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20août
L’important pour les marchés financiers c’est le prix du pétrole, pas les vaines tergiversations de certains membres de la Federal Reserve
Ainsi que nous l’avons déjà pronostiqué, la Federal Reserve US ne modifiera pas son taux directeur avant l’élection du 8 novembre 2016. Si Clinton est élue elle le montera, si Trump est élu elle le baissera, voilà ce que pense le patron de Citibank, tout le reste n’étant que littérature ou divagations de certains membres de la Fed en mal de publicité, ne représentant pas ce que pense Yellen, laquelle décide de façon prépondérante au sein du FOMC et panique à l’idée de déclencher un cataclysme sur les marchés si elle monte son taux directeur comme en décembre 2015. Mais comme elle a aussi peur de provoquer trop tôt une hausse incontrôlable des actions US, elle laisse s’exprimer quelques guignols pour calmer le jeu: hausse des actions US oui, leur explosion à la hausse bien avant le 8 novembre: non! Comme c’est de la petite manipulation pure et simple ne visant qu’à faire durer la comédie et que la Fed poursuit ses injections de liquidités, notre tactique c’est d’acheter si possible plus d’actions US en échelle de baisse…
Les banques centrales en baissant leurs taux directeurs (et donc les taux d’intérêt à moyen et long terme dans les principaux pays) à zéro voire à des niveaux négatifs, ont fait une erreur majeure qui ruine les banques privées et les institutions financières comme la plupart des épargnants-rentiers, sans aider à faire repartir les économies ni l’inflation, mais ont créé une bulle obligataire favorables aux Etats sur-endettés dont elles craignent maintenant de provoquer l’explosion en agissant dans le sens du relèvement de leurs taux directeurs trop vite, trop fort. Elles se sont piégées elles-même et n’ont pas de voie graduelle de sortie, ce qui prouve à nouveau qu’il faut les supprimer au lieu de les encenser…
La solution à la querelle byzantine à propos du taux directeur US, c’est de laisser le marché faire son travail sans essayer de le manipuler, à savoir que la hausse du prix du pétrole fait déjà et fera plus encore monter mécaniquement les taux d’intérêt à moyen et long termes (10 ans et plus) US, ce qui permettra à la Fed d’ajuster sans drame ni panique alors à un certain moment son taux directeur en fonction du taux à 10 ans qui sera atteint.
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Ce qui nous intéresse (en ce moment et pour longtemps), ce sont les actions et certaines matières premières industrielles indispensables à l’économie (comme le pétrole), et accessoirement les monnaies dont les mouvements interfèrent sur les prix des actions et desdites matières premières, mais pas les obligations d’Etat ni les métaux précieux (ces deux derniers actifs, évoluant souvent en parallèles, ayant atteint des niveaux à notre sens de sur-évaluation extrême) sur lesquels nous avons zéro position puisqu’ils commencent à corriger à la baisse.
TANT QUE LE PRIX DU PÉTROLE MONTERA, ET IL EST LOIN D’AVOIR ATTEINT SON SOMMET PRÉVISIBLE A COURT ET MOYEN TERMES, LES ACTIONS US MONTERONT.
LES TAUX US ON S’EN MOQUE, PARCE QUE S’ILS MONTENT LES INVESTISSEURS SORTANT DES OBLIGATIONS D’ÉTAT IRONT SUR LES ACTIONS ET S’ILS BAISSENT AUSSI PUISQU’IL N’Y AURA PLUS D’ALTERNATIVE D’INVESTISSEMENT !!!
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Le US Dollar Index est plutôt orienté à moyen et long terme à la baisse mais, à court terme, il a tenu et n’a pas encore cassé à la baisse. Il n’y a donc pas lieu de s’affoler ni d’arbitrer les actifs en dollars US tant que cela ne sera pas le cas.
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Formation en triangle (probabilité de casser à la baisse mais ce n’est pas certain):
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Bon support sur le UUP et sur le USDU:
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Le dollar/yen remonte légèrement et BlackRock, qui pense que ce mouvement devrait se poursuivre, achète des actions japonaises:
Sur l’immigration de masse en Europe et la responsabilité de Merkel, une dirigeante selon nous authentiquement criminelle parce qu’elle a ouvert l’UE à l’immigration massive et a pactisé avec Erdogan dont elle savait qu’il finançait le terrorisme islamiste:
Merkel / Erdogan même combat pour détruire les États-nations européens et l’identité de leurs citoyens, pendant que les simples d’esprit Hollande et Renzi, n’ayant rien compris et ne sachant pas ce qu’ils veulent, laissent faire…
Étant long pétrole (via l’achat de l’USO et du UWTI), d’actions des sociétés pétrolières (Marathon et Schlumberger) ou d’actions canadiennes et russes, à hauteur de 15 à 35% de nos portefeuilles clients, selon les stratégies choisies par ces clients, nous sommes ipso facto arbitrés contre la baisse possible du dollar US.
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Cassure imminente des actions russes à la hausse:
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La partie principale de nos positions étant constituée d’achats d’actions de haute technologie, internet et de communication US et d’ETF long ou ultra longs sur les actions US, et aussi d’une petite position longue en ETF long DAX (le moins mauvais marché boursier européen), nous conservons le même positionnement parce que la hausse du prix du pétrole devrait finir par les propulser à la hausse d’ici fin août – début septembre (lorsque le volume reviendra sur les marchés). Et parce que la Fed, comme ses banques centrales amies, feront tout pour faire monter les actions US et ainsi, croient-elles, faire perdre Trump lors de l’élection du 8 novembre 2016 (date aux alentours de laquelle le plus haut de l’année 2016 devrait être atteint sur les actions US).
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Stabilisation du S&P500 avant cassure probable à la hausse:
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Le niveau des shorts sur les actions US vient d’atteindre, selon le rapport de la CFTC et de DailyFx du 18 août 2016, son record absolu…. Ce qui est haussier pour cet actif:
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Combien de temps les shorts actions US, qui commencent à perdre de plus en plus, le resteront-ils?
La hausse du pétrole, en liaison avec son bas niveau historique de prix, les troubles politico-économiques en Arabie saoudite, la situation de guerre totale au Moyen-Orient, le terrorisme de l’État islamique-Daesh et la complicité de la Turquie d’Erdogan (l’allié de Merkel et de l’UE qui trouvent maintenant quand même qu’il va un peu trop loin mais le laissent faire) avec lesdits terroristes, les grandes manœuvres russo-iraniennes, la tension en Ukraine menaçant avant l’hiver les approvisionnements européens de gaz, la baisse de la production US et les achats d’ETF par les compagnies pétrolières ou de trading pétrolier (nous savons de source sûre que Glencore par exemple achète du pétrole-papier et du brent à tour de bras), la faiblesse du dollar US, etc., devrait se poursuivre (vers 62 voire 75 USD le baril d’ici fin 2016 sur le WTIC). A ces niveaux-là, le S&P500 serait bien plus haut que notre objectif de 2260, plutôt vers 2425 ainsi que le prévoit Citibank – Merrill Lynch…
A noter que l’Arabie saoudite, ayant pour ambition de privatiser sa compagnie pétrolière nationale ARAMCO, doit obtenir d’ici la fin 2016 un prix du pétrole stabilisé beaucoup plus haut qu’actuellement pour réussir cette opération.
A noter que le supposé grand succès des années Obama (et d’Hillary Clinton), à savoir sa réforme du système de santé US, une usine à gaz d’une complexité imbécile au coût exorbitant, est entrain de s’effondrer, c’est l’une des raisons pour lesquelles Hillary est loin d’avoir encore gagné la présidentielle US parce que cette déroute frappera tous les Américains, classes moyennes et pauvres (donc minorités raciales) surtout. D’autant que des rumeurs insistantes, permettant de croire qu’elle est atteinte de la maladie de Parkinson ou pire, pourraient la renvoyer à l’hôpital et non pas à la Maison Blanche…
Le dollar US cette année s’est effondré contre le yen japonais, a baissé nettement contre les dollars australien et canadien, s’est fortement apprécié contre la livre sterling mais il s’est plus ou moins stabilisé contre l’euro et le franc suisse. Ce qui signifie que son évolution a été pour le moins contrastée. Nous pensons maintenant que le dollar US devrait globalement rester plutôt neutre jusqu’à l’élection présidentielle US du 8 novembre 2016, surtout contre l’euro et le franc suisse, mais remonter contre le yen.
D’une part, parce que la Federal Reserve US ne modifiera pas son taux directeur avant l’élection du 8 novembre 2016. Si Clinton est élue elle le montera, si Trump est élu elle le baissera, tout le reste n’est que littérature ou divagations de certains membres de la Fed en mal de publicité, ne représentant pas ce que pense Yellen.
D’autre part, parce que les fondamentaux européens sont toujours abominables, dans la mesure où la stagnation/déflation de l’UE se traduisant par sa croissance zéro et sa désintégration politique dans un contexte de submersion migratoire, de pression musulmane non maitrisée et d’attentats islamistes non contenus, de chantage turc et de guerre froide qu’elle entretient avec la Russie pour complaire aux instructions US et à la stratégie d’encerclement de ce pays par l’OTAN, ne laissent augurer rien de bon.
Trahison des élites, Islam et République: soumission ou redressement?
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Valls reconnait que le burkini n’est pas compatible avec les valeurs de la République mais par lâcheté, lui et Hollande ne légiférerons pas. Ce qui est incompatible avec les valeurs de la République, c’est l’Islam, le Coran, la Charia… Il faut donc légiférer pour supprimer tout islam politique en France (le Conseil du culte musulman en particulier créé par Sarkozy et fermer les mosquées -il n’y a pas d’églises catholiques ni de synagogues en Arabie saoudite ou au Qatar, pourquoi y aurait-il des mosquées en France?-) pour ne pas lui donner de statut légal afin qu’il redevienne une pratique religieuse privée non ostentatoire (ce qui suppose aussi l’interdiction de tout voile ou accoutrement vestimentaire arabo-musulman dans les lieux publics), la France judéo-chrétienne ne devant pas sacrifier au multiculturalisme ni aux fondamentalismes de toutes sortes sous peine de disparition.
Rambus est actuellement neutre sur le USD mais, en se basant sur le USDU, il considère que sa cassure du support vers 25,60 pourrait le faire chuter nettement. Tant que cette cassure n’interviendra pas le USD pourrait se stabiliser voire remonter, surtout contre l’euro. Nous avons donc ce jour sorti nos derniers arbitrages (comme l’achat des ULE) pour ne les reprendre que sur la nette cassure précitée de l’USDU si elle avait lieu.
Les perspectives de hausse des actions US et du pétrole (ces deux actifs étant fortement corrélés) restent inchangées, le Nasdaq restant le marché leader:
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August 17, 2016:
For some perspective on the post-financial crisis rally, today’s chart illustrates how much of the downturn that occurred as a result of the financial crisis has been retraced by each of the five major stock market indexes. For example, the Dow peaked at 14,164.53 back in October 9, 2007 and troughed at 6,547.05 back on March 9, 2009. The most recent close for the Dow is 18,552.02 — it has retraced 157.6% of its financial crisis bear market decline. As today’s chart illustrates, each of these five major stock market indices have retraced over 150% of their financial crisis decline. However, it is the tech-laden Nasdaq that leads the pack with a retracement of 249% — impressive considering the severity of the financial crisis bear market.
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Le seul graphique qui vaille: tant que le pétrole montera, et il est loin d’avoir atteint son point haut, il n’y aura pas de correction notable des actions US qui continueront leur progression
La source de la plupart des problèmes économiques actuels, c’est l’échec des politiciens et des banquiers centraux à mettre en place des politiques cohérentes, ce qui se traduit par la faillite de la globalisation et de la gouvernance mondiale:
Pourquoi sommes-nous dans une configuration haussière idéale pour la plupart des marchés d’actions, surtout ceux riches en actions pétrolières
Indépendamment des mesures d’injection massive de liquidités ou d’achats directs d’actions prises par la Federal Reserve US et par ses homologues étrangères amies (BNS, Banque d’Angleterre, BCE) pour faire monter les actions US et maintenir un dollar US plutôt faible, ce qui devrait ainsi leur permettre (en principe mais ce n’est pas garanti) de faire perdre Donald Trump -l’ennemi public Numéro 1- à l’élection présidentielle US du 8 novembre 2016 (étant donné qu’il ne pourra alors pas se prévaloir vis-à-vis des électeurs de la mauvaise gestion par Obama ou par la Fed de l’économie US puisque la bourse serait au plus haut, quoique le niveau élevé de la bourse n’ait pas grand chose à voir avec la situation des couches sociales les plus précarisées et des chômeurs), le contexte général d’économies toujours faibles donc non inflationnistes un peu partout mais de liquidités abondantes disponibles peu investies, comme l’existence de positions shorts massives, sont porteurs pour les actions. D’autant que le pétrole remonte, ce qui éloigne le risque de déflation généralisée et les défauts de certaines sociétés pétrolières sur leurs dettes. Cette fois-ci, tout porte à croire que l’Arabie saoudite, dont la situation politico-économique se dégrade fortement en proie à des tensions internes très fortes au sein même de la famille royale, fera fin septembre 2016 un accord de réduction de sa production pétrolière avec les autres pays-membres de l’OPEP. Alors que les obligations d’Etat US et l’or rechutent, ce qui signifie que les inquiétudes des investisseurs se dissipent. Tout cela incitant les investisseurs à revenir sur les marchés d’actions un peu partout, lesquels suivent la progression des actions US, d’autant qu’il n’y a pas d’autre alternative d’investissement. Nous restons donc long actions US surtout avec comme objectif environ 2260 base S&P500 pour prendre les profits sur toutes nos positions longues puis analyser la situation à nouveau.
Bespoke statisticians say 41% of stocks on the S&P 500 offer a richer yield than the so-called long bond, or 30-year note. And more than 60% pay a better yield than the benchmark 10-year note (see chart below).
Comme le souligne Daneric Elliott Waves, qui est haussier sur le Wilshire et les autres indices boursiers US, la plus grande probabilité c’est que le Dow Jones Industrials monte à 20.000 lors de l’élection ce qui ferait gagner Hillary Clinton et perdre Donald Trump:
Les indices d’actions russe, canadien, anglais, allemand (mais pas les autres européens ni le suisse) et même chinois (mais pas le japonais), sont haussiers:
Le pétrole remonte et sa perspective de hausse est forte (75 USD le baril d’ici fin 2016?), nous sommes long USO et UWTI (que Rambus continue d’acheter comme il continue d’acheter le RUSL):
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L’or et l’argent-métal, comme les actions des sociétés minières, dont la reprise de cette année aura constitué une aberation temporaire parce que liée à la chute très excessive du dollar US/yen, sans raison fondamentale sérieuse puisque le yen est la pire monnaie du monde émise en quantités astronomiques par le pays le plus endetté qui soit de toute l’histoire dont la croissance est voisine de zéro depuis des années, comme à la panique de krach boursier et monétaire chinois, qui n’est plus d’actualité, rechutent:
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BHP Billiton records worst loss in its history
BHP Billiton, the world’s largest mining firm by market value, reported a record $6.4 billion annual loss on Tuesday, hammered by a bad bet on shale, a dam disaster in Brazil and a commodities slump. The mining giant also cut its final dividend by 77%.
Quant à l’euro/dollar US, il n’est pas haussier par lui-même mais il est soutenu par la chute de la livre sterling qui semble, comme pour ce qui concerne la hausse du yen, plus ou moins plafonner.
C’est la politique monétaire de taux négatifs mise en place par la BCE de Draghi qui coule la croissance économique européenne, raison pour laquelle il faudrait pour les PIIGS et la France en finir avec l’euro:
L’élection présidentielle US du 8 novembre 2016 et les marchés financiers
Il faut bien reconnaitre que les deux principaux candidats qui restent en lice, Hillary Clinton et Donald Trump, ne sont pas ceux que la majorité des Américains aurait souhaités tant leur impopularité à tous les deux est grande, mis à part auprès de leurs clientèles électorales rapprochées; la majorité des Américains rejetant en outre les « dynasties » Bush et Clinton qui prétendent que le pouvoir leur revient de « droit divin » et vivent au dessus des lois s’appliquant à tout un chacun.
D’un côté, une dissimulatrice incompétente (son passage au Département d’État a été pitoyable) et corrompue (achetée par Wall Street et par l’étranger qui lui assurent une fortune considérable via leur financement de sa Fondation privée), coupable de nombreuses infractions, et, de l’autre, un caractériel agité, imprévisible et provocateur, ex star de la téléréalité ayant parallèlement fait fortune dans l’immobilier (pas toujours de façon indiscutable), cassant systématiquement les codes du « politiquement correct » pour brouiller les cartes, ce qui rend l’issue de leur confrontation hautement toxique pour l’Américain moyen qui sera probablement, quel que soit le vainqueur, à nouveau trompé.
Ainsi qu’il l’a été par les deux précédents présidents Bush et Obama, un va-t-en guerre à moitié fou et un illusionniste hypocrite (« Yes we can! »), ayant crée plus de problèmes qu’ils n’en ont résolus. Bush ayant mis le Moyen et Proche-Orient à feu et à sang est grandement responsable de la résurgence de l’islamisme et du terrorisme international; Obama, dont le fiasco en politique étrangère n’est pas moins grand (désastres syrien, irakien, libyen, afghan, etc. qui se poursuivent et retour de « la guerre froide » contre la Russie), ayant divisé les Américains a attisé les tensions (en particulier raciales) entre-eux tout en laissant une économie incertaine, un endettement record, des classes basses ou moyennes appauvries, un système de santé au coût exorbitant toujours à l’agonie et, surtout, une banque centrale omnipotente que les politiciens ne contrôlent plus (alors qu’il faut mettre fin à sa funeste « indépendance » et la contraindre à rendre des comptes), faisant une politique en faveur d’une toute petite partie des Américains les plus riches. Nous sommes évidemment très loin des John Kennedy et des Ronald Reagan qui faisaient rêver les Américains parce que ce qu’ils leur proposaient avait du sens et du panache! Il ne fallait pas faire des élections aux USA une affaire d’argent dans lesquelles seuls des milliardaires peuvent concourir parce que c’était se condamner aux pratiques d’une république bananière!
Hillary Clinton n’a pas de programme détaillé, ne connait rien à l’économie, promet tout et son contraire, mais ment en prétendant reprendre les propositions sociales et protectionnistes de Bernie Sanders, d’autant qu’elle entend augmenter les impôts des Américains. Si elle devenait présidente, elle ferait une politique combinant les inconvénients de celles de Bush et d’Obama sans compter, pour satisfaire les banques qui la financent, une dérégulation bancaire et financière massive dans le style de celle effectuée en son temps par son époux Bill Clinton (ayant conduit à la crise des subprimes de triste mémoire), lequel d’ailleurs exercerait le pouvoir en coulisses, ce qui ramènerait sur le devant de la scène toutes sortes d’affaires sordides dans lesquelles il est impliqué. Hillary Clinton, c’est la candidate du lobby militaro-industriel, dont elle continuerait à financer les programmes hyper coûteux, et de la guerre, parce qu’elle poursuivrait toutes les agressions US à l’étranger dans le but d’assurer, croit-elle à tort, le leadership mondial américain.
Trump, lui, a un programme beaucoup plus social et radical de protectionnisme (il taxerait les importations chinoises aux USA ce qui permettrait de baisser les impôts des Américains et de faire revenir beaucoup d’emplois aux USA), d’isolationnisme, de désengagement des USA en particulier militaire à l’extérieur (il ferait payer les alliés de l’OTAN tout en réduisant sa taille), anti-immigration (il construirait un nouveau mur plus hermétique avec le Mexique), sécuritaire (il contrôlerait les arabo-musulmans voire les empêcherait d’entrer aux USA) et de retour aux valeurs profondes de l’Amérique WASP (White Anglo-Saxon Protestant), mais ses excès verbaux brouillent son message -à maints égards contradictoire- et l’on peut douter qu’il serait capable de l’appliquer s’il était élu, voire même tout simplement qu’il puisse aller jusqu’à l’élection tant il coalise ses adversaires au sein de son propre parti qui sont toujours décidés à l’empêcher de se présenter puis de gouverner. Sa force: n’étant pas un professionnel de la politique et n’en vivant pas, il n’a rien à perdre, ce qui le rend hyper-combattif contre une Clinton qui, elle, ne supporterait pas de perdre tant elle est convaincue que la présidence lui revient de droit.
Qui va gagner? Personne n’en sait rien parce que le résultat sera très serré et l’abstention importante (à condition que l’un des deux candidats ne soit pas assassiné ou empêché avant), d’autant que les deux autres candidats indépendants (une écologiste et un libertarien) prendront plus de 10% des voix qui manqueront surtout à Hillary Clinton, comme lui manqueront une partie importante des voix étant allées à Bernie Sanders lors de la primaire démocrate. Le plus probable, c’est que l’élection sera manipulée d’une façon ou d’une autre pour tenter d’empêcher Trump de gagner (on se rappellera de l’élection Bush contre Gore de 2000 qui avait été aussi truquée). Mais cette élection Clinton contre Trump c’est comme le Brexit, il est possible que le résultat soit à l’opposé de ce que les médias et les « élites » tous pro Clinton proclament à l’avance, tant le rejet du centralisme de Washington, des folies de Wall Street, de la mondialisation et de l’immigration est grand dans les couches populaires paupérisées. Les élections législatives et locales qui vont aussi avoir lieu pourraient, en outre, faire que le président élu soit empêché de mener sa politique du fait d’un Congrès hostile et ce serait alors l’impasse.
Jusqu’à l’élection du 8 novembre 2016, dans trois mois -ce qui est assez long-, nous sommes d’avis que tout sera fait par la Federal Reserve et ses homologues étrangères amies (BNS, Banque d’Angleterre, BCE) pour éviter un quelconque dérapage boursier ou monétaire qui pourrait donner un avantage à Trump, lequel fait l’unanimité des « Acteurs » US et étrangers du « Système » contre lui, c’est donc une période de hausse exceptionnelle des actions US accompagnée d’un dollar US maintenu plutôt faible par la Fed qui devrait se poursuivre d’ici-là.
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Il est toutefois peu probable que l’euro/dollar US monte prochainement au dessus de 1,1250
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Après l’élection, cela risque d’être assez différent. Mais, contrairement aux bêtises que répètent en boucle les prophètes de malheur, il n’y aura pas de krach des actions US ni en 2016 ni dans les années suivantes (ce qui n’exclut évidemment pas des corrections) parce que la création monétaire débridée, les mécanismes pré-programmés de trading (algorithmes) et les progrès technologiques des entreprises les plus innovantes devraient les propulser à des niveaux de cours beaucoup plus hauts dans un contexte d’absence d’alternative réelle de placement (obligations d’Etat et or très sur-évalués du fait de taux zéro ou négatifs qui ne dureront pas, en particulier aux USA puisque la Fed les relèvera dès décembre 2016).
Nous avons aussi acheté le DAX sur sa cassure à la hausse dans le sillage de la hausse des indices d’actions US:
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Même les actions chinoises (sur lesquelles nous nous abstenons) repartent à la hausse sur la nouvelle de la recapitalisation du système bancaire par l’État chinois:
Dans tous les cas, après l’élection, les USA changeront de paradigme, les partis républicain et démocrate auront implosé, les questions de la mondialisation et de l’immigration devront être traitées efficacement et la politique internationale s’en trouvera fortement modifiée.
Les questions de la mondialisation et de l’immigration (produisant inégalités multiples, chômage de masse et insécurité dans les pays les plus développés) devront être sérieusement traitées, aux USA comme en Europe, faute de quoi les économies poursuivront leur Stagnation Déflationniste Séculaire et les peuples appauvris comme perdant leur identité se radicaliseront contre les pouvoirs politiques actuels qui se révèlent incapables de trouver des solutions équilibrées aux problèmes qu’ils ont eux-mêmes créés:
Le déficit commercial US, produisant désindustrialisation, chômage et paupérisation des Américains les moins favorisés, doit être corrigé, ce qui suppose la renégociation et la limitation des accords de libre-échange:
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Plus nous aurons d’abonnés, plus nous pourrons faire appel à des prévisionnistes de qualité pour mieux vous informer. Merci.
11août
Jamais l’écart entre les positions shorts prises par les investisseurs et la réalité de la tendance haussière des actions US n’a été aussi grand!
Dana Lyons indique que les positions shorts prises par les investisseurs, par exemple via l’achat de VIX futures, ont atteint leur record historique absolu (alors que le VIX est à son plus bas):
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La plupart des prophètes de malheur continuent à pronostiquer le krach des actions US, ce qui n’est pas nouveau et leur a valu ces derniers mois de subir des pertes records:
Et pourtant, les marchés d’actions US continuent leur progression, certes actuellement ralentie en raison du faible volume d’affaires de la première moitié du mois d’août, et les meilleurs analystes sont résolument haussiers. Nous sommes convaincus qu’ils ont raison, il n’a pas d’alternative d’investissement à l’achat d’actions US qui sont dans un grand bull market.
Pourquoi donc les supposés professionnels de la finance sont-ils massivement shorts sur les actions US alors que leur hausse continue et s’accélère?
Depuis le début de la reprise des actions US en février 2016, et plus encore depuis juin 2016, les supposés professionnels de la finance continuent de vendre short les actions US, ce qui a entrainé la plupart des investisseurs à faire la même erreur en shortant massivement les indices boursiers US et beaucoup d’actions US, avec comme résultat pour eux pour le moment de très grosses pertes.
US S&P500: Retail CFD traders remain extremely net-short the SPX500, which tracks the fair value of the S&P E-mini futures contract, and a contrarian view of ‘crowd’ sentiment has kept us firmly bullish. It was as recently as last week when our data showed over 90 percent of open SPX500 positions were short—a fresh record.
Such heavily one-sided sentiment can sometimes warn of an extreme and potential price reversal. Yet it is likewise clear that sentiment can remain extreme for extended periods of time, and a major trend turnaround is only clear in hindsight.
We would need to see a substantial turn in retail CFD trader sentiment in order to call for an S&P 500 reversal, and indeed we will remain bullish until further notice.
— Written by David Rodriguez, Senior Strategist for DailyFX.com
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Nous n’avons pas d’explication à cette anomalie, probablement imputable au fait que tous ces gens sous-estiment la volonté et la capacité de la Federal Reserve à tout faire pour soutenir les actions US, afin d’empêcher Trump de gagner l’élection présidentielle US du 8 novembre 2016, mais aussi sous-estiment la croissance économique US qui, pour plutôt faible qu’elle soit n’en est pas moins supérieure à celles du Japon et de l’Europe dont évidemment les marchés d’actions sont, eux, plombés mais qui donnent néanmoins depuis peu quelques signes d’évidente amélioration dans le sillage de la hausse des actions US. D’autant que, dans le cas européen, la désintégration de la structure politico-économique de l’UE étant en cours du fait du Brexit, des impasses électorales espagnole et italienne pour 2016 comme française et allemande pour 2017, de la menace turque, de l’immigration massive arabo-musulmane et des attentats islamistes, tout cela n’incite pas à y investir.
Les banques centrales ont crée des économies ultra financiarisées dans lesquelles le produit de leur création artificielle et massive de liquidités va sur les marchés financiers et non plus dans l’économie réelle, d’où il en résulte qu’une croissance économique même faible peut coexister avec des marchés d’actions en hausse voire même exubérants.
Telle est d’ailleurs la raison fondamentale pour laquelle la monnaie restera vraisemblablement pour toujours virtuelle et que l’on ne reviendra jamais à l’étalon-or, retour qui marginaliserait les banques centrales et détruirait les marchés financiers. C’est ainsi et il faut s’y adapter, au lieu de croire à la chimère du rétablissement de la monnaie gagée sur un actif réel. D’ailleurs, l’avenir que l’on nous prépare, c’est plus de monnaie du tout: l’élimination du cash au profit d’instruments électroniques de paiement ou par carte de crédit. Ce qui brouillerait définitivement les notions d’inflation ou de déflation pour ne laisser que des flux financiers orientés par les principales banques centrales vers les marchés d’actions ou d’obligations selon leur choix, afin de créer ainsi un « effet richesse » dont elles escomptent une croissance des économies. Dans ce cas de figure, les avoirs en or des particuliers seraient un jour (en cas de krach obligataire par exemple) purement et simplement confisqués par les Etats et les banques centrales… au même titre que la détention de cash au dessus d’un certain montant serait interdite. Nous allons hélas vers une répression monétaire et financière accrue, pas vers plus de liberté.
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Double top sur l’or, double bottom sur les taux d’intérêt US à 10 ans:
On ne peut pas non plus exclure une volonté des supposés professionnels de la finance de manipuler les marchés pour les faire chuter afin d’établir les positions longues qu’ils n’ont pas été en mesure de prendre ayant été pris de court par la hausse. Ce qui est la spécialité de quelques parasites (Soros, Icahn, etc.) qui ne prospérant que sur les catastrophes qu’ils provoquent devraient être interdits de spéculer.
Tous ces gens, continuant en outre à croire que les obligations d’Etat US et l’or vont monter, alors que ces derniers actifs sur-évalués comme jamais n’ont pas de perspective de hausse supplémentaire, et que le pétrole va chuter plus, alors qu’il est à un niveau de prix ridiculement sous-évalué et a trouvé un support durable vers 39 USD le baril sur le WTIC, sont victimes d’une illusion collective.
John Templeton a écrit: “Bull-markets are born on pessimism, grow on skepticism, mature on optimism and die on euphoria.” Étant donné que nous sommes actuellement au niveau du pessimisme, il faudra passer ensuite à celui de l’optimisme puis à celui de l’euphorie, avant que les actions US chutent notablement.
Intéressante étude expliquant que l’achat des obligations d’Etat US, même dotées de taux positifs, pour les détenteurs de monnaies étrangères ne leur rapportent plus rien…
Nous restons long pétrole (USO), actions russes (RUSL), actions canadiennes (EWC), long ETF actions US (UDOW, SPXL, SOXL et QLD) que nous avons renforcés ces derniers jours, long actions US (FANG + Microsoft + actions des sociétés pétrolières -Marathon principalement-) et plus ou moins arbitrés sur nos actifs en dollars US (le Dollar US Index s’étant stabilisé). C’est tout, rien d’autre. En cas de hausse du S&P500 vers 2260, nous prendrions les profits sur toutes les positions précitées et resterions entièrement en cash. Pour le cas où le marché baisserait, nous aviserions.
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Le RUSL est au plus haut
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Rambus Forum continue de prédire la double hausse du S&P500 et du pétrole WTIC
La BNS pratique la bonne stratégie et le meilleur modèle de gestion patrimoniale actuellement possible
Obligée d’acheter en masse des devises étrangères (le dollar US surtout et de moins en moins l’euro) pour empêcher l’appréciation du franc suisse considérée comme négative pour l’économie helvétique, la BNS, avec les devises étrangères qu’elle accumule, achète des actions. Et non pas des obligations d’États ou d’entreprises pas plus que de l’or, dont elle se débarrasse le plus possible. Les actions qu’elle achète sont presque toutes des actions US. Et parmi ces actions US, elle achète des actions de haute technologie, internet, de communication et d’information (Apple, Microsoft, Amazon, Facebook, Verizon, Google Alphabet, etc) et des actions de sociétés pétrolières et de l’énergie (Exxon Mobil, Chevron, etc.). Elle n’achète presque pas d’actions des entreprises industrielles ou commerciales traditionnelles qui sont en perte de vitesse dans notre nouveau monde de la société de la communication et de l’information.
Ce que fait la BNS c’est la bonne stratégie et c’est le meilleur modèle de gestion patrimoniale actuellement possible que tout investisseur devrait appliquer pour lui-même (acheter des ETF long actions US -SPXL, UDOW, SOXL et surtout QLD-, c’est bien; mais il faut aussi acheter les actions individuelles US, si la taille du portefeuille est suffisante et que investisseur n’est pas tétanisé par la prise calculée de risque, ne serait-ce que pour percevoir des dividendes).
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Alors que, bêtement, la grande majorité des investisseurs et des gestionnaires d’actifs est short actions US, long obligations d’Etat ou d’entreprises, voire long or (un actif anachronique à détenir par temps de déflation qui n’est temporairement remonté que parce le dollar US/yen japonais a chuté). Ce qui constitue à notre avis le mauvais modèle de gestion.
Parce que les actions US (et accessoirement russes et canadiennes) sont entrées début 2016 dans un grand bull market structurel, alimenté par l’innovation technologique, le développement des techniques et moyens de communication, la reprise du prix du pétrole et de certaines matières premières industrielles qui avaient alors atteint un extrême à la baisse en liaison avec la crainte de krach boursier et monétaire chinois.
Parce que la Federal Reserve US et la BNS, venue à la rescousse de son homologue US, rejointes cette semaine par la Banque d’Angleterre, agissent de façon concertée pour faire monter le marché d’actions US dans la perspective de l’élection présidentielle US lors de laquelle elles veulent faire gagner la candidate de l’Establishment Hillary Clinton, supposée garantir le libre-échange contre Donald Trump le protectionniste; les deux autres banques centrales importantes (BCE et Banque du Japon), craignant des krachs obligataires en Europe et au Japon, agissant quant à elles pour faire monter leurs obligations d’États ou d’entreprises. Quant aux banques centrales de Chine et de Russie, elles sont d’abord mobilisées par la survie de leurs économies et de leurs systèmes bancaires domestiques comme pour éviter la chute de leurs monnaies nationales, d’où leurs achats d’or qui leur semblent (à tort à notre avis) protéger lesdites monnaies. Il y aurait donc une certaine division du travail entre banques centrales.
La BNS est la plus prudente et la plus agile de toutes les banques centrales, si elle a cessé l’achat d’or et qu’elle l’a remplacé par l’achat d’actions US, c’est que cela lui parait plus rentable et moins risqué, faites en de même. Il n’y a pas de risque de baisse notable des actions US avant l’élection du 8 novembre 2016. Il n’y aura pas de hausse du taux directeur de la Fed avant décembre 2016.
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GRAPHIQUES HAUSSIERS de Rambus publiés ce jour:
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En plus des actions US, et accessoirement des actions russes, Rambus est haussier sur le pétrole et sur les actions canadiennes (tous les deux très bon marché):
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Le pétrole est proche de son plus bas, les actions des sociétés pétrolières sont sous-évaluées:
Or et obligations d’Etat, les actifs anti-actions, baissent enfin ensemble :
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La chute persistante de la vitesse de circulation de la monnaie, montrant qu’il n’y a pas d’inflation au niveau de l’économie réelle, ne devrait pas inciter à acheter l’or et l’argent-métal qui selon nous finirons par chuter violemment avant l’élection US du 8 novembre 2016:
PS: Pour ce qui nous concerne, nous reprendrons celles des positions sur les ETF long actions US que nous avons allégées le 2 août 2016 lorsque le S&P500 a atteint à 2170, si le S&P500 confirme lundi 8 août 2106 sa hausse de ce vendredi 5 aout 2016 ou bien les prochains jours s’il corrige progressivement vers 2160. Sauf événement exceptionnel, nous ne toucherons à aucune autre de nos positions longues que nous conserverons au moins jusqu’à la fin août 2016.
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Cassure à la hausse des 2178:
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04août
Consolidation haussière sur les actions US, reprise du pétrole et des actions russes
Rambus reste haussier sur les actions US qui consolident au dessus de leur niveau de cassure à la hausse
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La fluctuation d’hier:
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La BNS est l’un des principaux acheteurs d’actions US:
Nous restons circonspects et sans engagement sur l’or et l’argent-métal parce que les graphiques indiquent que leurs résistances n’ont toujours pas été franchies à la hausse, de telle sorte que leurs reprises de cette année ne sont pour le moment que des « bear market rallies » et non pas le début de bull markets.
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C’est le chaos monétaire organisé, ou plutôt subi par les banques centrales, dont la gestion de leurs monnaies est incohérente, en particulier la forte hausse sans aucune justification fondamentale du yen japonais, qui a fait remonter les prix des deux métaux précieux. Mais dans un univers déflationniste, avec les taux d’intérêt à moyen et long termes dont la baisse très exagérée peut à tout moment se transformer en forte reprise des dits taux, provoquant ainsi un krach obligataire, surtout au Japon et en Europe, il y a lieu à notre avis d’acheter les actions US (parce que ce sont les sociétés US qui sont les derniers « profit centers » à produire de la richesse effective) et non pas les métaux précieux et évidemment pas les obligations d’État.
A noter que les obligations TIPS américaines (supposées constituer l’indicateur avancé de l’inflation et que l’on achète lorsque l’on craint ladite inflation) rechutent, ce qui signifie que l’économie mondiale est toujours dans la Grande Stagnation Séculaire déflationniste dont les banques centrales ont été impuissantes à la faire sortir.
Les actions des sociétés minières sont dans la même situation que les deux métaux précieux, l’indice HUI se trouvant sur une résistance majeure qui n’a pas été franchie:
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A noter que le Bitcoin, un ersatz des métaux précieux, dont il faut rester à l’écart parce que ce n’est qu’une pure escroquerie, s’effondre…