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02févr.
Les investisseurs jouent encore à se faire peur, alors que le relatif brouillard actuel est bien préférable à l’euphorie qui avait mené à la catastrophe boursière de 2018, mais surtout que la Federal Reserve de Powell ayant capitulé un boulevard s’est ouvert pour les actions et les indices boursiers US.
Les investisseurs jouent encore à se faire peur, alors que le relatif brouillard actuel est bien préférable à l’euphorie qui avait mené à la catastrophe boursière de 2018, mais surtout que la Federal Reserve de Powell ayant capitulé un boulevard s’est ouvert pour les actions et les indices boursiers US.
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Les indicatifs techniques sont positifs pour les actions et les indices boursiers US:
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The U.S. stock market is setting up to gain more than 15% from here in 2019:
C’est la politique monétaire absurdement rigide de la Federal Reserve de Powell, alors qu’il n’y a aucun risque inflationniste ni aux USA ni dans le reste du monde, de hausse des taux taux d’intérêt US à court terme conduisant à l’inversion de la courbe des taux dans ce pays et de réduction exagérée de son bilan conduisant à un assèchement des liquidités, qui avait provoqué l’accident boursier de 2018; c’est encore elle qui déterminera la tendance des marchés financiers en 2019 un peu partout. Et non pas les tensions commerciales ou le rythme de diminution de la croissance économique, dont l’impact est relativement secondaire sur les marchés financiers, leur déconnexion avec les économies réelles n’étant plus à démontrer étant donné le caractère moutonnier des investisseurs.
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« Je préfère le brouillard actuel que l’optimisme béat d’il y a un an ! » Didier Saint-Georges
Comme le montre le graphique ci-dessous, les marchés d’actions US restent les marchés leaders, bien diversifiés et ultra liquides et les seuls encore durablement orientés à la hausse (d’où l’inutilité de traiter les autres marchés d’actions étrangers -sauf rares exceptions- qui ne sont que des marchés suiveurs à faible capitalisation boursière, trop spécialisés dans un secteur déterminé et souvent peu liquides; le prétexte de recourir à une diversification internationale des actions dans les portefeuilles étant une blague qui ne tient pas. Parce que quand Wall Street s’enrhume, toutes les autres bourses d’actions -à des degrés divers- attrapent une pneumonie…). La seule gestion qui vale, c’est la gestion active long + short sur les actions US et indices boursiers US (en particulier via l’achat d’options calls ou puts et d’ETF) que nous pratiquons. Ce qui ne garantit évidemment pas qu’elle soit toujours gagnante; mais l’expérience démontre qu’elle reste la plus porteuse de gains et la moins risquée.
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A aucun moment l’indice S&P500 des actions US n’a cassé sa tendance haussière depuis 2008:
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La croissance économique US continue de créer des emplois:
Quant aux gens (souvent les mêmes que ceux qui préconisent l’achat majoritaire ou exclusif d’actions non américaines) qui expliquent que le dollar US va perdre son statut de monnaie internationale dominante au profit du yuan chinois, du rouble russe, du yen japonais, de l’euro ou du Bitcoin, voire même de l’or, ce sont des doux rêveurs qui perdent leur argent à investir dans des actifs monétaires illusoires. L’or a eu son heure de gloire, elle est passée (même si les achats massifs des banques centrales chinoise ou russe évitent qu’il ne s’effondre) et que l’on peut toujours en détenir modérément sous forme physique (pièces) comme assurance. Quant au dollar US, il peut évidement varier à la hausse ou à baisse mais son statut dominant depuis quelques années devenu inattaquable !!! D’ailleurs, si le dollar US rebaissait ce serait tout bénéfice pour les actions US et pénaliserait un peu plus les actions étrangères non US.
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le US Dollar reste haussier et l’euro/dollar Us reste baissier:
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Pour le moment, c’est l’euro et la zone euro qui sont au plus mal…
L’Union européenne va dans le mur ou dans l’iceberg, comme on voudra… Les Anglais au lieu de tergiverser devait en sortir au plus vite… Ne pas acheter d’actions ou d’obligations européennes, attendre encore pour acheter des actions anglaises.
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Macron, le pire président de la République française, à l’égo aussi démesuré que son inadaptation radicale à occuper la fonction qu’il exerce, reste empêtré dans ses affaires de sexe et d’argent douteuses:
Laquelle a récemment tout fait pour provoquer une récession économique aux USA, obéissant en cela aux grands banquiers US qui rêvent de voir les marchés d’actions s’effondrer pour alors faire le plein en les achetant à très bas prix, tout en se débarrassant de Trump, le populiste patriote protectionniste anti-mondialisation, dont ils haïssent la personne et la politique. Ainsi que le patron de JPMorgan Jamie Dimon et les « Maitres du Monde » à Davos l’ont souhaité récemment…
Il n’y a rien de plus urgent que de laisser les taux d’intérêt varier en fonction de la loi de l’offre et de la demande en coupant le lien entre les banques centrales et le prix du crédit, l’étalon-or ne pouvant plus être rétabli (entre autres raisons parce qu’il ne permettrait pas de créer suffisamment de liquidités pour financer les montagnes de dettes et aussi parce que toute banque centrale instaurant la libre convertibilité de sa monnaie en or perdrait en un clin d’œil tout son stock d’or suite aux demandes de conversion en or des détenteurs de sa monnaie de papier, puis ferait faillite); d’autant que le dernier qui a essayé de rétablir l’étalon-or, le président John F. Kennedy, a été assassiné pour éviter qu’il n’aille au bout de son projet…
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Important: A Voir: L’or : une valeur incertaine aujourd’hui – Charles GAVE
Notre constat, juste en 2008, a depuis été dépassé par la mondialisation financière et l’émission correspondante de montagnes de dettes qui empêchent de revenir à « l’orthodoxie » monétaire classique:
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« On ne peut pas comprendre la débâcle actuelle des marchés du crédit, en particulier de la dette titrisée (dans le sillage des pertes affectant les prêts immobiliers américains dits subprime) que l’ensemble des banques privées internationales se sont repassée – avec les conséquences financières désastreuses que l’on appréhende à peine -, sans retracer la dérive du Système monétaire international, depuis l’abandon progressif de l’étalon-or, jusqu’à sa propre destruction aujourd’hui. C’est à cette analyse passionnante que Pierre Leconte se livre dans cet ouvrage facile à lire et amplement documenté.
Les «politiques monétaires» irrationnelles conduites par les banques centrales qui agissent comme des faux-monnayeurs, sont la source de la grande crise monétaire du XXIe siècle qui a déjà commencé ! C’est leur incapacité structurelle à organiser les conditions-cadres d’une mondialisation libérale, puis à la réguler, qui explique la plupart des dérives du système financier. C’est la raison pour laquelle il faut en tirer toutes les conséquences, c’est à dire purement et simplement supprimer ces mammouths dont les pratiques laxistes et collectivistes ont échoué !
Les remèdes existent, en effet, pour mettre un terme au chaos monétaire et financier actuel : rétablissement des taux de changes fixes autour de l’étalon-or pour les monnaies étatiques actuelles, et mise en œuvre parallèle de la liberté de création monétaire permettant d’introduire une saine concurrence entre toutes les monnaies (publiques et privées), de nature à offrir à leurs utilisateurs – que nous sommes tous – la possibilité de sélectionner la meilleure possible. C’est par l’application des principes du libéralisme authentique que l’on sortira de la crise. Encore faut-il ne pas le caricaturer, mais comprendre en quoi il consiste et diffère du «capitalisme fou» – une explication salutaire que l’on trouvera aussi dans ce livre.
Si les États ne procèdent pas à la réforme urgente du Système monétaire international après son effondrement aux conséquences financières, économiques, sociales et politiques incalculables, ce sont les acteurs des marchés qui la décideront. Ils imposent déjà l’or et les autres métaux précieux comme la seule valeur réelle de réserve en face du dollar qui s’effondre, et de l’euro surévalué qui suivra, à terme, le même chemin. Il faut sortir de l’impasse actuelle pour éviter qu’une deuxième crise de 1929 nous ruine presque tous ! »
Économiste, fondateur d’une société financière en Suisse, Pierre Leconte a été membre des bourses des marchés à terme de Londres et de New York, puis conseiller d’une banque de développement et d’une banque centrale sud-américaines. Il est le fondateur et l’animateur du « Forum monétaire de Genève pour la paix et le développement ».
Il n’y a plus, maintenant que l’option de l’instauration de l’étalon-or est devenue impraticable, d’autre solution que le maintien des -ou le retour aux- monnaies nationales (le franc suisse par exemple se révélant beaucoup plus stable que les monnaies multinationales comme l’euro), les cryptomonnaies ayant aussi échoué.
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Powell a finalement changé récemment d’avis quant à la politique monétaire US en repoussant à plus tard voire à jamais hausse des taux et réduction du bilan, montrant en cela qu’il était allé trop loin et qu’il ne peut s’abstraire des demandes des investisseurs, redevenant ainsi « market dependent », ce qui a déjà eu un effet bénéfique sur les actions US qui, comme nous l’attendions sont montées, d’autant que plusieurs entreprises ont publié de bons résultats. Donc, pas de changement dans la gestion actuelle de nos portefeuilles dans le sens de la hausse des actions et indices US, en particulier via l’achat d’options calls:
Nous avons bien fait de rajouter à l’achat dans nos portefeuilles la semaine dernière Apple et plusieurs autres actions, que nous avons déjà sorties ou allégées tant leurs gains ont été rapides; nous venons en revanche d’acheter FedEx qu’Amazon pourrait chercher à acquérir selon plusieurs analystes et dont le cours alors monterait fortement:
On notera que les spéculateurs sont en train d’utiliser la reprise de l’or pour acheter des puts (baissiers) sur cet actif et sur les actions des sociétés minières, sur lesquels pour notre part nous restons neutre (ayant vendu la semaine dernière nos achats de Dust) parce qu’ils n’ont pas encore franchi leurs résistances:
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26janv.
En dépit du discours intentionnellement catastrophiste des « Maitres du Monde » à Davos et de multiples fausses nouvelles mais aussi de manipulations politiques et des marchés financiers visant à abattre Trump, via le krach des actions US qui lui serait probablement fatal mais offrirait de très bons niveaux d’achat aux « Maitres du Monde » précités; les actions US ont cette semaine encore légèrement progressé (et sur performé toutes les autres) mais avec toujours une forte volatilité quotidienne…
En dépit du discours intentionnellement catastrophiste des « Maitres du Monde » à Davos et de multiples fausses nouvelles mais aussi de manipulations politiques et des marchés financiers visant à abattre Trump, via le krach des actions US qui lui serait probablement fatal mais offrirait de très bons niveaux d’achat aux « Maitres du Monde » précités; les actions US ont cette semaine encore légèrement progressé (et sur performé toutes les autres) mais avec toujours une forte volatilité quotidienne…
Trump poursuit sa tentative de contraindre la Chine à accepter la réduction de son excédent commercial énorme vis-à-vis des USA et de se conformer à une éthique des relations internationales minimale; il tente de dompter le dragon…
Les statistiques européennes montrent que les économies de l’Union européenne et de l’Allemagne continuent de se dégrader fortement… Ne pas traiter les actions ou les obligations européennes; quant à l’euro/dollar US, il a atteint cette semaine un nouveau plus bas un peu en dessous de 1,13 pour clôturer 1,1369 et reste baissier.
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Le fiasco de la BCE de Mario Draghi est complet: après des années de taux d’intérêt négatifs et d’injections massives de liquidés, l’économie européenne est de plus en plus faible et la BCE n’a plus de munitions…
La politique de rigueur de Merkel tue la croissance allemande alors qu’elle dispose de la manne financière pour la relancer (et l’Union européenne avec):
Theresa May, qui continue de saboter le Brexit, dont elle n’a jamais voulu, n’est pas meilleure que le calamiteux Macron, qui au lieu de faire vivre le génie de la France s’obstine à la faire disparaitre dans l’Europe mondialisée :
Les indices boursiers des pays sud-américains (et émergents), pas encore à acheter, se redressent toutefois dans le sillage du Bovespa brésilien…
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Les banques centrales poursuivent sans le dire leurs injections de liquidités sauf la Federal Reserve US, hostile à Trump, qui reste encore en position neutre…
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L’arrêt de la réduction du bilan de la Fed serait positif pour les actions US:
Aux USA, l’administration Trump continue de faire l’objet de nombreuses « Fake News » de la part des médias et des Démocrates, mais surtout d’une « chasse aux sorcières » de la part du FBI qui s’érige en police politique…
Le shutdown est temporairement stoppé par Trump aux USA jusqu’à ce que les Démocrates fassent un geste pour accepter le financement du mur avec le Mexique
Supplément à notre dernier commentaire du 19 janvier 2019
L’impressionnante amélioration du crédit pour les entreprises US (que montre la hausse de l’indice HYG) justifie pleinement la hausse des indices boursiers des USA (lesquels peuvent évidemment corriger à la baisse temporairement mais doivent faire l’objet d’une stratégie BUY ON DIPS au moins jusqu’en mai 2019).
Les indices boursiers des pays émergents sont proches de casser leur résistance à la hausse (vers 79,60 sur l’EDC), ce qui permettrait alors de les acheter aux côtés des indices boursiers US:
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En revanche, les indices boursiers européens désertés n’offrent toujours pas d’opportunité d’achat, leur résistance vers 368 / 373 sur le Stoxx 600 étant encore très éloignée et peu susceptible d’être franchie prochainement:
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Lire une bonne analyse: les actions européennes sont désertées
Il est d’autre part pris, avec ses collaborateurs officieux ou officiels, dans plusieurs affaires financières douteuses qui ne vont pas améliorer son image. De telle sorte que l’on peut douter de sa capacité à sortir la France, république bananière, de l’impasse
Le dysfonctionnement des institutions politiques est général mais c’est dans l’Union européenne, et particulièrement en France, devenues des systèmes radicalement anti-démocratiques et anti-sociaux, qu’il est le pire; d’où les piètres résultats en matière de croissance économique et les révoltes populaires
Le dysfonctionnement des institutions politiques est général mais c’est dans l’Union européenne, et particulièrement en France, devenues des systèmes radicalement anti-démocratiques et anti-sociaux, qu’il est le pire; d’où les piètres résultats en matière de croissance économique et les révoltes populaires.
Les raisons de l’impasse française: un système politique national devenu anti-démocratique empêchant toute expression des opinions et l’intégration dans l’euro et l’Union européenne tuant la croissance économique de ce pays, ce qui se terminera par une explosion politico-économico-monétaire de la France.
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Vidéo à lire absolument: Le début de la fin pour l’UE
Constats que nous faisions déjà en 2004 dans notre livre: Le grand échec européen, et dans notre livre collectif écrit avec nos amis: La tragédie européenne et la France.
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Ce que nous écrivions alors:
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« De l’Acte Unique à la Constitution proposée aujourd’hui en passant par Maastricht, Amsterdam et Nice, l’Europe aura connu cinq textes, traités ou constitutions en vingt ans. Cette fuite en avant s’accélère parce qu’il est indispensable de masquer l’échec d’une construction anti-démocratique, inefficace et historiquement dépassée. Non seulement l’Europe de Bruxelles n’assure aux peuples qu’elle prétend régenter, ni la prospérité, ni la sécurité, ni la liberté, mais encore elle est devenue pour eux et, pour la France en particulier, le principal obstacle à l’élaboration comme à la mise en uvre des décisions salvatrices indispensables. Un élargissement irréfléchi, l’arrivée programmée, sauf coup d’arrêt, de la Turquie, vont précipiter les conséquences dramatiques déjà largement engagées de l’échec de l’Euro cumulé avec l’ouverture totale et inconsidérée des frontières commerciales : croissance impossible, chômage de masse et déficits incontrôlables. La vérité, c’est que l’Union européenne n’est ni une zone monétaire optimale, ni une zone politique optimale, ni rien du tout d’optimal d’ailleurs. La grande dimension n’est plus ce qu’elle était, la révolution de l’information et la compétition mondiale pour l’efficacité condamnent au déclin toute structure fédérale de l’Europe. Les nouvelles conditions de la croissance économique favorisent les petits États et affaiblissent les grands ensembles… d’autant plus lorsqu’ils sont incohérents. Ainsi, le projet de Constitution fédérale de l’Europe apparaît comme une énorme erreur stratégique parce qu’elle cumule impuissance, inefficacité et irresponsabilité. Cette construction de plus en plus instable et aventurée est-elle réformable ? L’auteur ne le pense pas. Pour lui, seul un électrochoc électoral contraindra une classe politique aveuglée à retourner au réel. Il montre pourquoi la France dispose encore de beaucoup d’atouts. Encore faut-il vouloir s’en servir et en avoir la liberté. C’est cette liberté que les Français retrouveront, pour peu qu’ils le veuillent, en votant » NON » pour en finir avec le grand échec européen. »
On comprendra donc que nous nous abstenions de traiter les actions ou obligations françaises et européennes et que nous pensions que l’euro va chuter. D’où la hausse continue du dollar US et la baisse de l’or et de l’argent-métal (mais aussi des actions des sociétés minières).
La cassure à la baisse des 1,13 sur l’euro/dollar US devrait entrainer une panique à la baisse de la monnaie européenne:
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Nous restons acheteur des indices boursiers US, via l’achat d’options calls et d’ETF, dont les résistances (qui seront difficile à franchir du premier coup selon John Murphy) se rapprochent, de telle sorte que nous réduisons temporairement nos positions longues pour faire du cash et pouvoir racheter plus sur toute correction :
Le président Trump fait un travail magnifique: non seulement il a convaincu la Federal Reserve de ne pas aller plus loin dans son resserrement monétaire mais encore il est en train de gagner la « guerre commerciale » des USA contre la Chine. Il lui restera à en engager une autre ensuite contre l’Allemagne et l’Union européenne… D’où la hausse des actions US et du dollar US.
Le procureur Mueller affirme que les allégations explosives contre Donald Trump colportées par ses adversaires politiques et par les médias sont « inexactes »
L’Union européenne restant à l’agonie et, en son sein, la France étant entrée en guerre civile; il faut se dégager le plus possible de leurs actifs financiers…
L’Union européenne restant à l’agonie et, en son sein, la France étant entrée en guerre civile; il faut se dégager le plus possible de leurs actifs financiers…
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L’écrivain Michel Houellebecq écrivait récemment « L’Europe est une idée stupide » qui tue les Nations, les identités culturelles, les économies nationales, etc. dont il faut tout faire pour sortir parce ce qu’elle n’est pas réformable. De telle sorte que tous les politiciens français de gauche ou de droite, de Macron à Wauquiez, de Mélenchon à Marine Le Pen ou à Dupont-Aignan, qui promettent de la changer (dans un sens ou dans un autre) mentent. Le seul politicien qui dit la vérité en France c’est François Asselineau de l’UPR en préconisant le Frexit, la sortie de l’OTAN et de l’euro, une monnaie structurellement inadaptée accroissant les disparités nationales au sein de la supposée « Union », pilotée par une banque centrale supranationale hors sol impuissante, parce que prenant place dans une zone non optimale.
Macron, un technocrate provocateur, qui insulte en permanence ses concitoyens, coupé des réalités, sans aucune expérience politique, valet de la Commission européenne et de quelques lobbies qui l’ont chargé d’ « adapter » la France et les Français à la mondialisation sauvage, poursuit ses manipulations en organisant un « grand débat », dont la plupart des sujets qui intéressent le peuple français seront exclus, qu’il compte traduire par un référendum au même moment que les élections européennes de mai 2019 pour en atténuer le fiasco qui consacrera sa défaite. Alors qu’ayant perdu sa fragile légitimé (il n’a été élu que par 12% des inscrits au 1er tour de la présidentielle de 2017 et que par 24% au second tour) il devrait démissionner tout de suite puis se représenter à une nouvelle présidentielle afin de vérifier que son projet est accepté par le peuple, ou bien dissoudre l’Assemblée nationale après avoir établi la proportionnelle intégrale et ainsi obtenir une représentation nationale démocratique conforme aux choix des Français.
Macron avec son comportement de voyou homosexuel, qu’il tente de cacher par un mariage de convenance avec Brigitte qui pourrait être sa grand mère, insupporte les Français parce qu’il abaisse la France:
Alors que l’Union européenne exalte le libre-échange sauvage mondialisé et l’immigration sans limite, qui conduisent à son effondrement économique via sa désindustrialisation et la disparition de son agriculture de qualité traditionnelle, au saccage de l’environnement, à des millions de chômeurs et à l’extension du paupérisme, tout comme le multiculturalisme, qui conduit à effacement de son identité chrétienne, au Grand Remplacement, et au terrorisme islamiste; il n’y a plus de démocratie ni de progrès économique ou social possible dans ce Système totalitaire « en pilotage automatique » que plus personne ne contrôle sauf des intérêts économiques et financiers multinationaux apatrides.
L’Union européenne, internationaliste alors que le désordre mondial s’accroit, évolue à contre sens des USA qui redeviennent isolationnistes et des BRICs qui restent nationalistes, d’où l’impasse géopolitique et économique dans laquelle elle se trouve:
Les USA, qui sont en train de régler quelques uns de leurs différents avec la Chine, vont bientôt se retourner vers l’Union européenne avec laquelle leur contentieux n’est pas réglé:
La croissance chinoise s’écroule et la dette du pays explose à la hausse, ce qui va en faire paradoxalement la prochaine victime de la mondialisation sauvage sur laquelle elle a tant misé à tort alors qu’elle aurait dû promouvoir son marché local et sa consommation domestique (une ruse inattendue de l’histoire qui va aussi frapper l’Union européenne et l’Allemagne qui ont trop misé sur les exportations) :
Nous pensons donc qu’il importe de sortir le plus possible des actifs européens (actions, obligations, immobilier) comme de l’euro avant qu’ils s’effondrent. Sans pour autant acheter des métaux précieux, la probabilité étant la rechute de l’or vers 1.000 USD l’once, pour n’investir plus que dans les actifs US… qui se reprennent.
Les actions US (sur lesquelles nous restons acheteurs d’options calls -avec encore quelques protections en cas de nouvelle correction intermédiaire-) sont dans une phase à notre avis durable de reprise:
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Graphique daily:
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Graphique weekly:
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La Federal Reserve US de Powell (le seul problème économique des USA comme le dit Trump), qui a beaucoup nui à l’économie et aux marché financiers US en faisant monter ses taux d’intérêt et en diminuant son bilan, alors qu’il n’y a pas de risque inflationniste, est finalement devenue modérée sous les pressions bienvenues du même Trump et de la plupart des politiciens et économistes de ce pays:
La crise du crédit aux USA, provoquée par la Fed, se résorbe:
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05janv.
Étant donné que c’est la politique monétaire ultra restrictive de la Federal Reserve de Powell (et non pas la « guerre commerciale » entre les USA et le reste du monde, Trump n’ayant pas d’autre choix pour diminuer les énormes déséquilibres internationaux dont les USA sont la principale victime en raison de leurs déficits béants), qui a cassé l’économie mondiale et les marchés financiers (des BRICs et émergents en particulier); on pourrait aller vers une accalmie parce qu’il semble, si l’on se fie aux dernières déclarations de Powell, que la Fed sous la pression de Trump ait décidé de revenir à la raison
Étant donné que c’est la politique monétaire ultra restrictive de la Federal Reserve de Powell (et non pas la « guerre commerciale » entre les USA et le reste du monde, Trump n’ayant pas d’autre choix pour diminuer les énormes déséquilibres internationaux dont les USA sont la principale victime en raison de leurs déficits béants), qui a cassé l’économie mondiale et les marchés financiers (des BRICs et émergents en particulier endettés à taux variables en dollars US);
Les taxes douanières font rentrer des recettes fiscales aux USA et obligent des entreprises US expatriées à se relocaliser dans leur pays, d’où l’amélioration de l’emploi:
On pourrait aller vers une accalmie parce qu’il semble, si l’on se fie aux dernières déclarations de Powell, que la Fed sous la pression de Trump ait décidé de revenir à la raison.
C’était d’ailleurs le dernier moment pour mettre en veilleuse cette politique ultra restrictive parce que l’inversion de la courbe des taux US commençait et que l’économie US s’essoufflait avec le risque d’entrer en récession fin 2019 :
De telle sorte que le krach boursier US pourrait déjà avoir eu lieu tant que le S&P 500 tiendra son support vers 2.348.
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On restera donc donc long via des achats encore modérés d’options calls seulement (pas encore d’achats d’actions individuelles US) sur les trois indices boursiers US principaux (S&P 500, Dow Jones des industrielles et Nasdaq) tant que le support précité de 2.348 sur le S&P 500 ne sera pas cassé. Et on continuera à pratiquer en parallèle des allers-retours quotidiens via les ETF pour protéger les positions prises. En dessous de 2.348, on liquidera les achats de calls et on achètera des options puts.
En revanche, le franchissement de sa résistance vers 2.620 constituerait un signal d’achat susceptible de faire progressivement remonter le S&P 500 vers son plus haut de 2.940. Dans ce cas, on augmentera alors les achats d’options calls et on se portera aussi à l’achat des principales actions individuelles US au dessus de la résistance précitée de 2.620.
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Après des pertes abyssales en 2018, les principaux gestionnaires d’actifs sont optimistes pour 2019:
Sur les marchés d’actions européens, asiatiques et émergents, qui pourraient remonter dans le sillage des indices boursiers US mais à un moindre degré, nous restons encore sans position compte tenu de la faiblesse économique et de la situation politique chaotique de ces pays. En Europe et en Chine, des pans entiers des économies s’effondrent comme en témoignent l’agonie de l’industrie automobile, des i phones (Apple), du luxe ou des banques. La BCE a cessé son Quantitative Easing et la Banque de Chine désespérée vient imprudemment de baisser encore les réserves obligatoires de ses banques hyper endettées.
En Chine, le très agressif gouvernement communiste menace d’envahir Taiwan qui refuse de se réunifier avec Pékin; en Europe, il n’y a plus de gouvernement en Suède ni en Belgique, un gouvernement ultra minoritaire en Espagne qui vient de perdre les élections régionales d’Andalousie, Angela Merkel sur le départ, Theresa May qui va se faire virer prochainement et Macron, le bouffon qui casse la France, dont les démêlés avec ses partenaires homosexuels comme Benalla ridiculisent ce pays. Nonobstant le gouvernement roumain, ultra corrompu, qui vient de prendre la présidence tournante de l’UE et l’Ukraine devenu un État voyou pénétré par les musulmans, sans compter l’immigration massive qui vient d’être relancée par le Pacte de Marrakech et la menace islamiste contre laquelle on ne lutte pas. Les élections européennes de mai 2019 consacreront l’implosion du système de l’UE à bout de souffle.
Les métaux précieux et les actions des sociétés minières ayant atteint des résistances qu’ils ne devraient pas franchir avant longtemps, on s’abstiendra donc de les traiter:
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30déc.
C’est la guerre entre le président Trump et le Trésor US ensemble contre la Federal Reserve US de Powell d’où la reprise des actions US
C’est la guerre entre le président Trump et le Trésor US ensemble contre la Federal Reserve US de Powell, le Trésor US en charge de la monnaie (émission et fixation du cours du dollar US) ayant les moyens financiers de mobiliser d’énormes liquidités pour soutenir les marchés d’actions US (via le PMTP entre autres), alors que la Federal Reserve US en charge de la régulation de l’inflation via la fixation des taux d’intérêt US n’a que le pouvoir de les faire varier (via l’achat ou la vente des obligations US impactant la taille de son bilan).
Le président Trump et son secrétaire au Trésor Steven Mnuchin ont:
1/ magistralement réussit les 26 et 27 décembre 2018 à arrêter le krach boursier provoqué par la politique nocive d’inversion de la courbe des taux d’intérêt US menée par la Federal Reserve de Powell, sans même avoir pour le moment à le virer, laquelle a été largement mise hors d’état de nuire de telle sorte qu’elle devrait cesser de monter encore fortement ses taux d’intérêt (voire même les baisser ultérieurement à la fin 2019 en cas de ralentissement économique US prononcé);
C’est incontestablement la Fed de Powell l’incendiaire qui a sciemment provoqué le krach récent:
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Puis ce sont les programmes de trading algorithmiques contrôlant près de 85% des ordres de trading qui se sont précipités pour vendre à tout-va les actions d’où l’ampleur de la chute récente.
Pourquoi l’inversion de la courbe des taux de la Fed est une horreur économique de nature à créer une récession si elle n’est pas compensée par une création de liquidités par le Trésor US:
2/ comme à faire remonter fortement les indices US en chute libre, en obligeant les shorts pour éviter d’avoir à subir d’énormes pertes supplémentaires à se couvrir ainsi que nous l’avions prévu, raison pour laquelle nous avions pendant la tempête boursière réduit le plus possible nos positions longues mais sans nous placer à la baisse autrement que légèrement et momentanément, ce qui nous a permis de ne presque rien perdre en octobre /novembre / décembre 2018.
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C’est incontestablement Trump et le Trésor US qui ont provoqué la reprise:
Les indices boursiers US devraient progressivement, mais avec une forte volatilité sous-jacente rendant le trading quotidien heurté et difficile (d’où l’intérêt d’acheter des options calls que l’on peut conserver sans trembler et paniquer toute la journée comme sur les actions et les indices), d’où notre prudence actuelle maintenue, retrouver en 2019 leurs plus hauts récents de 2018, mais cela prendra du temps.
Ce qui pourrait soutenir à un moindre degré les indices européens et émergents, dont le potentiel de reprise reste cependant médiocre étant donné la fin du Quantitative Easing de la BCE, l’absence de liquidités européennes ou émergentes suffisantes conduisant immanquablement à une crise de crédit, la fragilité des banques européennes (Deutsche Bank par exemple) et le chaos politique européen suscitant la colère des peuples (Gilets jaunes en France), les USA restant par ailleurs en croissance réduite mais positive alors que l’Europe et les pays émergents sont structurellement en déflation / récession du fait de l’épuisement du « modèle européen ».
Le support à 2.348,81 sur la moyenne mobile weekly du S&P500 a tenu, ce qui fixe un niveau de support majeur sur les indices US:
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Les actions US n’ont jamais été aussi bon marché qu’actuellement depuis 2013…
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Mais les actions européennes (que nous ne traitons plus) restent dans une tendance durable majeure à la baisse…
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Autrement dit, Trump et le Trésor US appuient sur l’accélérateur à liquidités alors que la Fed a appuyé trop fort sur le frein mais devrait relâcher ultérieurement sa pression, ce qui est une configuration positive pour les actions US, d’autant que les anticipations des investisseurs sont encore massivement négatives (ils devront donc les acheter à la suite des insiders qui sont déjà en train de le faire):
A cet égard, la société d’investissement de Warren Buffet, Berkshire Hathaway, l’insider par excellence, a fait le plein d’achats d’actions US pendant leur chute d’où sa remontée depuis 3 jours:
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Deux phénomènes supplémentaires plaident pour la hausse prochaine des actions US: les achats massifs que les fonds de pension US devront effectuer pour placer leurs énormes liquidés disponibles et les perspectives de négociation prochaine entre les USA et la Chine qui reprendront bientôt:
Nous avons cette semaine, en plus de notre trading quotidien, renforcé l’achat d’options calls sur le Nasdaq échéance mars 2019, en sus de nos achats déjà effectués d’options calls sur les trois principaux indices (Dow Jones industriel, S&P 500 et Nasdaq) échéance février 2019 que nous avions conservées, les actions FAANGs (cotées sur le Nasdaq) ayant été particulièrement massacrées.
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C’est tout ce que nous avons en portefeuille (toujours pas d’actions individuelles d’aucun pays), indépendamment de nos positions en ETF des actions des sociétés minières et en métaux précieux toujours arbitrées qui vont actuellement plutôt nulle part, sur lesquelles nous prendrons un sens prochainement.
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Certains voient un « buy signal » sur l’or et l’argent-métal mais ce n’est pas encore notre avis:
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Quant au dollar US et donc à l’euro/dollar US, ils continuent leur stabilisation:
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Excellente année 2019 à tous
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23déc.
S’il est vain d’essayer de prévoir le point bas intermédiaire des indices boursiers US; on peut en revanche, pour identifier un bon niveau de support temporaire, considérer la capitulation des longs sur ces indices qui n’est plus éloignée afin de profiter d’un rebond, qui pourrait être fort mais bref, et alors sortir les achats d’options calls (ou les actions individuelles elles-mêmes) que l’on peut avoir et initier des achats d’options puts (ou rester cash sans actions), dans la mesure où il assez clair que les marchés d’actions US resterons dans un Bear Market tant que la Federal Reserve US poursuivra la hausse de ses taux d’intérêt à court terme et la réduction de son bilan.
S’il est vain d’essayer de prévoir le point bas intermédiaire des indices boursiers US; on peut en revanche, pour identifier un bon niveau de support temporaire, considérer la capitulation des longs sur ces indices qui n’est plus éloignée afin de profiter d’un rebond qui pourrait être fort mais bref et alors sortir les achats d’options calls (ou les actions individuelles elles-mêmes) que l’on peut avoir et initier des achats d’options puts (ou rester cash sans actions), dans la mesure où il assez clair que les marchés d’actions US resteront dans un Bear Market (les marchés d’actions asiatiques et les européens étant encore pire que les marchés US du fait du différentiel négatif de la croissance économique des pays asiatiques et européens, qui s’est évanouie, par rapport à celle des USA, qui faiblit mais reste encore positive) tant que la Federal Reserve US poursuivra la hausse de ses taux d’intérêt à court terme et la réduction de son bilan.
La Fed de Powell, devenue folle, a vraisemblablement décidé de casser ce qu’elle considère comme la « bulle » boursière US; ce faisant elle cassera aussi l’économie des USA et appauvrira les Américains les plus faibles économiquement et socialement:
Quand les actions US chutent, toute la capitalisation mondiale s’effondre (il n’y pas d’autre marché d’actions alternatif à acheter):
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Il est clair que la Fed et son FOMC composés de Démocrates ou de Républicains hostiles à Trump veulent le faire tomber mais il pourrait démettre Powell et le FOMC avant:
La chute des anticipations d’inflation aux USA ne justifie pas une politique monétaire restrictive de la Fed qui, au contraire, devrait cesser de diminuer son bilan:
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La chute de la liquidité en dollars US est baissière pour les actions en général mais haussière pour le dollar US:
Trump affronte en ce moment une crise politique majeure mais il lutte comme il le peut pour imposer au « Deep State » ses idées isolationnistes et empêcher sa destitution:
Plusieurs analystes (Dana Lyons par exemple) continuent de prévoir un rally de fin d’année des indices boursiers US (à 2.650 sur le S&P500 contre 2.416 actuellement) avant leur lourde rechute en 2019:
Les actions européennes, qui se trouvent sur leur plus bas depuis deux ans, ont subi en 2018 leur pire année depuis dix ans (en sortir complétement si cela n’est pas déjà fait et ne plus les traiter):
Les indices européens sont horriblement baissiers, le DAX allemand pourrait chuter en 2019 vers 7.357 contre 10.633 actuellement, ce qui entrainerait tous les indices européens aux abysses, d’autant que la BCE cessera à cette fin décembre 2018 son Quantitative Easing:
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Quant au triple top sur le Stoxx 600, il est lui-aussi très baissier:
Comme le dollar US devrait continuer de monter, après sa faible correction, et l’euro/dollar US continuer de chuter, après sa faible reprise; la baisse des prix des matières premières (pétrole, cuivre, etc.) et des métaux précieux (or, argent-métal) devrait s’accélérer, après leur récente respiration temporaire qui devrait faire long feu.
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Graphique comparé du US Dollar Index et de l’or:
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Graphique de l’euro/dollar US, objectif à moyen terme de Rambus Chartology 0,82 s’il casse les 1,12 à la baisse:
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Graphiques des métaux précieux et des actions des sociétés minières: leur récent rally ne devrait pas tenir et s’inverser
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Le graphique du pétrole brut WTIC annonce une déflation mondiale:
Nous restons donc sans aucune action individuelle d’aucun pays mais uniquement long via des achats modérés d’options calls sur les indices boursiers US échéance mi février 2019 (les options échéance décembre 2018 étant arrivées à échéance le 21 décembre 2018), sur lesquelles nous prendrions nos profits en cas de rebond, tout en traitant actuellement lesdits indices à la baisse via des ventes à terme dans le cadre de notre trading quotidien pour ne pas perdre d’argent (ou en perdre le minimum) étant donné qu’il faut rester le plus défensif possible sans pour autant s’interdire de bénéficier d’une reprise de marchés sur-vendus.
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15déc.
Bien que les multiples tentatives de reprise des indices boursiers US aient été contrées ces jours derniers, nous attendons leur rally de fin d’année pendant les deux dernières semaines de décembre et la première de janvier
Bien que les multiples tentatives de reprise des indices boursiers US aient été contrées ces jours derniers, nous attendons leur rally de fin d’année pendant les deux dernières semaines de décembre et la première de janvier, d’autant que, historiquement, comme le relève Nautilus Investment Research dans son graphique saisonnier publié ci-dessous, depuis 91 ans leur plus bas de décembre a pris place vers le 15 décembre puis ils se sont fortement redressés jusqu’à la fin du mois et début janvier. Cette année le 15 décembre tombant un samedi, on peut donc penser que leur plus bas mensuel a été atteint le vendredi 14 décembre ou bien qu’il le sera le lundi 17 décembre.
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Les trois principaux indices boursiers US fluctuent en dents de scie mais n’ont pas cassé leurs plus bas récents ni de l’année 2018:
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Plusieurs analystes restent positifs à court terme sur les actions US:
Le fait que le VIX (que nous avions acheté à titre de protection mais revendu dès vendredi) ne soit pas parvenu à monter montre que le risque de krach boursier n’est pas pris en compte par les investisseurs US qui n’y croient pas au stade actuel:
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D’ailleurs, compte tenu de la dernière estimation de croissance économique aux USA par la Fed on ne voit pas comment un krach boursier pourrait intervenir avec une croissance annuelle de 3%…
Nous ne gardons, depuis plusieurs semaines, que des positions longues modérées sur les indices boursiers US seulement, sous la forme d’achats d’options calls qui ne varient pas beaucoup actuellement et dont le risque est limité, et restons sans aucune position sur les actions individuelles quels que soient les marchés US, européens, asiatiques ou émergents sur lesquels elles sont cotées, dans la mesure où l’économie mondiale se trouve proche d’une récession globale qui devrait prendre place en 2019, les USA étant les derniers à y rentrer en 2020 probablement.Ce décalage dans le temps militant pour vendre les actions européennes et autres mais pour garder encore les actions US.
A cet égard, la Federal Reserve de Powell, en faisant monter les taux d’intérêt US et le dollar US (qui a atteint vendredi son plus haut depuis un an et demi) au delà du raisonnable, porte une responsabilité primordiale dans la déstabilisation générale et la crise du crédit qui frappe de plus en plus de pays du fait de l’inversion de la courbe des taux US.
On peut donc s’attendre à ce que Powell le 19 décembre dans son compte rendu à l’issue de la prochaine réunion de la Fed, pour ne pas être rendu responsable d’une baisse supplémentaire des actions US et se faire virer de son poste à la tête de la Fed (ce que le président US peut légalement obtenir du Congrès), trouve les mots afin d’éviter ladite baisse.
Trump est en train de gagner des points dans son bras de fer avec la Chine mais la relation USA / Chine mettra du temps avant de stabiliser et que soit réglée la question cruciale des transferts forcés de technologie:
Le chaos en Europe n’est plus gérable et les principaux chefs d’Etat et de gouvernement de la région, à l’image de Macron qui ne pourra pas aller plus loin dans ses projets de réforme et devra se contenter de faire de la figuration ou de Teresa May qui ne pourra pas faire adopter son mauvais accord de Brexit par le Parlement britannique, en sont les responsables. Nonobstant l’euro, mal configuré depuis son origine, qui est au bord de l’éclatement; la BCE ayant finalement jeté l’éponge en décidant de cesser son Quantitative Easing, lequel n’a fait qu’hyper fragiliser la plupart des banques européennes en raison des taux négatifs qui tuent leur rentabilité et pousser les États-membres au surendettement.
Le défaut majeur irrémédiable du mécanisme de l’euro c’est que la dévaluation monétaire étant devenue impossible au sein de la dite zone, par suite de l’adoption d’une monnaie unique partagée par tous les États-membres et de l’abandon des monnaies nationales, le manque de compétitivité de l’un d’eux ne peut plus être compensé que par la baisse des salaires chez lui, d’où la paupérisation de ses travailleurs et l’aggravation des divergences entre pays. Comme l’Allemagne refusera toujours de financer le grand plan de relance économique dont la zone euro a un besoin urgent au moyen de la création d’euro-bonds, il ne restera aux principaux Etats qu’à en sortir et à revenir à leurs monnaies nationales s’ils veulent croitre à nouveau.
Écrasés par une pression fiscale intolérable et déracinés par la submersion migratoire qui les envahit, les peuples européens risquent de se révolter comme les Gilets jaunes français.
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Les autorités suisses ont adopté des compromis sages sur les grands dossiers en cours: