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11sept.
Le retournement à la baisse de l’euro/dollar US s’étant effectué ce jour, plus tôt que prévu, nous avons acheté -en sus de nos autres positions sur les autres marchés, US en particulier- le Dax allemand, l’économie allemande étant celle qui souffre le moins de la hausse de l’euro déjà intervenue
Hausse du dollar US contre toutes monnaies ce jour:
L’évolution latérale des marchés d’actions se poursuit, pendant que le dollar US continue de baisser ce qui avantage les actions des entreprises US par rapport à celles des entreprises européennes, suisses, anglaises et japonaises, que la hausse des monnaies dans lesquelles on les expriment met sous pression
En l’absence de décisions des banques centrales quant à leur changement possible de politique monétaire (qu’elles ont encore repoussé à plus tard), ce qui fait rebaisser les taux d’intérêt US et les autres à 10 ans.
D’autant que Trump et les démocrates ont passé un accord pour relever le plafond de la dette US et adopté un budget spécial pour financer la reconstruction des zones dévastées par les cyclones:
Et compte tenu de la tension nord-coréenne comme des cyclones aux USA ou du désordre régnant dans la classe politique US, les investisseurs restent sur leur réserve. Ce qui provoque une poursuite de l’évolution latérale des marchés d’actions en général, pendant que le dollar US continuant de baisser et les monnaies dans lesquelles les actions des entreprises européennes, suisses, anglaises et japonaises sont exprimées continuant de monter, les actions US restent à privilégier par rapport aux autres en raison des gains à l’exportation des entreprises US et des pertes à l’exportation des entreprises non US.
UBS, dans son dernier commentaire réservé aux professionnels des marchés, pense que le S&P500 tant qu’il ne franchit pas les 2.495 à la hausse devrait rebaisser vers 2.400 (son support depuis plusieurs mois) puis remonter fortement au 4éme trimestre 2017, mais cette banque est beaucoup plus négative sur les autres marchés d’actions.
La stratégie sur les actions US c’est donc de rester actuellement très peu engagé et de ne faire le plein que si l’on casse 2.495 ou bien si l’on baisse en direction des 2.400 sur le S&P500. Encore un peu de patience, le marché US est proche de redémarrer.
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D’autant que les entreprises US détiennent d’énormes réserves en cash qu’elles devraient utiliser pour racheter leurs propres actions:
La stratégie sur les actions européennes c’est de ne pas en avoir du tout et de ne reprendre les achats que lorsque l’euro/dollar US se retournera nettement à la baisse.
Les actions US, le Nasdaq et les technologiques en particulier, continuant de sur-performer toutes les autres devraient casser à la hausse prochainement leurs plus hauts niveaux
En raison des bonnes nouvelles concernant l’économie US, qui continue de mieux se porter par rapport à toutes les autres, les actions US, le Nasdaq et les technologiques (comme Amazon et Alphabet-Google) en particulier, ont repris leur progression. Nous restons donc long sur ces actifs. Certains bons analystes voyant d’ailleurs leur hausse devenir prochainement plus rapide, leur correction estivale semble terminée.
Tous ceux qui voyaient « la fin de monde » sur les actions US en sont pour leurs frais et les grandes technologiques sont en train de conquérir de nouveaux marchés:
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La petite correction à la baisse de l’euro et des autres monnaies contre le dollar US a permis d’éviter une baisse supplémentaire des actions européennes, suisses, anglaises et japonaises, qui restent baissières et que nous n’avons toujours pas.
Les actions US continuent de sur-performer les actions européennes:
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Parce que rien ne dit que ces monnaies ont changé de tendance et que le dollar US soit en mesure de se redresser vraiment à court terme avant que les banques centrales fin septembre ou en octobre exposent les changements des politiques monétaires qu’elles comptent mettre en place, d’autant que l’Allemagne reste en faveur d’une politique monétaire plus restrictive en zone euro et que les déficits commerciaux et de balance des paiements US ne se réduisent pas .
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L’euro/dollar US peut-il monter vers 1,2369 (sa moyenne à 200 jours) voire 1,30 ? Auquel cas les actions européennes plongeraient plus au profit des américaines.
Nous conservons nos comptes-clients entièrement arbitrés sur les monnaies afin d’éviter toute perte de change inutile.
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Un bon livre à lire pour comprendre ce qu’il se passe avec les nouvelles technologies:
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Des machines plus intelligentes que l’homme ? Une utopie que les auteurs de science-fiction et les scénaristes d’Hollywood ont imaginée… mais que les progrès technologiques sont en passe de réaliser. Deux phénomènes se conjuguent : la puissance de calcul des superordinateurs augmente de façon exponentielle ; de nouveaux logiciels reproduisent le fonctionnement des neurones du cerveau humain et confèrent aux machines la faculté d’apprendre. Les systèmes pensants peupleront bientôt les domiciles, les entreprises, les usines, les administrations, les hôpitaux, les villes, les armées. Jusqu’où iront-ils dans leur degré d’autonomie et leur liberté de décision ? Quelle place les hommes préserveront-ils dans un univers contrôlé par les robots ? Après la bombe atomique, l’intelligence artificielle est-elle la deuxième arme létale inventée par l’homme et capable de le détruire ? La chute de l’Empire humain retrace l’histoire méconnue de l’intelligence artificielle du point de vue du robot : c’est une machine qui raconte ici son aventure et dévoile les mystères de son long cheminement avec l’homme, jusqu’au combat final.
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30août
La hausse de l’euro/dollar US au dessus de 1,20 modifie le panorama financier
Les actions européennes sont dans une situation de krach et les actions US, mais aussi celles des sociétés minières, sont dans une situation de forte reprise; tout cela devrait s’accélérer si l’euro/dollar US allait plus haut.
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Actions Europe (Suisse et Grande-Bretagne comprises): SELL THE RALLIES
La forte hausse de l’euro provoque le krach des actions européennes (que nous n’avons pas) et la hausse des actions des sociétés minières, de l’or et de l’argent-métal, exprimées en dollar US (que nous avons achetées); quant aux actions US (sur lesquelles nous restons haussiers), tant que les 2400 sur le S&P500 et les 5760 sur le Nasdaq 100 tiennent, elles restent haussières
Nous en dirons plus ce jour à la clôture
26août
En quoi consiste l’instabilité de l’économie et de la finance mondiales et comment s’en protéger?
Les deux principales sources actuelles d’instabilité de l’économie et de la finance mondiales sont:
1/ le libre-échange sauvage globalisé dans un contexte de taux de change flottants qui permettent à certains Etats, en pratiquant des politiques de dévaluations compétitives et/ou de casse des salaires et des acquis sociaux, de s’assurer des avantages compétitifs massifs ruinant leurs compétiteurs mais faisant exploser leurs propres excédents commerciaux et de compte courant à des niveaux complétement exagérés (Chine, Allemagne, etc…); alors que le libre-échange ne devrait pouvoir s’instaurer qu’entre des Etats pratiquant des conditions équilibrées de l’échange (niveaux de prix et de salaires comparables) et dont les monnaies ne varient que modérément dans le cadre de taux de change stables (ce qui était le cas au temps de l’étalon-or);
2/ les politiques ultra laxistes des banques centrales depuis la crise de 2007/2008 qui, en ayant pratiqué des taux d’intérêt à court terme négatifs et en ayant créé via leurs rachats massifs d’obligations (Quantitative Easings) que détenaient les banques privées d’énormes liquidités artificielles, ne peuvent plus remonter ces taux ni diminuer la taille inégalée dans l’histoire de leurs bilans pourris sans faire éclater la bulle obligataire dont elles sont responsables et, de ce fait, ruiner les Etats comme les détenteurs privés d’obligations en raison de la forte hausse des taux à moyen et long termes qui en résulterait; alors qu’il aurait fallu purger les banques privées en en laissant tomber en faillite un certain nombre mais en indemnisant leurs déposants et revenir le plus vite possible à des politiques monétaires normalisées pour éviter la bulle obligataire.
Ces deux phénomènes ont créé des économies en très faible croissance (LA GRANDE STAGNATION), qui restent caractérisées par le chômage de masse et la paupérisation d’une partie croissante des populations, mais aussi LA DÉFLATION STRUCTURELLE, parce que les énormes liquidités créées artificiellement par les banques centrales ne sont pas entrées dans l’économie réelle et que les taux d’intérêt négatifs (« l’euthanasie du rentier ») ont dissuadé l’investissement productif; l’effondrement de l’inflation allant de pair avec la chute de la vitesse de circulation de la monnaie et le recours exagéré aux politiques de l’offre conduisant à DES SITUATIONS DE SURPRODUCTION CHRONIQUE d’où les pratiques de DUMPING (la Chine par exemple inonde le monde d’acier chinois, qui coûte peu à produire, en le vendant à perte ce qui lui permet de ruiner les autres producteurs).
Alors qu’il aurait fallu soutenir directement la demande solvable et l’investissement productif via des politiques de la demande et de diminution massive des impôts des particuliers surtout, s’extraire de la politique d’austérité imposée par l’Allemagne à la zone euro, tout en réformant les systèmes monétaires européen et international (totalement sur-administrés par les banques centrales) dans le sens d’une plus grande décentralisation via plus de souplesse des taux d’intérêt et des objectifs d’inflation en fonction des conditions effectives de chaque État; la même monnaie et le même taux d’intérêt fixé par une banque centrale super-interventionniste ne convenant pas ainsi qu’on peut le constater avec l’euro à tous les États-membres dont les paramètres macro et micro économiques divergent et qui ont donc besoin de flexibilité.
Par principe, il faut donc acheter des actions, les entreprises étant les seuls créateurs de croissance dont les cours de bourse ne sont pas exagérés pour la plupart d’entre-elles dans les contextes actuels d’absence d’inflation et de compétition internationale ouverte permettant à certains d’entre-elles de réaliser des super-profits, et ne pas détenir d’obligations, qui ne procurent qu’une fausse protection, ne rapportent plus rien, et se désintégreront lorsque les taux à moyen et long termes -encore à des niveaux historiquement très bas- inéluctablement remonteront.
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LE RISQUE NE RÉSIDE PAS DANS L’ACHAT D’ACTIONS MAIS DANS L’ACHAT D’OBLIGATIONS (d’Etat surtout):
Il faut rester positif sur les actions US tant que le VIX restera baissier:
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Quant aux monnaies, il faut conserver ses actifs dans celle que l’on utilise pour sa vie courante et payer ses impôts, mais aussi arbitrer systématiquement les achats d’actifs en monnaies étrangères que l’on effectue pour placer ses actifs, afin d’éviter toute perte de change. Ce qui n’empêche pas de spéculer sur les monnaies mais pour des montants faibles par rapport à son portefeuille. Pour ce qui concerne l’or et autres métaux précieux, l’absence d’inflation et la probabilité de hausse des taux d’intérêt à moyen et long termes ne milite pas pour en acheter, d’autant que l’euro/dollar US devrait probablement finir par corriger à la baisse et le dollar US/yen finir par remonter dès septembre 2017. Il vaut mieux acheter les actions des sociétés minières que le métal papier qu’est devenu l’or titrisé qui s’échange sur les marchés financiers sans que l’on puisse en prendre livraison physique (quant à l’or physique sa détention est compliquée, il coûte cher à conserver, il ne rapporte rien et les impôts qui le frappent sont dissuasifs).
L’ETF dollar US est proche d’un support majeur comme le US Dollar Index d’ailleurs:
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Le NUGT, l’ETF des sociétés minières a cassé à la hausse cette semaine:
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Cela dit, les actions européennes et japonaises chutent depuis avril 2017, en raison de la force de l’euro et accessoirement du yen comme de la politique d’austérité imposée par l’Allemagne à la zone euro, et les actions US sont en réalité dans une zone de congestion (autour d’un prix moyen vers 2400 sur le S&P500) avec un léger biais positif depuis plus ou moins la même date, dont elles ne parviennent pas à s’extraire durablement à la hausse (mais qu’elles ne cassent pas à la baisse non plus).
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Le Dax allemand semble être en mesure de se redresser à court terme:
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De toutes façons, que le dollar Us baisse ou monte, les actions US sur-performent les actions européennes depuis 2015, ce qui n’a pas de raison de cesser parce que les sociétés multinationales réalisant le les plus grands profits sont américaines:
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La toile de fond des marchés financiers US, qui explique en partie la baisse du dollar US, tient aux effets délétères de la quasi « guerre civile » aux USA provoquée par la chasse aux sorcières contre Trump et des incohérences de sa présidence radicalement inorganisée, le nouveau président étant incapable de mettre en œuvre ses promesses de campagne du fait de l’hostilité du Congrès à son égard et de celle de « l’Etat profond » (Pentagone, services secrets, etc.) auquel il s’est bêtement pieds et poings lié, comme de son propre comportement inutilement agressif et provocateur à bien des égards clownesque. Se sachant poussé vers la sortie (par démission ou par impeachment), Trump a-t-il décidé de semer volontairement le désordre par simple jeu?
En Europe, le problème c’est la menace terroriste musulmane qui s’étend avec l’importation récente par l’Allemagne de Merkel, aux fins de casser son coût du travail et d’accroitre sa natalité avec la bénédiction du patronat allemand, de près de deux millions de musulmans faméliques en majorité hommes fuyant les guerres du Moyen-Orient, en sus des trois millions de Turcs vivant en déjà Allemagne, à laquelle s’ajoute l’arrivée massive d’émigrés économiques d’Afrique, qui effectuent LE GRAND REMPLACEMENT des populations chrétiennes de souche par des masses humaines non assimilables qui déstabilisent tout. Les accords de Schengen, nouvel avatar des théories libre-échangistes, droits de l’hommiste et multiculturalistes des Européistes forcenés, tuent la construction d’une Europe des Nations, ce qui ne peut conduire qu’à sa scission entre l’Europe de l’Est et celle de l’Ouest comme à la déstabilisation croissante des pays du Club Med (Espagne, Italie, Grèce, France); la relation ambiguë de Merkel avec la Turquie du dictateur Erdogan sapant par ailleurs tout espoir de coopération pour éradiquer le virus islamiste et stabiliser l’immigration. La situation européenne est bien pire que celle des USA dans la mesure où l’Europe est entrée dans un déclin civilisationnel et identitaire qui pourrait la détruire!
La nette hausse des actions US ce jour, dont la correction estivale semble terminée, et la baisse de l’euro/dollar US, ont fait repartir les actions européennes; nous avons fait le plein d’achats de DAX allemand
La nette hausse des actions US ce jour que nous avions pronostiquée hier est à nouveau d’actualité et nous avons renforcé nos positions longues en particulier sur le Nasdaq et le Dow Jones des industrielles. Comme les investisseurs sont majoritairement shorts (ce qui n’est évidemment pas notre cas), ils vont devoir se couvrir à perte d’où la poursuite prévisible du mouvement commencé ce jour.
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Encore une fois, tous ceux qui voyaient un crash boursier se produire se sont trompés…
Oubliez Trump, qui se révèle être aussi mauvais que ses prédécesseurs et que ses homologues chefs d’Etat et de gouvernements européens…
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Dans le sillage de la hausse des actions US et de la baisse de l’euro/dollar US, les actions européennes ont semble t’il elles aussi terminé leur baisse et nous avons fait de plein d’achats de DAX allemand.
D’après les meilleurs analystes dont les études sont présentées ci-dessous, nous ne sommes plus loin du plus bas des actions US qui restent dans une tendance haussière
C’est la léthargie estivale qui prévaut avec de faibles volumes sur les marchés financiers, il faut attendre encore quelques temps pour que les actions US remontent
Les incohérences de Trump, qui se révèle incompétent pour diriger les USA, continuent d’ « amuser la galerie »… Le mieux serait qu’il démissionne et laisse sa place à son vice président Mike Pence qui s’en sortirait mieux.
Nous persistons à penser que les actions US, émergentes et chinoises, restent orientées à la hausse et qu’il faut attendre que le volume revienne pour qu’elles remontent; en revanche, nous restons sans positions sur les actions européennes, suisses, britanniques et japonaises qui restent baissières.
Ne pas jouer contre la Fed qui injecte des liquidités pour soutenir les actions US:
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US FED accepts $129.11 bln in daily reverse repo operation
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Gary Savage voit un bull flag sur le Nasdaq:
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Le VIX reste plombé et se stabilise en dessous de son plus haut récent:
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Le dollar US est proche de se reprendre significativement, ce qui devrait être négatif pour la plupart des matières premières et des métaux précieux, les actions des sociétés minières et les obligations d’Etat US avec des taux à 10 ans qui remontent.
Comme prévu la correction des actions US due à la tension entre les USA et la Corée du Nord n’a pas duré et les indices boursiers US ont repris leur ascension qui devrait se poursuivre
Alors que l’élection de Trump à la présidence US permettait d’espérer le désengagement des USA des pièges dans lesquels ses prédécesseurs ont plongé la « république impériale » en négociant de mauvais accords tant avec la Corée du Nord qu’avec l’Iran, force est de constater qu’il ne faut pas s’attendre de sa part à une détente internationale dans la mesure où il reste enfermé dans la logique de l’Etat profond qui persiste à le dominer.
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Néanmoins, il n’y a pas lieu d’envisager d’aggravation des tensions dans la mesure où ses déclarations ne sont destinées qu’à convaincre ses supporters qu’il agit, alors que depuis le début de sa présidence il est empêché d’appliquer son programme et fait l’objet d’une chasse aux sorcières permanente. Des guerres américaines contre la Corée du Nord, contre le Venezuela ou contre l’Iran n’auront pas lieu et ceux qui croient à ce type de catastrophes se trompent.
Les indices boursiers US sont donc remontés en même temps que leur volatilité est retombée. Le trou de la semaine dernière et de ce début de semaine nous ayant permis d’augmenter nos positions longues sur lesdits indices, nous sommes confiant que leurs plus hauts devraient être bientôt cassés.
Nous sommes particulièrement haussier sur l’action Goldman Sachs étant donné que les bonnes statistiques US de ce jour laissent penser que la perspective de resserrement de la politique monétaire US de nature à faire monter les taux US reste valable, ce qui serait favorable aux banques US comme aux actions US en général, dans la mesure où les obligations d’Etat US restent baissières, ainsi que l’or et la plupart des autres matières premières (pétrole) qu’il ne faut pas acheter, de telle sorte que les actions US restent le seul actif à détenir.
Les actions européennes, que nous n’avons toujours pas, et suisses, sur lesquelles nous étions modérément haussier, sont aussi légèrement remontées dans le sillage des américaines, ce qui nous a conduit à sortir des actions suisses qui n’arrivent pas à performer d’autant qu’il est possible que le Dollar US Index -actuellement survendu- remonte ce qui ferait rechuter l’euro contre le franc suisse et donc pèserait négativement sur les actions suisses.
A noter que les actions suisses ne décollent pas et que les caisses de pension suisses qui ne gagnent pas d’argent en les achetant pourraient se porter à l’achat sur les actions US et alléger leurs actions suisses.