudra demander à la dictature chinoise d’indemniser le monde pour les dommages qu’elle lui faut subir et l’exclure de l’OMC et autres organismes internationaux mais aussi revenir sur la mondialisation sauvage qui a échoué:
Les deux rebonds intervenus cette semaine sur les indices boursiers US ne leur ont pas permis de rétablir leur tendance haussière mais semblent les avoir stabilisés (temporairement?), le support vers 2.850 sur le S&P500 continuant de tenir; nous avons toutefois rétabli jeudi, par précaution, des protections partielles shorts de nos positions longues sous la forme d’achats de calls juillet sur le S&P500 et le Nasdaq surtout que nous conservons.
Les deux rebonds intervenus cette semaine, lundi et jeudi, sur les indices boursiers US ne leur ont pas permis de rétablir leur tendance haussière mais semblent les avoir stabilisés (temporairement?), le support vers 2.850 sur le S&P500 continuant de tenir; nous avons toutefois rétabli jeudi, par précaution, des protections partielles shorts de nos positions longues sous la forme d’achats de calls juillet sur le S&P500 et le Nasdaq surtout que nous conservons.
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Résistance vers 3.140:
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Le graphique de John Murphy. Le franchissement à la hausse des 3.140 sur le S&P500 serait explosif à la hausse:
Stabilisation due aux faits ci-après: la Fed a baissé en urgence de 50 points de base son taux directeur et repris ses injections monétaires dans le système bancaire pendant que les taux d’intérêt US s’écroulent ce qui permet le rétablissement positif de la courbe des taux US, les statistiques économiques US comme l’emploi restent favorables, le nombre de personnes atteintes du coronavirus aux USA reste faible, la Chine où la pandémie diminue se remet au travail, Biden le modéré semble avoir pris l’avantage sur Sanders le socialiste, qui affole les investisseurs, dans la désignation du candidat démocrate qui affrontera Trump à l’élection présidentielle US de novembre, tous les autres candidats sauf Tulsi Gabbard ayant déclaré forfait.
A noter que le dollar US s’est affaibli en raison de la baisse des taux d’intérêt US mais n’a pas cassé à la baisse:
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Contrairement aux indices boursiers US (encore négatifs) et aux indices boursiers européens (actuellement les plus baissiers de tous), l’indice des actions chinoises est en forte remontée, alors que l’économie de ce pays est dans sa plus mauvaise situation depuis des années, parce que la Banque centrale de Chine injecte massivement des liquidités, baisse ses taux d’intérêt et prend toutes les mesures de relance possibles:
Si la Federal Reserve US agit de la même façon, ainsi qu’elle semble disposée à le faire, les indices boursiers US remonteront, coronavirus ou pas, d’autant que les « indices de la peur » sont à leur maximum de stress (ce qui historiquement précède généralement de peu une reprise de la tendance haussière desdits indices) et que la saisonnalité de mars est positive pour ces derniers:
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La Fed se dit prête à acheter des actions US (en année électorale aux USA, elle ne peut pas laisser se produire un krach boursier aux USA au risque d’être assaillie tant par les républicains que par les démocrates et de perdre son statut indépendant):
Ne pas paniquer à propos du coronavirus pour qu’il reste un « corona circus » mais ne devienne pas un » coronapocalypsus »:
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La vérité:
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Coronavirus has infected 100,000 globally and killed 3,000 globally, swine flu infected 61 MILLION in the US and killed 12,000 in the USA alone (over 500,000 globally).
En Europe, il est préoccupant que ni la BCE, ni la BofE, ni la BNS ne fassent rien pour aider à la reprise des actions et des économies. Ne pas investir dans les actifs boursiers européens tant qu’elles ne se mobiliseront pas. Le CAC40 par exemple ne doit pas baisser en dessous de 5.000 s’il veut garder des chances de se rétablir rapidement;
Nous avons hier lundi 2 mars dès l’ouverture liquidé sur nos comptes-clients en gestion toutes les protections shorts sur les indices boursiers US pour ne conserver que les positions longues sur ces mêmes indices, dont nous avons profité à plein de la reprise ce jour là, et que nous garderons (en les traitant, c’est-à-dire en les diminuant ou en les augmentant au gré de leurs fluctuations intermédiaires) tant que le S&P500 se maintiendra en clôture au dessus de son support vers 2.850 ou bien jusqu’à la fin mars / début avril, date probable de leur prochain retournement à la baisse. Rien d’autre de changé sur les autres actifs par rapport à notre dernier commentaire du 29 février. Prochain commentaire hebdomadaire habituel le 6 ou 7 mars.
Nous avons hier lundi 2 mars dès l’ouverture liquidé sur nos comptes-clients en gestion toutes les protections shorts sur les indices boursiers US pour ne conserver que les positions longues sur ces mêmes indices, dont nous avons profité à plein de la reprise ce jour là, et que nous garderons (en les traitant, c’est-à-dire en les diminuant ou en les augmentant au gré de leurs fluctuations intermédiaires) tant que le S&P500 se maintiendra en clôture au dessus de son support vers 2.850 ou bien jusqu’à la fin mars / début avril, date probable de leur prochain retournement à la baisse. Rien d’autre de changé sur les autres actifs par rapport à notre dernier commentaire du 29 février. Prochain commentaire hebdomadaire habituel le 6 ou 7 mars.
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graphique daily:
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graphique weekly:
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Pas de retournement à la baisse des indices boursiers US prévu avant la fin mars / début avril:
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29févr.
Le coronavirus chinois rend fous ceux qu’il ne tue pas, la « machine de la peur » s’étant généralisée du fait de la mauvaise gestion de la crise sanitaire actuelle (pourtant moins grave en terme de victimes que la grippe) par la plupart des gouvernements, comme on a pu le voir depuis le 24 février avec la liquidation massive en panique des positions longues de la part des détenteurs d’actions et d’indices boursiers US, européens et autres, qui les a fait plonger, dans un contexte macro-économique US pourtant plutôt favorable, la cassure du support sur le S&P500 vers 3.216 ayant confirmé leur changement de tendance à la baisse. L’absence de soutien des marchés d’actions, très inhabituelle dans une telle situation, de la part de la Fed et de la BCE a aussi exacerbé leur chute. Mais comme ces actifs sont très sur-vendus et que le mois de mars est saisonnièrement haussier, nous avons commencé à reprendre cette semaine -comme annoncé dans notre dernier commentaire- des positions longues modérées sur les marchés US seulement, étant donné que nous n’en avions heureusement presque plus en fin de semaine dernière avant le krach, en particulier via l’achat de calls sur le S&P500 et le Nasdaq (échéance mi-juillet 2020, afin de laisser suffisamment de temps aux marchés pour se reprendre, mais que l’on peut revendre avant), options que nous avons toutefois partiellement et temporairement protégées via l’achat d’ETFs short et ainsi limiter le risque pour le cas où leur chute se poursuivrait plus longtemps que prévu et déborderait sur le mois de mars. Une stratégie long/short adaptée à la haute volatilité actuelle des indices permettant de réaliser des gains indépendamment des tendances.
Le coronavirus chinois rend fous ceux qu’il ne tue pas, la « machine de la peur » s’étant généralisée du fait de la mauvaise gestion de la crise sanitaire actuelle (pourtant moins grave en terme de victimes que la grippe) par la plupart des gouvernements, comme on a pu le voir depuis le 24 février avec la liquidation massive en panique des positions longues de la part des détenteurs d’actions et d’indices boursiers US, européens et autres, qui les a fait plonger, dans un contexte macro-économique US pourtant plutôt favorable, la cassure du support sur le S&P500 vers 3.216 ayant confirmé leur changement de tendance à la baisse. L’absence de soutien des marchés d’actions, très inhabituelle dans une telle situation, de la part de la Fed et de la BCE a aussi exacerbé leur chute. Mais comme ces actifs sont très sur-vendus et que le mois de mars est saisonnièrement haussier, nous avons commencé à reprendre cette semaine -comme annoncé dans notre dernier commentaire- des positions longues modérées sur les marchés US seulement, étant donné que nous n’en avions heureusement presque plus en fin de semaine dernière avant le krach, en particulier via l’achat de calls sur le S&P500 et le Nasdaq (échéance mi-juillet 2020, afin de laisser suffisamment de temps aux marchés pour se reprendre, mais que l’on peut revendre avant), options que nous avons toutefois partiellement et temporairement protégées via l’achat d’ETFs short et ainsi limiter le risque pour le cas où leur chute se poursuivrait plus longtemps que prévu et déborderait sur le mois de mars. Une stratégie long/short adaptée à la haute volatilité actuelle des indices permettant de réaliser des gains indépendamment des tendances.
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La cassure des 3.216, correctement identifiée depuis un certain temps, a été fatale pour le S&P500 et l’ensemble des indices, mais vers 2.850 un très fort support a été atteint à partir duquel un rebond devrait intervenir en mars:
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Double top sur le VIX du S&P500 qui pourrait signaler la fin (temporaire ou durable ?) de la chute des actions US:
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En dépit de l’apparition d’un grand cygne noir, ni la Fed, ni la BCE n’ont soutenu les marchés.
Pire, la Fed a diminué depuis près de deux semaines ses injections de liquidités dans les systèmes bancaires US et international via ses Repos! Alors qu’il aurait fallu qu’elle les augmentent. D’où le retour de l’inversion de la courbe des taux que Powell est toujours incapable de maintenir positive. Quant à Lagarde de la BCE, dont l’institution occupée à tenter de sauver l’euro est à bout de souffle, elle n’a pas les compétences pour occuper son poste, alors que Draghi aurait en quelques mots stoppé le carnage.
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L’or et l’argent-métal, qui ne sont pas des instruments de protection en période de déflation et de dollar US fort, que nous avions déconseillé d’acheter, ont aussi plongé:
L’euro reste baissier et le dollar US reste haussier:
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Les taux d’intérêt US à dix ans ont probablement atteint leur plus bas possible à court terme vers 1,13% et devraient remonter, comme en 2012/2013 et en 2016/2017:
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Tant que le pétrole WTIC ne casse pas à la baisse les 42 / 44 USD le baril, il peut encore se reprendre:
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Le mois de février, qui est saisonnièrement baissier pour les actions et indices boursiers US, va faire place au mois de mars, qui est saisonnièrement haussier pour ces mêmes actifs:
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Le mois de février, qui est saisonnièrement haussier pour l’or et l’argent-métal, va faire place au mois de mars, qui est saisonnièrement baissier pour ces mêmes actifs:
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Le mois de février, qui est saisonnièrement baissier pour le dollar US, va faire place au mois de mars, qui est saisonnièrement haussier pour le billet vert:
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Il est trop tôt pour dire si l’épidémie actuelle sera limitée ou bien fera des millions de morts, c’est selon son niveau de rémission ou d’aggravation que les marchés financiers réagiront.
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Voir: Économie, pourquoi la peur du coronavirus est plus dangereuse que le coronavirus…
Tout ce qui vient ou est en train de se produire montre la nécessité urgente de repenser la mondialisation et le libre-échange anarchiques, de relocaliser la production des entreprises au plus près des lieux de consommation, de protéger les productions locales en particulier agricoles et stratégiques contre les prédateurs chinois et autres (il faut interdire Huawei en Occident), de mettre un terme aux mouvements migratoires incontrôlés et de rétablir des contrôles des personnes et des marchandises aux frontières, donc la souveraineté des États-nations (seuls espaces possibles de démocratie représentative), tout en prenant des mesures contre la surpopulation mondiale en élevant le niveau de vie de tous (les riches font moins d’enfants que les pauvres et les élèvent ou les soignent mieux); c’est-à-dire de faire le contraire des politiques de démantèlement des services publics menées par l’Union européenne de Merkel et Macron qui va dans le mur. Alors que Trump, lui, a compris qu’il fallait sur tous ces sujets PROTÉGER les USA et les Américains, sans aucunement limiter la croissance économique ainsi que le veulent les écologistes qui ont pour projet de ruiner tout le monde en particulier les plus pauvres.
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L’Europe est fichue, combien de porteurs du coronarovirus parmi ces émigrés que de toutes façons l’Europe n’a pas les moyens de prendre en charge?
La correction attendue sur les indices boursiers d’actions s’est bien produite le 18 février, comme annoncé dans notre dernier commentaire. Elle n’a initialement duré qu’un jour. En raison de l’optimisme des investisseurs quant à l’ampleur inégalée des mesures de relance monétaire et économique prises par la Banque centrale de Chine, pour tenter de contrer les effets récessionnistes du coronavirus dans ce pays, mesures qui créent un afflux mondial de liquidités faisant monter les prix de la plupart des actifs internationaux (sauf les monnaies autres que le dollar US, lequel émerge comme la monnaie refuge), les indices sont remontés le 19 février. Mais, dès le 20 février, la correction a repris devant l’évidence qu’il était vain de tenter de s’opposer à la saisonnalité baissière des indices boursiers d’actions à ce moment-là du cycle. De telle sorte que nous sommes -heureusement- restés avec nos engagements minimums sur ces marchés jusqu’à la fin de cette semaine. En revanche, nous augmenterons progressivement les positions haussières sur ces indices dès la semaine prochaine, du 24 au 28 février, en prévision d’un mois de mars positif pour les actions, comme exposé dans le présent commentaire. Quant au dollar US, il reste haussier contre la plupart des monnaies. C’est le moment qu’ont choisi l’or et l’argent-métal pour monter, sans doute en raison de la baisse des taux d’intérêt US qui se poursuit; mais il s’agit là-encore d’un phénomène saisonnier qui devrait se terminer fin février- début mars parce qu’il y a incompatibilité entre la hausse des indices boursiers et du dollar US et celle des métaux précieux. Nous en avons profité pour vendre les positions longues que nous avions prises sur l’argent.
La correction attendue sur les indices boursiers d’actions s’est bien produite le 18 février, comme annoncé dans notre dernier commentaire. Elle n’a initialement duré qu’un jour. En raison de l’optimisme des investisseurs quant à l’ampleur inégalée des mesures de relance monétaire et économique prises par la Banque centrale de Chine, pour tenter de contrer les effets récessionnistes du coronavirus dans ce pays, mesures qui créent un afflux mondial de liquidités faisant monter les prix de la plupart des actifs internationaux (sauf les monnaies autres que le dollar US, lequel émerge comme la monnaie refuge), les indices sont remontés le 19 février. Mais, dès le 20 février, la correction a repris devant l’évidence qu’il était vain de tenter de s’opposer à la saisonnalité baissière des indices boursiers d’actions à ce moment-là du cycle. De telle sorte que nous sommes -heureusement- restés avec nos engagements minimums sur ces marchés jusqu’à la fin de cette semaine. En revanche, nous augmenterons progressivement les positions haussières sur ces indices dès la semaine prochaine, du 24 au 28 février, en prévision d’un mois de mars positif pour les actions, comme exposé dans le présent commentaire. Quant au dollar US, il reste haussier contre la plupart des monnaies. C’est le moment qu’ont choisi l’or et l’argent-métal pour monter, sans doute en raison de la baisse des taux d’intérêt US qui se poursuit; mais il s’agit là-encore d’un phénomène saisonnier qui devrait se terminer fin février- début mars parce qu’il y a incompatibilité entre la hausse des indices boursiers et du dollar US et celle des métaux précieux. Nous en avons profité pour vendre les positions longues que nous avions prises sur l’argent.
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La plupart des investisseurs tentent de prévoir le présent et le futur à partir de raisonnements fumeux fantaisistes, alors qu’il faut se tourner vers le passé et regarder dans le rétroviseur, les marchés financiers suivant des cycles très identifiables, pour élaborer les meilleures prévisions possibles et se tromper moins que la plupart d’entre-eux.
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Après leur creux saisonnier de fin février, les indices boursiers US (et à un moindre degré européens), devraient fortement monter en mars. Idem pour le dollar US, ce qu’il a déjà commencé de faire, selon leur saisonnalité en année électorale aux USA.
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On restera en revanche à l’écart de tous les actifs asiatiques et/ou émergents qui sont négativement affectés par la chute de leurs monnaies et le risque économique d’extension de l’épidémie de coronavirus dans ces pays:
A noter que, à court terme, le S&P500 et plusieurs autres indices ont formé cette semaine un double bottom (à 3.328 pour le S&P500) et ont fini au dessus en clôture ce vendredi 21 février, ce qui ne signifie pas qu’ils ne peuvent pas aller plus bas mais qu’il y a un intérêt acheteur sur les niveaux actuels:
L’argent-métal, l’or et les actions des sociétés minières (indice HUI) sont haussiers en février mais baissiers en mars jusqu’en mai / juin. D’ailleurs, acheter de l’or ou de l’argent quand le dollar US/yen et le dollar US/franc suisse montent n’a pas beaucoup de sens:
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Les taux d’intérêt US ont rechuté cette semaine sur leurs plus bas de 2019, les investisseurs anticipant plusieurs baisses des taux courts par la Federal Reserve. Ce niveau 1,46% sur le taux à 10 ans semble incompressible dans la mesure où il n’a jamais été enfoncé depuis des années et ne correspond pas aux fondamentaux de l’économie US qui n’est aucunement en récession.
Les Earnings des sociétés US restent positifs, aucune raison de paniquer sur les actions US:
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La Fed dispose, plus que les autres banques centrales, de tous les moyens de relance monétaire aux USA, en termes de taille de son bilan (qui n’est que 19,10% du PIB US) et de réserves de change internationales en USD:
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Le marché anticipe 2 baisses des taux courts par la Fed cette année qui a confirmé qu’elle interviendrait en cas de besoin:
A noter que le prix du pétrole, qui constitue le meilleur baromètre de la récession ou de la reprise économique mondiale, est en en progression après son plus bas de février (ce qui est positif pour le dollar US, l’économie et les entreprises pétrolières US, les USA étant devenus le premier producteur mondial):
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Ce qui est aussi en ligne avec sa saisonnalité qui postule que, après un plus bas annuel en février, le pétrole remonte généralement jusqu’en septembre / octobre:
Pour finir, les Américains estiment que Trump devrait être réélu à la présidence en 2020, et que les Républicains devraient enfoncer les Démocrates, d’autant que les prestations de ses concurrents (Mike Bloomberg en particulier) sont de plus en plus pitoyables:
La perspective historique traditionnellement haussière des indices boursiers d’actions US en année électorale aux USA étant renforcée par les interventions de la Fed, de la Banque de Chine, et d’autres banques centrales, qui placent les marchés d’actions un peu partout sous perfusion financière massive afin d’éviter tout dérapage de leur côté, en particulier du fait du coronavirus chinois lequel reste imprévisible mais ne doit pas être exagéré, ne leur a pas encore permis de corriger; mais cette correction de mi-février devrait intervenir la semaine prochaine du 18 au 21. De telle sorte qu’il importe à notre avis de ne pas changer de stratégie haussière sur les actions US, tant que le support vers 3.216 sur le S&P500 tient bon en clôture (avec actuellement des positions longues faibles -à renforcer nettement entre le 24 et la fin février pas avant, correction ou pas-), au moins jusqu’à la mi-avril, le mois de mars s’annonçant comme très prometteur pour ces actifs qui éclipsent tous les autres. Et de s’arbitrer sur les monnaies contre le dollar US, qui est lui aussi en tendance haussière tout simplement parce que pour acheter les indices boursiers d’actions US il faut d’abord acheter le dollar US ce qui le soutient et parce que l’euro a de plus en plus de raisons structurelles et conjoncturelles de chuter.
La perspective historique traditionnellement haussière des indices boursiers d’actions US en année électorale aux USA étant renforcée par les interventions de la Fed, de la Banque de Chine, et d’autres banques centrales, qui placent les marchés d’actions un peu partout sous perfusion financière massive afin d’éviter tout dérapage de leur côté, en particulier du fait du coronavirus chinois lequel reste imprévisible mais ne doit pas être exagéré, ne leur a pas encore permis de corriger; mais cette correction de mi-février devrait intervenir la semaine prochaine du 18 au 21. De telle sorte qu’il importe à notre avis de ne pas changer de stratégie haussière sur les actions US, tant que le support vers 3.216 sur le S&P500 tient bon en clôture (avec actuellement des positions longues faibles -à renforcer nettement entre le 24 et la fin février pas avant, correction ou pas-), au moins jusqu’à la mi-avril, le mois de mars s’annonçant comme très prometteur pour ces actifs qui éclipsent tous les autres. Et de s’arbitrer sur les monnaies contre le dollar US, qui est lui aussi en tendance haussière tout simplement parce que pour acheter les indices boursiers d’actions US il faut d’abord acheter le dollar US ce qui le soutient et parce que l’euro a de plus en plus de raisons structurelles et conjoncturelles de chuter.
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Ce sont les injections massives de liquidités par les banques centrales, via leur Quantitative Easings qui se reflètent dans l’augmentation de leurs bilans, qui ont permis aux marchés boursiers d’actions de progresser depuis la crise de 2007 / 2009. Comme elles se poursuivent et s’accélèrent, les mêmes causes doivent produire les mêmes effets:
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Les politiques de Quantitative Easing ont aussi permis de faire baisser les taux d’intérêt à 10 ans et plus, allégeant ainsi la facture de la dette des États et stimulant les économies. Mais en Europe, comme en Suisse et au Japon, on est allé trop loin en pratiquant des taux courts et longs négatifs (alors que le taux US à dix ans est encore largement positif à 1,59% et le taux court US un peu inférieur), ce qui a détruit l’épargne populaire et les profits des banques lesquelles, pour subsister, ont besoin de taux positifs (même légèrement seulement), dans le but évident de pratiquer la dévaluation compétitive de leurs monnaies (d’où la chute de l’euro) à des fins commerciales.
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L’administration Trump vient de sanctionner la politique de dévaluation compétitive de la BCE en relevant les taxes sur les Airbus:
La Fed vient de promettre aux investisseurs, toujours avides de liquidités, de poursuivre l’augmentation de son bilan, surtout en cas d’épidémie de coronavirus:
La correction de mi-février devrait intervenir cette semaine du 18 au 21 (les marchés étant fermés aux USA le 17 -jour férié-), permettant alors d’accroitre à bon compte nettement les positions haussières sur les indices boursiers d’actions US à partir du 24 février, pas avant:
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Ainsi que le note John Murphy de StockCharts.com (site auquel nous recommandons de s’abonner) dans son commentaire du 14 février, les indices US sont « over-extended » d’où la correction de court terme qu’ils devraient subir:
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S&P 500 STILL LOOKS OVER-EXTENDED…My message from two weeks ago (February 1) argued that the stock market looked over-extended on the upside which left it vulnerable to some profit-taking resulting from the coronavisus. So far, stocks have been very resilient to that threat; especially with the three major U.S. stock indexes hitting new records this week. But those concerns about an over-extended market still remain.
Chart 5 is an updated version of the chart used in that earlier message which plots the S&P 500 Percent of Stocks Above 200-Day Moving Averages. The red horizontal trendline shows potential overhead resistance along that indicator’s highs formed between 2016 and 2018. In addition, values above 80% usually signal an over-extended market. So far, the pullback from that resistance line has been relatively mild. But the line is still there. Let’s take a closer look.
Chart 5
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Bull market en année électorale des indices boursiers:
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Idem sur le dollar US qui devrait accélérer sa hausse à partir du 24 février, en même temps que la baisse de l’euro devrait elle aussi s’accélérer:
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L’Europe est au plus mal: submersion migratoire incontrôlée, crise politique généralisée et économie en panne:
Il n’y a pas que les indices boursiers qui permettent de placer son capital disponible mais aussi certaines actions individuelles à trier sur le volet encore bon marché. Nous avons ainsi acheté cette semaine les actions de Novo Nordisk (une société pharmaceutique danoise cotée en US dollars sur le NYSE) dont la saisonnalité est fortement positive en février.
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Comme le relève Thomas Lee de Fundstrat, graphique à l’appui: « There is a massive global rotation into US equities. Aka: Not enough S&P 500 to go around ». Comme la masse des capitaux privés internationalement disponibles est de l’ordre de 300 trillions USD, la capitalisation du S&P500 par exemple n’étant que de 25 trillions USD, un déplacement même marginal du montant précité pourrait faire ultérieurement exploser le S&P500 à la hausse… Idem pour le Nasdaq US et à un moindre degré pour le DJIA US.
Le ratio actions / obligations continue de plaider pour l’achat des actions, pas pour l’achat des obligations:
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Les deux métaux précieux restent techniquement baissiers ainsi que l’ensemble du complexe métaux et actions des sociétés minières:
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08févr.
Du point de vue des marchés d’actions, on peut dire cyniquement que si le coronavirus chinois n’existait pas il aurait fallu l’inventer, c’est d’ailleurs ce qui s’est peut être passé dans les laboratoires en Chine ou ailleurs, tant « la fabrique de la peur » est efficace afin de les manipuler, via la mobilisation des banques centrales qui n’ont plus d’autre choix que de tout faire pour les soutenir. Et avec eux, manipuler aussi les opinions publiques et les mouvements sociaux, lesquels saisis par la panique cessent de s’opposer et peuvent donc être plus aisément contrôlés par les dirigeants. Idem pour le « réchauffement climatique », à propos duquel on trompe les gens sur son origine qui n’est pas liée à l’activité humaine mais cyclique, utilisé afin d’imposer un nouveau modèle économique et social de décroissance (« la transition climatique ou écologique ») défavorable pour la grande majorité des populations qui, n’ayant pas les moyens de s’y adapter, seront paupérisées et leur liberté d’expression sacrifiée. Nous avons le 6 février, pour le moment, pris les profits sur nos achats d’options calls sur le Nasdaq et le S&P500 (à leurs plus hauts) pour les racheter plus bas et progressivement acheter (en quantité modérée) des ETF moins volatils et moins chers sur ces mêmes indices et le Dow Jones des Industrielles (qui peuvent corriger mais restent haussiers tant que le support vers 3.216 sur le S&P500 tient bon en clôture). Nous restons acheteurs d’un peu d’argent-métal encore très bon marché, mais baissier sur les actions des sociétés minières, via des ETF ad hoc, du fait de la déflation mondiale qui s’aggrave d’où la baisse de l’or (beaucoup de ceux qui en détiennent, en particulier en Asie, ayant besoin de le vendre pour faire du cash), du cuivre, du pétrole et autres matières premières qu’il importe à notre avis, dans un contexte de dollar US fort et qui va le rester durablement en 2020 (d’où notre arbitrage des monnaies contre le billet vert), d’éviter tant leur offre excède leur demande. Le boom de l’économie US, redressée par Trump qui devrait être réélu président en novembre, implique que les actifs US (actions et monnaie de ce pays) sont ceux qui offrent les meilleures perspectives de protection et de placement.
Du point de vue des marchés d’actions, on peut dire cyniquement que si le coronavirus chinois n’existait pas il aurait fallu l’inventer, c’est d’ailleurs ce qui s’est peut être passé dans les laboratoires en Chine ou ailleurs, tant « la fabrique de la peur » est efficace afin de les manipuler, via la mobilisation des banques centrales qui n’ont plus d’autre choix que de tout faire pour les soutenir. Et avec eux manipuler aussi les opinions publiques et les mouvements sociaux, lesquels saisis par la panique cessent de s’opposer et peuvent donc être plus aisément contrôlés par les dirigeants.
Idem pour le « réchauffement climatique », à propos duquel on trompe les gens sur son origine qui n’est pas liée à l’activité humaine mais cyclique, utilisé afin d’imposer un nouveau modèle économique et social de décroissance (« la transition climatique ou écologique ») défavorable pour la grande majorité des populations qui, n’ayant pas les moyens de s’y adapter, seront paupérisées et leur liberté d’expression sacrifiée.
Nous avons le 6 février, pour le moment, pris les profits sur nos achats d’options calls sur le Nasdaq et le S&P500 (à leurs plus hauts) pour les racheter plus bas et progressivement acheter (en quantité modérée) des ETF moins volatils et moins chers sur ces mêmes indices et le Dow Jones des Industrielles (qui peuvent corriger mais restent haussiers tant que le support vers 3.216 sur le S&P500 tient bon en clôture).
Nous restons acheteurs d’un peu d’argent-métal encore très bon marché, mais baissier sur les actions des sociétés minières, via des ETF ad hoc, du fait de la déflation mondiale qui s’aggrave d’où la baisse de l’or (beaucoup de ceux qui en détiennent, en particulier en Asie, ayant besoin de le vendre pour faire du cash), du cuivre, du pétrole et autres matières premières qu’il importe à notre avis, dans un contexte de dollar US fort et qui va le rester durablement en 2020 (d’où notre arbitrage des monnaies contre le billet vert), d’éviter tant leur offre excède leur demande.
Le boom de l’économie US, redressée par Trump qui devrait être réélu président en novembre, implique que les actifs US (actions et monnaie de ce pays) sont ceux qui offrent les meilleures perspectives de protection et de placement.
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Voir: Coronavirus avec Charles gave : « La fabrique de la peur pour garder la caste dominante au pouvoir »
Les opérations de création monétaire massive des banques centrales US et chinoise, pour répondre aux crises du Repo interbancaire US et du coronavirus chinois, comme attendu, font monter les marchés d’actions et le dollar US pendant que les matières premières baissent:
Les indices boursiers US ont regagné tout ce qu’ils avaient perdu lors de la panique suivant l’annonce du coronavirus les 24/27 janvier qui avait effacé toute leur hausse depuis le début de 2020. Ils se trouvent plus moins à un double top, devraient corriger puis repartir à la hausse.
Le VIX du S&P500 repart à la baisse, ce qui est haussier pour les indices boursiers US:
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Tout cela coïncide avec le renforcement de la position politique de Trump, qui vient d’être blanchi dans son procès en destitution devant le Sénat, marque des points décisifs contre ses pitoyables adversaires démocrates et enregistre de bons résultats économiques:
Quand « les routes de la soie » se transforment en autoroutes du coronavirus chinois, les marchés boursiers, qui surestiment l’importance de la Chine dans l’économie mondiale et sa croissance réelle, deviennent fous, l’émotion prenant le pas sur la raison, ainsi qu’on a pu le constater le lundi 27 janvier 2020 et les jours suivants avec leur chute irrationnelle effaçant pour beaucoup d’entre-eux tous leurs gains de 2020. Pour le moment, nous ne changeons rien à notre stratégie d’achat modéré d’options calls juin 2020 sur le Nasdaq US (riche en actions technologiques monopolistiques US -FAANGs et autres- qui viennent de publier leurs meilleurs résultats historiques) surtout, dont le sommet final est loin d’avoir été atteint, et d’achat modéré de calls juillet 2020 sur le S&P500 accessoirement, leur puissant redémarrage à tous les deux devant se produire dès la mi-février au plus tard, avec d’ici là des mouvements plutôt erratiques. Nous sommes sortis de nos arbitrages des monnaies européennes contre le dollar US, qui semble en mesure de corriger un peu à la baisse. Évidemment, tout achat de matière première, comme le pétrole ou le cuivre ou d’actions des sociétés de ces secteurs, est, à notre avis, à éviter dans le contexte actuel renforcé de déflation mondiale et de chute de la demande chinoise et émergente de ces produits, même si l’or et l’argent-métal (qui n’ont pas fait grand chose mais nous avons acheté un peu de ce dernier) pourraient remonter temporairement du fait de la psychose qui a saisi les investisseurs.
Quand « les routes de la soie » se transforment en autoroutes du coronavirus chinois, les marchés boursiers, qui surestiment l’importance de la Chine dans l’économie mondiale et sa croissance réelle, deviennent fous, l’émotion prenant le pas sur la raison, ainsi qu’on a pu le constater le lundi 27 janvier 2020 et les jours suivants avec leur chute irrationnelle effaçant pour beaucoup d’entre-eux tous leurs gains de 2020. Pour le moment, nous ne changeons rien à notre stratégie d’achat modéré d’options calls juin 2020 sur le Nasdaq US (riche en actions technologiques monopolistiques US -FAANGs et autres- qui viennent de publier leurs meilleurs résultats historiques) surtout, dont le sommet final est loin d’avoir été atteint, et d’achat modéré de calls juillet 2020 sur le S&P500 accessoirement, leur puissant redémarrage à tous les deux devant se produire dès la mi-février au plus tard, avec d’ici là des mouvements plutôt erratiques. Nous sommes sortis de nos arbitrages des monnaies européennes contre le dollar US, qui semble en mesure de corriger un peu à la baisse. Évidemment, tout achat de matière première, comme le pétrole ou le cuivre ou d’actions des sociétés de ces secteurs, est, à notre avis, à éviter dans le contexte actuel renforcé de déflation mondiale et de chute de la demande chinoise et émergente de ces produits, même si l’or et l’argent-métal (qui n’ont pas fait grand chose mais nous avons acheté un peu de ce dernier) pourraient remonter temporairement du fait de la psychose qui a saisi les investisseurs.
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L’argent pourrait remonter en direction des 19,75 USD si la crise sanitaire du coronavirus s’aggravait:
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L’or et l’argent sont pour le moment neutres:
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Selon les graphiques de Rambus Chartology, le « complexe métaux précieux » reste neutre à baissier:
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Le point bas saisonnier des marchés boursiers US que nous attendions pour le 24 janvier s’est finalement produit le jour de bourse suivant le 27 janvier, en raison de l’hystérie déclenchée par le coronavirus chinois, puis ils sont repartis à la hausse le 30 janvier, date de la capitulation des investisseurs sur les bourses asiatiques et émergentes, pour finalement rechuter fortement le 31 janvier, en dépit des profits historiques enregistrés par les FAANGs, avec la décision de Trump de limiter voire d’interdire l’accès du territoire US à plusieurs catégories de personnes risquant d’être contaminées. Nous n’avons rien changé à nos positions haussières modérées sur le Nasdaq via l’achat de calls échéance juin 2020 principalement et d’achat de calls échéance juillet 2020 sur le S&P500 accessoirement, effectués tout récemment les 23, 24 et 30 janvier.
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Les FAANG’s vivent déjà l’ère des robots, elles peuvent se passer de leurs employés chinois:
Évidemment, ce sont les marchés d’actions chinois, asiatiques et émergents (sur lesquels nous n’avons pas de position) en baisse depuis deux semaines qui sont les pires:
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L’analyste de BNP Paribas ne voit pas le Nasdaq ni le S&P500 baisser beaucoup plus tant que le support sur le S&P 500 à 3.216 tient:
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Voir: IMPORTANT, LA PRESSION BAISSIÈRE S’INTENSIFIE – 100% Marchés Daily – 31 Janvier 2020 –
La panique provoquée par le coronavirus chinois n’a pas lieu de se produire avec autant d’intensité dans la mesure où la simple grippe fait bien plus de victimes un peu partout sans que tout le monde s’affole.
Et que les Chinois vivent traditionnellement dans des conditions très précaires de salubrité et d’hygiène, comme s’alimentent avec toutes sortes d’animaux malades (la récente épidémie porcine a nécessité l’abattage de millions de porcs, idem pour les volailles contaminées élevées en batteries provoquant des fièvres aviaires mortelles récurrentes). Ce qui est nouveau, actuellement, c’est que le pouvoir politique communiste monte toute cette histoire en épingles, vraisemblablement pour tenter de « redorer son blason » vis-à-vis de ses ressortissants et de l’étranger en montrant qu’il est efficace et qu’il se soucie du bien public (ce qui est faux dans les deux cas). Il y a de la manipulation derrière toute cette histoire. Sous une forme ou sous une autre, la Chine surendettée demandera quelques avantages en faisant état de cette situation sanitaire déplorable pour éviter de payer ses dettes, comme essayera de s’exonérer de ses obligations contractées dans le cadre de l’accord commercial tout juste signé avec les USA. Cette épidémie c’est un peu comme le réchauffement climatique, on part d’une situation réelle puis on en tire des conclusions erronées aux fins de tromper les opinions publiques et de soutenir des options idéologiques (la décroissance) ou des intérêts particuliers, faute d’avoir analysé correctement les causes effectives du phénomène.
Selon de bons spécialistes, tant que le virus ne se propage pas vraiment en Inde et en Afrique, dans des pays à fortes populations dont les moyens sanitaires et médicaux sont quasi inexistants, mais reste dans des pays qui peuvent le contrôler, il faut garder son sang froid.
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Une arme bactériologique?
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Graves accusations: Il semblerait que le coronavirus chinois actuel ait été sciemment fabriqué… Reste à savoir par qui? Pourquoi?
Tout cela étant une nouvelle illustration des dangers de la libre-circulation incontrôlée des populations, des migrations et des délocalisations massives; ce devrait être pour l’Europe et les USA l’occasion de revenir à des politiques nationales sur ces sujets et de se protéger des dangers que représente la Chine en interdisant Huawei, en rapatriant le plus possible leurs productions industrielles chez eux, le meilleur moyen d’être « écologique » étant de fabriquer chez soi au plus près de ses consommateurs.
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Voir: Avant même le coronavirus, Chine, les incidents et signes de panne s’accumulent, Xerfi Canal
A ce propos, les Suisses vont avoir l’occasion de se prononcer sur ces sujets via l’initiative de l’UDC qu’il importe qu’ils adoptent s’ils veulent maintenir la souveraineté et la sécurité de la Suisse.
Si l’on rajoute au problème du coronavirus chinois, le Brexit qui entre en vigueur avec des conséquences très négatives pour l’UE, et la procédure de tentative démocrate d’impeachment contre Trump, dont il faut espérer qu’il pourra se sortir sans trop de dommages, on comprend la nervosité générale des marchés financiers.
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Le Royaume-Uni va bien, il s’est libéré du poids mort de L’UE:
L’Union européenne, France, Italie et Allemagne surtout (alors que l’Espagne, le Portugal et la Grèce respirent), va de plus en plus mal et s’enferme dans une mauvaise stratégie, son modèle est épuisé:
Mais, la Federal Reserve US étant contrainte de créer une masse de liquidités exponentielle pour éviter toute nouvelle crise du Repo interbancaire, l’alimentation monétaire des bourses (US principalement) devrait rester suffisante pour entretenir leur progression actuelle et future jusqu’en fin 2020, d’autant que les profits des entreprises volent, dans le cas des technologiques, de records en records sans pour le moment permettre à leurs actions de décoller vraiment puis de se maintenir à la hausse.
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Il faut que la Fed baisse au plus vite son taux directeur à nouveau et accroisse son QE.
Ce que dit maintenant la saisonnalité c’est que, d’ici mi février, il peut (mais ce n’est pas certain du tout) y avoir une nouvelle attaque à la baisse (avec un nouvel accès de faiblesse des marchés d’actions US et européens vers le 8 ou 9 février), le dernier top de janvier étant difficile à franchir du premier coup. Puis de mi février à mi avril, en cette année 2020 d’élection présidentielle US, une forte accélération de la hausse des indices boursiers US (et, à un moindre degré, européens plus heurtés avec plusieurs « trous d’air » intermédiaires à venir quant à eux) devrait avoir lieu:
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Objectif du Nasdaq Composite, selon la méthode de Fibonacci, pour courant 2020: 10.497
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Indépendamment des actions US, le dollar US devrait monter puissamment en 2020, à partir de la mi février surtout, pendant que l’or baisserait, à partir de la mi févier aussi.
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Rambus reste haussier sur le US Dollar qui a corrigé mais demeure fort:
Conclusion: ce n’est, en principe, qu’à partir de mi février que les actions US et le dollar US monteront vraiment et que l’or et les métaux précieux chuteront sensiblement. D’ici là rester le moins engagé possible en actions et obligations avec seulement quelques achats d’options calls sur les indices US et un peu d’argent-métal.