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20janv.
Pourquoi les actions US devraient continuer de monter et les obligations d’Etat US devraient continuer de baisser, pendant que les actions et les obligations d’Etat européennes qu’il faut oublier sont sorties du panorama des investisseurs ?
La réforme fiscale, la dérégulation intérieure et la reconstruction des infrastructures domestiques comme les autres politiques de limitation de l’immigration incontrôlée et du libre-échange sauvage mondialisé, de sous-évaluation du Dollar US, de retrait des USA du piège de la tentation hégémonique internationale (dans lesquelles ils ont perdu par le passé leurs valeurs et leurs intérêts nationaux) menées par le président Donald Trump, le meilleur président des USA depuis Ronald Reagan, devraient conduire ce pays, autosuffisant dans tous les domaines, à plus de croissance économique mais aussi à plus d’inflation en liaison avec la hausse des prix et des salaires et la chute du chômage. Donc à une hausse parabolique des actions US, mais aussi à une nette reprise des taux d’intérêt US, c’est-à-dire à une baisse des obligations d’Etat US.
Pendant que, à l’opposé, les actions et les obligations d’Etat européennes sont sorties du panorama des investisseurs qui les fuient en masse; les politiques européennes imposées par l’Allemagne et la Commission de Bruxelles de surévaluation monétaire, de régulation à outrance (MiFID 2), d’austérité budgétaire et salariale, de racket fiscal, de chômage de masse, de déflation, d’immigration incontrôlée et d’insertion à outrance dans le libre-échange sauvage mondialisé, sans compter les guerres ultra couteuses dans lesquels les Etats de l’UE s’enlisent, conduisent ces marchés à l’asphyxie. D’ailleurs, à l’image de ses actifs financiers, l’Union européenne « sort de l’histoire ». Faute de sursaut souverainiste bannissant l’immigration, d’un investissement massif dans les technologies (pour combler son retard considérable vis-à-vis des USA et de la Chine dans ce domaine) et de nouvelles politiques pro business, comme une forte baisse des impôts et leur sortie de la monnaie unique et de la zone euro, la plupart des États-membres de l’UE resteront en déflation.
Nous avons maintes fois mis en garde contre l’achat des indices d’actions européennes et préconisé l’achat des indices d’actions US principalement, tout en conseillant d’arbitrer les Dollars US que l’on peut détenir contre l’euro et le franc suisse et nous avons eu raison. Il n’y a pas lieu de modifier cette stratégie.
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Les actions européennes sous-performent les actions US depuis 1988:
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Le quadruple top sur les actions européennes est quasiment infranchissable:
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Les actions US sont dans un mouvement parabolique de hausse, pleinement justifié, ce qui conduit les investisseurs US et internationaux à les acheter, le prochain objectif sur le S&P500 se situant vers 3010.
Selon le CIO de BofA, la correction à la baisse sur les actions US n’interviendra que lorsque aux USA le PNB réel atteindra les 3%, que l’inflation par les salaires atteindra les 3%, que les taux US à 10 ans atteindront les 3% et que le SPX500 atteindra les 3000. Même idée chez JPMorgan.
Ainsi que le remarquait Arthur Hill avant hier, les investisseurs fuyant les obligations d’Etat US se reportent en masse sur les actions US:
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Money Continues to Move out of Safe-haven Bonds
The 7-10 YR T-Bond ETF (IEF) fell sharply the last two days and recorded a nine month low in the process. The 20+ YR T-Bond ETF (TLT) remains above neckline support, but I expect TLT to follow IEF and break down at some point. A break down would confirm the head-and-shoulders pattern taking shape and target a move to the March low. Money is clearly moving out of safe-haven bonds and this money could find its way into riskier assets, such as stocks.
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The next chart shows the 10-yr T-Yield ($TNX) nearing its March high after a move from 24 to 26 (2.4% to 2.61%). The 30-yr T-Yield ($TYX) sports a rounding bottom and a breakout at 29.5-30 (2.95-3%) would call for higher long-term yields. Such a move could be later on (not on short term basis) positive for the Dollar US and negative for gold.
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Rambus est baissier sur les obligations d’Etat US:
Pour une fois, Béchade dresse un constat exact et réaliste des marchés d’actions européens (et suisse) qui ont stagné depuis plusieurs mois et n’offrent pas de perspective de gains sauf chute notable de l’euro/dollar US, laquelle n’est pas encore à l’ordre du jour; les actions à acheter restant les actions US (ainsi que nous le faisons), voire émergentes à un moindre degré. Lire sur son site « La bourse au quotidien » son commentaire sur les actions européennes du 19 janvier 2018 intitulé « 100 jours pour rien » !!!
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Il n’y a pas non plus grand chose à attendre de l’or en 2018 qui n’a pas été capable de franchir sa résistance,
L’effondrement du Bitcoin et autres cryptocurrencies -que nous nous sommes bien gardé d’acheter- n’a finalement impacté les marchés d’actions US et émergents qu’un seul jour alors qu’il provoque l’accélération de la baisse des marchés d’actions européens par ailleurs plombés par la hausse de l’euro
L’effondrement des cryptocurrencies (à ne pas acheter même après leur chute actuelle):
Les actions d’Apple et d’Amazon, sur lesquelles nous restons fortement haussier, en plus de nos autres positions longues sur les actions US récemment réduites, devraient puissamment monter d’autant que l’indice des semi-conducteurs a cassé à la hausse son plus haut historique:
La hausse des marchés d’actions émergents, sur lesquels nous sommes long, s’accélère avec la chute du dollar US alors que la baisse des actions européennes, sur lesquelles nous restons sans position, se confirme avec la hausse de l’euro:
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16janv.
Le SPY ayant déjà atteint ce jour notre premier objectif à 280 pendant que le DJIA montait au dessus de 26.000, nous avons pris les profits sur la plupart de nos achats de calls SPY, d’indices boursiers et d’actions US dans l’idée de les racheter plus bas
Le SPY ayant déjà atteint ce jour notre premier objectif à 280, pendant que le DJIA montait au dessus de 26.000, nous avons pris les profits sur la plupart de nos achats de calls SPY, d’indices boursiers et d’actions US dans l’idée de les racheter plus bas.
Rien de neuf dans notre stratégie d’investissement concentrée sur l’achat des indices boursiers et des actions US que nous estimons devoir monter beaucoup plus haut
A titre principal, nous restons haussier et acheteur sur les indices boursiers et les actions US et, à titre accessoire, nous avons aussi acheté récemment les indices et les actions émergentes, l’or et les actions des sociétés minières, et vendu short les obligations d’Etat US (en raison de la hausse des taux d’intérêt US à moyen et long termes qui se produit du fait de l’accélération de la croissance économique US comme de l’inflation dans ce pays).
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Nous n’envisageons pas de correction notable des indices boursiers US avant juin-juillet 2018 et restons convaincu que la réforme fiscale récemment imposée par le président Donald Trump au Congrès US est encore loin d’avoir produit tous ses effets bénéfiques pour les actions de entreprises US.
La saisonnalité des indices US est haussière jusqu’en juillet:
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Nous restons sans position sur les indices boursiers et les actions européens plombés par la hausse de l’euro et d’autres devises européennes contre le dollar US du fait des excédents commerciaux européens qui s’accroissent, alors que le déficit commercial US augmente, et que le chaos politique dans l’UE s’installe durablement (les dirigeants politiques, de « Micron » à Merkel, de May à Rajoy, se révélant incapable de stabiliser les États-nations européens et encore moins la construction européenne faisant eau de toutes part).
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D’ailleurs, quand une monnaie baisse elle fait monter les actions (cas actuel des USA) et quand une monnaie monte elle fait baisser les actions (cas actuel des pays européens).
La baisse du dollar US, sciemment voulue par l’administration Trump afin de réduire le déficit commercial US et d’améliorer la compétitivité extérieure des entreprises US, pour pourrait s’accélérer:
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Les actions US sur-performent massivement les actions européennes:
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Tous les avoirs en cash de nos clients restent investis en euros et en francs suisses seulement et tous nos achats d’actions en dollars US restent arbitrés contre lesdites monnaies. Notre position principale sur les actions US reste l’achat d’options calls sur les indices d’actions (SPY surtout qui vient d’atteindre son plus haut historique), échéances févier et mars 2018, strike 280 et 290.
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Tous nos comptes-clients en gestion sont nettement gagnant tant par rapport à leurs mises initiales que par rapport à leurs dépôts ultérieurs dans le cas de ceux en ayant effectués.
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16déc.
Comme prévu, les indices d’actions européens restent plombés, il n’y a que les indices d’actions US qui montent principalement par anticipation de la réforme fiscale aux USA voulue par Trump
Ce vendredi, les indices boursiers US ont atteint leur plus haut, ce qui nous a permis de sortir une partie notable de nos positions longues (pour les reprendre en cas de correction), à l’exception des achats d’options calls SPY février 280 que nous garderons en principe jusqu’à leur terme mi-février 2018 avec l’espoir de les voir au moins doubler de prix d’ici là et de quelques actions individuelles.
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SPY bullish, prochain objectif de la méthode Fibonacci: 291
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Réforme fiscale, saisonnalité haussière et optimisme de la Federal Reserve à propos de l’économie US se conjuguant pour entretenir le mouvement de hausse en cours qui contraste avec le marasme des indices boursiers européens englués dans la perte de compétitivité internationale des entreprises européennes (que la réforme fiscale US aggravera), la crainte de la BCE que la reprise économique sur le Vieux Continent ne tienne pas et le chaos politique au sein de l’Union européenne un peu partout (en Allemagne, Espagne, Royaume-Uni et pays de l’Est surtout). Nous restons toujours sans position sur les actions européennes.
La hausse des cryptomonnaies (Bitcoin surtout), suite à l’afflux de liquidités sur ces instruments ultra spéculatifs dont nous restons encore à l’écart, et celle des actions US (qui nous paraissent toujours attractives: objectif de hausse sur le S&P500 vers 3.000 en 2018 selon JPMorgan) rendent obsolète l’achat d’or et d’autres métaux ou matières premières, sur lesquels nous restons sans position.
Les obligations d’Etat européennes ne sont pas meilleures que les actions européennes (attention à l’Italie, le prochain point chaud avec les élections de mars 2018):
Les Européens paniquent du fait de la réforme fiscale US mais ne font rien dans le même sens, ni Merkel ni Macron ne sortiront l’Allemagne et la France de leur stagnation austéritaire :
Les Européens s’obstinent avec le libre-échange sauvage destructeur alors que Trump pratique le néo-protectionniste pour sortir les USA des déficits commerciaux et accroitre la compétitivité des entreprises US:
Les Japonais vont eux-aussi, après les Américains, se lancer dans la réforme fiscale; on pourra alors, s’ils y parviennent, acheter les actions nippones:
Le vote de la réforme fiscale US a provoqué une rotation sectorielle au sein des actifs boursiers US mais le Nasdaq et le S&P500 restent les deux leaders qu’il faut conserver à l’achat
Le vote de la réforme fiscale US a provoqué une rotation sectorielle au sein des actifs boursiers US, les investisseurs se ruant sur les actions des secteurs supposés bénéficier le plus de la baisse à venir des impôts en sortant à tort des actions des FAANG et autres grandes sociétés technologiques, pétrolières ou stratégiques, mais le Nasdaq et le S&P500 restent les deux leaders qu’il faut conserver à l’achat parce que ladite baisse des impôts ne rendra pas profitable les sociétés qui ne le sont actuellement pas mais rendra plus profitables encore celles qui le sont déjà, d’autant que contrairement à ce qui a été dit les FAANG et autres grandes sociétés technologiques seront très fortement bénéficiaires de cette réforme.
Nous restons donc principalement long sur l’ETF Nasdaq TQQQ et long options calls sur le SPY, strike 280 (correspondant à 2.800 sur le S&P500), échéance février 2018, mais aussi long sur les actions de Berkshire Hathaway -B-, la société holding très bien diversifiée de Warren Buffet, ayant sorti la plupart de nos positions sur les actions individuelles. Nous avons conservé suffisamment de cash pour acheter plus s’il y a lieu. Nous n’avons actuellement plus aucune position sur les autres marchés d’actions (européens, japonais, émergents, etc.) parce que, lorsque la réforme fiscale US ( « A Game-Changer », comme la qualifie le patron de BlackRock) entrera en vigueur, elle devrait propulser les indices boursiers US à la hausse comme une fusée qui laissera sur place tous les autres marchés d’actions lesquels ne bénéficieront pas de cette manne, d’où une explosion supplémentaire des ratios entre les indices d’actions US et les autres.
Le Wilshire 5000 est reparti à la hausse pour franchir prochainement son récent sommet:
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Nous faisons confiance au président Donald Trump qui, contrairement aux dirigeants politiques européens, a une stratégie pour refaire des USA « America First », alors que les pitoyables dirigeants européens sont perdus dans leurs idéologies anti-nationales, libre-échangistes, immigrationnistes et multiculturalistes qui détruisent leurs nations. Le dumping fiscal US permettra de combattre les dumpings commerciaux et monétaires chinois, japonais et autres, et il ne faudra pas longtemps pour inverser le flux des délocalisations: ce ne seront plus les entreprises US qui délocaliseront à l’étranger, ce sont les entreprises étrangères qui délocaliseront aux USA. D’où le comblement progressif à venir des déficits US commerciaux et des paiements.
Écouter Philippe Dessertine qui a compris pourquoi les USA sont sur la voie du redressement durable et l’Europe est sur la voie de l’affaiblissement définitif:
Le Bitcoin, qui n’est pas une monnaie puisque l’on ne peut presque rien acheter avec mais un produit financier, existant par construction en quantité limitée mais sa demande étant de plus en plus forte, ceci explique sa hausse fulgurante qui pourrait durer tant que ladite demande continuera. Sous sa forme actuelle nous n’en achetons pas mais cela pourrait changer s’il devenait régulé et organisé sur des marchés financiers ad hoc. En attendant, la hausse du Bitcoin mais surtout celle des actions US font baisser l’or et autres métaux (qu’il ne faut pas avoir) qui, comme nous l’avons pronostiqué depuis des mois, pourraient chuter beaucoup plus bas.
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Plus les actions US montent, en l’occurrence le DJIA, plus l’or baisse selon le ratio ci-dessous qui montre qu’il y a encore beaucoup de place pour la hausse des premières et la chute du second:
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Dès février 2017, Rambus avait donné un signal de baisse sur l’or en cas de cassure à la hausse des 17 sur le ratio…
Décembre pourrait être un vrai printemps pour les actions US
Alors que les actions US avaient atteint leur plus haut historique jeudi (ce qui nous avait permis de prendre les profits sur bon nombre de nos positions longues); –https://www.marketwatch.com/story/with-november-in-the-books-the-sp-500-put-another-chapter-in-its-historic-march-higher-2017-11-30–Elles ont fortement corrigé vendredi dans le sillage de l’affaire Flynn (ce qui nous a permis d’acheter plus d’options calls sur le SPY strike 280 février 2018), pour se reprendre ensuite avec l’annonce par le Sénat US de la possibilité de son adoption de la réforme fiscale. Au final, les S&P500 et SPY, après une forte correction intra day vendredi de l’ordre de 1,60%, n’ont baissé que de 0,20% par rapport à leur clôture record de la veille. En revanche, les options calls ont bien baissé d’où l’intérêt d’en acheter plus. ––
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L’affaire Flynn n’est qu’un nouvel épisode malheureux de la guerre que livrent les « démocrates » contre le président Trump et les « républicains » et c’est une fausse nouvelle (fake news) d’ABC, encore un média anti-Trump, qui est à l’origine de la baisse temporaire des actions US de vendredi:
Le prochain objectif de Rambus sur le Dow Jones des industrielles est vers 38.950:
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Grande victoire de Trump et des républicains; reste maintenant à concilier les deux lois assez différentes de réduction des impôts votées séparément par la Chambre des représentants et par le Sénat.
A noter que le VIX a enregistré un double top vendredi qu’il n’a pas pu franchir, ce qui signifie que la correction du S&P500 est finie
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Notre scénario, c’est celui d’une nette hausse des actions US en décembre qui est historiquement, comme expliqué dans l’article ci-dessous de Barron’s d’avant hier et comme le montre le graphique ci-dessous, le plus haussier de l’année.–
December Could Be Springtime for Stocks?
15hr
The last month is the best for the S&P 500, and second-best for the Dow and the Nasdaq.
It’s the most wonderful time of the year, especially for investors.
December is the best month of the year for the stock market, based on the record of the Standard & Poor’s 500, and second-best for the Dow Jones Industrial Average and the Nasdaq Composite. The seasonal tendencies also transcend the month as the Russell 2000 starts to outperform in mid-December as the so-called January effect of rallying small-cap stocks typically gets an early start.
That’s according to the Stock Trader’s Almanac, edited by Jeffrey A. Hirsch and his father, Yale Hirsch, who originated the compendium of seasonal stock market tendencies a half century ago. Their data, which stretch back to 1950, found the S&P 500 averaged a 1.6% gain in the last month of the year, with 49 winning Decembers against 17 losers. The Dow also averaged a 1.6% for December, with 46 gainers and 20 decliners.
As for the Nasdaq, December was the second-best month since its inception in 1971; 26 were higher while 19 were lower. The Russell 2000 averaged the best with an average of 2.6% in its shorter history with 29 winning Decembers and just eight losers.
Indeed, the Hirsches found November, December and January comprise the best three-month span for the year. These three months averaged a 4% gain, with the declines since 1930 coming during bear markets—in 2007-08, 1969-70, 1940-41 and 1931-32. They attributed the pattern to pension-fund activity during the period.
Other observers also note that mutual funds tend to close their books for the year on Oct. 31 and book losses then. With their tax-loss selling out of the way, those headwinds would turn into tailwinds with the start of November.
In more recent years, however, the January effect of a strong start of the year seems to have diminished. According to Bianco Research, since 1981, December is still the best month with an average 1.62% return, while November is fourth-best with a still strong 1.32% return. But January is middle of the pack at No. 7, with a 0.67% average return.
December is also the least cruel month in terms of volatility and losses, Bianco found. The worst December had a 6.03% loss in 2002, compared with the worst drop in October, which saw a 21.76% plunge in 1987. The standard deviation in December averaged just 3.19% while October was the wildest with an average 6.24% standard deviation.
As for stock groups, one might assume December’s bullish tendencies would favor high-beta sectors. But Bianco’s data showed an average return of 1.63% for S&P Growth stocks versus 2.41% for S&P Value. The best industry group was the S&P Utilities, typically a defensive cohort, with an average 2.88% return, while Information Technology brought up the rear with an average 0.66% return.
Finally, there’s what’s known as the “Santa Claus Rally” right after Christmas. According to the Hirsches, the final six trading days and first three days of the new year have averaged a 1.4% gain.
But the failure of Santa to appear tends to portend weakness in the coming year, they also found. That could be an outright bear market or a better buying opportunity later in the year. The worst instances, when a 4% drop during the 1999 post-Christmas period preceded the dot-com bust of 2000-02.
Past, to be sure, isn’t always prologue. Wednesday’s wild action in tech stocks may suggest something other than the usual seasonal patterns could play out.
Comments? E-mail us at editors@barrons.com
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Nous avons pris les profits sur nos positions longues sur le pétrole WTIC qui est monté à la suite de l’accord OPEP / Russie de prolongation de leur réduction de production pour 2018.
L’inquiétude à avoir n’est pas sur les actions US mais sur les actions européennes qui ne parviennent pas à se redresser, faute de nouveaux acheteurs lesquels délaissent le Vieux Continent et préfèrent acheter Wall Street. Nous avons encore réduit nos achats de Dax, pour ne garder qu’une petite position symbolique, et nous nous abstiendrons de prendre toute nouvelle position sur les indices boursiers européens au surplus négativement affectés par la hausse de l’euro/dollar US.
Le ratio actions US / actions européennes s’accroit en faveur des premières et en défaveur des secondes, alors que depuis des mois les supposés « spécialistes » expliquent qu’il faut acheter les actions européennes et vendre les actions US, c’est le contraire qui est juste.
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30nov.
La possible réforme fiscale aux USA provoque une rotation dans les actions et indices boursiers US, les Nasdaq, FAANG et high tech baissant au profit du Dow Jones des industrielles, du S&P500, des retails et des bancaires
La possible (mais pas encore certaine avant la fin 2017) réforme fiscale aux USA provoque une rotation dans les actions et indices boursiers US, les Nasdaq, FAANG et high tech (que nous avons diminués dans nos portefeuilles-clients) baissant au profit du Dow Jones des industrielles, du S&P500, des retails et des bancaires (que nous avons augmentés dans nos portefeuilles-clients), pour la raison que les FAANG et les high tech ne payant déjà pratiquement pas d’impôts n’ont pas d’avantage à attendre de la réforme fiscale US alors que les actions des sociétés du Dow Jones des industrielles, du S&P500, des retails et des bancaires payant actuellement l’essentiel des impôts verraient alors leur situation financière s’améliorer fortement si leur pression fiscale diminuait.
Nous conservons, en particulier, nos achats de calls options, strike 280, échéance février 2018, sur le SPY qui est très positivement orienté, il n’y a pas de risque de retournement des indices boursiers US à la baisse (Nasdaq compris qui n’ira pas beaucoup plus bas):
L’attente de cette réforme (que nous voyons plutôt intervenir en 2018 qu’en 2017) provoque aussi une hausse des taux d’intérêt US à moyen et long termes (10 ans par exemple) dans la mesure où faisant initialement monter les déficits budgétaires et la dette publique US avant que ses bénéfices économiques et fiscaux soient perceptibles, elle est négative pour les obligations d’Etat qui restent baissières. D’autant que Jerome Powell, que Trump vient de nommer à la présidence de la Federal Reserve, poursuivra dès le début 2018 la politique de Janet Yellen de hausse graduelle des taux courts et entamera la réduction de son bilan.
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L’Europe ne va aussi bien que le disent certains commentateurs:
Pour le moment, l’euro/dollar US reste haussier et le dollar US reste baissier, ce qui pèse négativement sur les actions européennes sur lesquelles il ne faut garder qu’une petite position longue:
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Nous avons pris les profits sur nos achats des sociétés minières, l’ensemble du complexe des métaux précieux et de ces sociétés étant à nouveau sous pression baissière en raison de la hausse des taux US.
Nous avons acheté ce jour, en sus de nos positions longues actuelles sur les actions US, des options calls SPY, strike 280, échéance février 2018, qui présentent un potentiel très important de hausse.
Les actions US sont dans une séquence ultra-haussière quasi parfaite d’ici la fin 2017, d’autant que la baisse du dollar US -qui les soutient- est confirmée
De Thanksgiving à Noël, la grande période annuelle de consommation, les actions -US en particulier- sont dans une séquence haussière, renforcée par la baisse du dollar US. Laquelle fait aussi monter les actions des sociétés minières et le pétrole exprimés en dollar US.
Goldman predicts that the S&P 500 would trade at 5300 by year-end 2020 (a 105% rise from today). If slightly « less irrational » bubble over the next three years would mean stocks instead trade at a similar forward P/E to the Tech Bubble (24x), and would imply a year-end 2020 index level of 4050 (57% above today).
Nous restons principalement long Dow Jones des Industrielles, Nasdaq et S&P500 (qui montent dans le sillage des sociétés techno) et, sur ces sociétés, long Amazon, Apple, Alibaba, mais arbitrés sur les dollars US que nous utilisons pour ces achats:
Nous restons, par ailleurs, long mais avec des positions réduites sur le Dax et le Nikkei, qui resteront à la traine en raison de la fermeté de l’euro et du yen et de l’absence de géants européens ou japonais de la techno qui sont tous US ou chinois, mais ne peuvent pas aller beaucoup plus bas ni s’effondrer tant que wall Street montera. Nous n’avons pas de position sur les autres marchés boursiers.
Évidemment, les actions US continuent de sur-performer les actions européennes:
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Ce sont les banques centrales (comme exposé dans notre dernier commentaire) qui, en raison des distorsions qu’elles ont créées, distorsions qu’elles ne peuvent que difficilement corriger, sont à la source de la hausse des marchés financiers:
Orgie de liquidités créées ex nihilo qui, paradoxalement, ne créent pas d’inflation; parce que le libre-échange mondialisé étant structurellement déflationniste, ces liquidés se perdent dans les sables mouvants de la finance internationale.
Le « modèle » allemand et de l’Union européenne ne marche pas, il faut en sortir et refonder l’Europe sur la base des Nations; Merkel et Macron sont pitoyables:
Il faut dire que la BNS étant devenue le principal « hedge fund » mondial bourré d’actions US, la Confédération peut jeter de l’argent par les fenêtres:
Quant à Mohamed Ben Salmane, le pseudo « réformateur démocrate » de l’Arabie saoudite, il est passé maitre en tortures et extorsion de fonds, le risque de révolution s’accroissant dans ce pays lorsque le peuple s’apercevra qu’on le trompe et que les oligarques voudront se venger: